Conscience, corps et soin de soi. Se laisser libérer

Bonjour,

"Tout est vibration, tout est énergie", tel est le postulat d'Einstein. Tout ce que nous voyons, entendons, touchons, sentons et goutons est ainsi composé d'énergie, vibrant à une fréquence perceptible par nos sens. Ce nouvel épisode est une invitation à saisir les implications et subtilités de tels concepts. Le son, comme tout autre signal perceptible, est fondamentalement vibratoire, interprété et traduit par notre cerveau. Nous serions ainsi autant émetteurs que récepteurs de vibrations, dans une danse et résonance éternelle ! Bernard Sensfelder détaille l'application de telles vibrations à visée thérapeutique.

Bonne écoute!

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Bonjour,

Les deux épisodes consacrés à l'angoisse de mort nous invitent à nous ancrer dans le réel, convoquant nos appareils à "penser" et à "sentir" à s'harmoniser, au service de nos vies et de notre façon d'être au monde. C'est ainsi que deux carburants, deux énergies sont susceptibles de baliser nos chemins de vie: l'amour et la peur. La peur, sans empêcher la mort, vient brider la vie, là où l'amour la déploie!

Bonne écoute

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Cette deuxième partie de l'épisode "nous avons deux vies, la deuxième commence lorsque nous réalisons que nous en avons qu'une..." expose les trois parties constituantes de ce qui est habituellement intitulé "angoisse de mort". Bernard Sensfelder rétablit la mort comme fondamentale dans notre rapport au réel. Il nous invite à lui redonner sa juste place, et à nous laisser libérer des peurs et culpabilités qui lui sont liées, pour nous permettre de vivre pleinement notre vie: une vie portée par notre élan et non bridée par nos peurs...!

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"Nous avons deux vies, la deuxième commence lorsque nous réalisons que nous n'en avons qu'une", Confucius.

Cet épisode est la première partie d'une série de deux épisodes dont le sujet est la peur de la mort. Bernard Sensfelder nous éclaire sur ce qui explique que la mort soit tant tabou dans notre civilisation, et aussi en quoi vivre en niant sa mort vient nous gâcher la vie...

Bonne écoute!

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Ce bonus est un épisode intermédiaire avant celui consacré à la peur de la mort. Il présente une vision énergétique du corps, de sorte que la maladie serait la manifestation d'un déséquilibre ou dérèglement de l'énergie vitale. Dans ce référentiel, une cohérence implicite est présente entre le vécu, le terrain et l'état de santé, la mort venant traduire l'état d'épuisement de l'élan vital.

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Occuper sa juste place est-elle une question de faire ou de laisser faire? La réponse nous oriente vers un juste équilibre entre tension et détente, dans une souplesse menant à un état d'harmonie et d'unité, à l'image de ce que l'on peut observer dans la Nature.

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Quelle est la juste place de chacun? Bernard Sensfelder, en sa qualité d'einothérapeute, porte un regard singulier sur l'essence et le sens même de cette notion, simple et complexe à la fois! Occuper la bonne posture, à sa juste place, telle est l'invitation de ce podcast, en se des-identifiant de ses différents rôles.

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L'intuition, cette petite voix guide, qui émerge du corps, avec un petit temps d'avance sur ce qui survient, ne mérite-t-elle pas toute notre attention? Quels points communs et différences avec les synchronicités? Ce bref épisode nous invite à les reconnaitre comme des alliées et balises, pour le chemin qui est le nôtre.

Bonne écoute!

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Ce nouvel épisode explore et illustre ce que recouvre la notion d'intuition. Bernard Sensfelder en témoigne, dans le registre et en dehors du registre de l'einothérapie! Ne pas être à même de l'expliquer n'empêche en rien de la constater. Une fois de plus l'adage se confirme: l'absence de preuve n'est pas la preuve de l'absence!

Bonne écoute!

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De tout temps, l'homme a questionné et s'est passionné pour sa liberté. Ce bonus remet ce questionnement au gout du jour, éclairé par ce que la neurobiologie du comportement nous révèle. Et si être libre impliquerait d'être et de sentir en sécurité, afin de donner libre cour à son élan? Cet épisode de fil en aiguille, revisite le cheminement entre les sensations du corps et les déterminants du comportement humain. Se sentir physiologiquement en sécurité semble assurément une condition majeure de bonne santé et sans doute même de liberté!

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Être libre implique de faire appel a son libre arbitre. Cet épisode nous invite à observer cette notion de plus prés. Peut-on réellement prétendre à un libre arbitre ayant connaissance des tensions agissantes en nous, du rôle des neurones miroirs neurones , de l'impact du trans-générationnel, de l'épigénétique...? Cet épisode met en perspective la croyance d'être librement décideur et laisse entrevoir qu'une histoire, aux multiples facettes, se raconte à travers nous.

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N'y a-t-il pas une forme de contrôle dans la volonté de lâcher prise? A l'évidence toute volonté implique une vélléité de contrôle! La nuance entre le contrôle et le lâcher prise residerait dans la nature du désir qui serait à la source de ces deux états. Ce bonus nous invite à réaliser ce qui est acteur et moteur en nous, notre élan vital, cet élan d'Amour ou nos tensions issues de la Peur? A choisir, quel choix aimerions-nous faire? 

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Le contrôle, plus qu'un paradigme, est devenu un culte dans nos sociétés actuelles. Pourquoi cette escalade sans fin vers toujours plus de contrôle? Comment définir le lâcher prise? A quel état d'être contrôle et lâcher prise correspondent-ils? Bernard Sensfelder éclaire avec précision toutes ces notions, nous éloignant de tout référentiel manichéen, pour nous rapprocher au plus prés de leur essence. 

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Ce que nous percevons de la réalité constitue notre réalité, mais celle-ci ne peut se confondre avec la réalité. Nous pouvons ainsi affirmer que notre réalité n'est pas la réalité, et qu'il y aurait au moins autant de réalités parallèles que d'observateurs. Comment faire la part des choses? Comment nous comprendre sachant que chacun a sa propre réalité? Comment se rapprocher d'une certaine forme de réalité? Et dans quel paradigme s'inscrire? Ce bonus nous invite à y réfléchir et à oeuvrer à choisir ce que l'on souhaite incarner individuellement et collectivement. 

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Considérant que toute pensée et comportement sont le prolongement et manifestatition de sensations corporelles, chacun d'entre nous a légitimement une perception propre de ce qui l'entoure, sa propre vision et interprétation de la réalité. Comment faisons-nous alors pour nous comprendre les uns les autres? Qu'est-ce qui nous rapproche ou nous éloigne de la réalité? 

Bernard Sensfelder nous éclaire sur ces réalités parallèles que notre mental élabore, nous projetant ainsi dans le passé ou dans l'avenir, et suggère une voie pour nous ancrer dans le présent et nous rapprocher du réel. 

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Le paradigme individualiste cloisonne et isole. Pourtant, nous sommes résolument perméables, y compris aux ambiances. Si les tensions ambiantes arrivent inévitablement à nous, notre qualité de centrage les atténue ou les amplifie, de sorte que nous devenons nous-mêmes, susceptibles de transformer peu ou prou, l'ambiance. La continuité entre l'en dehors et le dedans nous invite à considérer notre inter-connexion, et l'importance du centrage pour chacun. 

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S'agissant de ce qui nous impacte, l'épisode du jour se penche sur l'importance de l'ambiance, bien au delà de l'évènement auquel il s'associe. Au carrefour de l'ambiance exterieure et de celle que l'on dégage, la qualité du centrage, cette posture singulière, serait le véritable levier permettant ne pas garder en soi les traces d'ambiances chargées de tensions. 

Bonne écoute!

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L'hérédité a de multiples facettes, notre génôme serait loin d'être seul maitre à bord de notre destinée! Les découvertes en épigénétique viennent en effet nous apprendre que les évènements vécus interagissent directement avec notre génôme, de sorte à exprimer ou à inhiber l'expression de certains gênes pourvoyeurs ou au contraire protecteurs de certaines maladies. Il y aurait ainsi un résonance directe et en temps réel de notre environnement, au coeur même de nos noyaux cellulaires, siège de notre ADN. 

Plus encore, cet impact épigénétique est lui même héréditaire, notre alimentation ou traumatismes émotionnels, à titre d'exemple, auront aussi un impact sur l'activité cellulaire de nos descenfdants, de même que le vécu de nos parents, grands parents et arrières grands parents, est inscrit en nous et s'exprime à travers nous. Cette hérédité n'a pour autant aucun caractère figé, notre épigénôme venant s'adapter et s'ajuster en permanence, en miroir, à ce qui est vécu. 

Cette vision met en relief l'interconnexion des comportements humains dans un maillage incroyable de cohérence et d'harmonie, mettant à mal toute illusion de paradigme individualiste.   

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Ce nouvel épisode consacré à l'"empreinte transgénérationnelle" vient nous rappeler que nous portons plus ou moins en nous, l'empreinte des tensions vécues par nos parents, grands-parents, etc... Chacun d'entre nous interagit de manière horizontale avec son environnement dans le présent, en cohérence avec une lignée verticale transgénérationnelle, transmise de façon insciente. Ce regard vient nous révéler une fois de plus notre inter-connexion avec ce qui nous précède et succède, dans un continuum venant mettre à mal l'illusion du paradigme individualiste.

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Le centrage, cette posture d'écoute du corps, serait la manière la plus fine d'être à l'écoute de ce qui se trouve en dehors de soi. Porter son attention à ses sensations corporelles nous invite à ralentir notre cadence, et ainsi à cesser de faire, pour mieux apprécier d'être. 

Être centré et connecté à son corps, est quasi incompatible avec un mode de vie où la productivité est une course incessante. Saviez-vous qu'être absorbé par une activité mentale face à un écran d'ordinateur induisait des pauses respiratoires?... elles-mêmes responsables d'un défaut d'oxygénation, non sans conséquence sur notre fonctionnement cellulaire et sur notre santé. Respirer en conscience et approfondir sa espiration améliore au contraire notre oxygénation et favorise également notre qualité d'être à soi et aux autres. 

Bonne écoute à tous!

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Le centrage est la posture qui consiste à orienter sa conscience et son attention à l'interieur de soi, pour mieux accéder à ce qui se passe en dehors de soi. Cette posture est celle de l'einothérapeute. Elle consiste à se décentrer du mental pour percevoir ce qui se révèrbère en nous, au plus prés de nos sensations corporelles. Elle implique d'acceuillir pleinement notre vulnérabilité, dans un rapport de laisser faire et de lâcher prise au monde. Bernard Sensfelder nous explique en quoi le centrage est une clé du dispositif de l'einothérapie,  mais également en quoi elle est trés utile dans le champ de l'éducation et bien au delà... 

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Dans un référentiel  où la pression est omniprésente dans tous les domaines de la vie sociale, en quête perpetuelle de productivité, il parait utile de s'intéresser à l'impact réel d'un état de tension du corps sur nos performances et potentialités. La neurobiologie, à la lumière des travaux de Stephen Porgers et de la théorie polyvagale qu'il a décrite, est cohérente avec l'apport des neurosciences, en ce sens où seul un sentiment de sécurité instaure un état propice à l'engagement social.  Nos comportements traduisent en permanence les signaux de sécurité ou d'insécurité ressentis et transmis, à notre insu, par le corps. 

La peur a ceci de trés utile qu'elle peut nous sauver la vie en cas de danger physique réel. Toutefois une fois le danger passé, cette peur et les tensions corporelles associées sont susceptibles de se réactiver dans des circonstances inadaptées, focalisant toute notre énergie à notre survie plutôt qu'à exploiter notre potentiel. La peur sert la survie, là où la confiance favorise la restauration cellulaire, la croissance et la santé, nécessaires à déployer nos ailes!

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La posture est au potentiel ce que le corps est au cerveau! Dit plus simplement, de la même manière que les informations corporelles déterminent le fonctionnement du cerveau, notre posture intrinsèque conditionne notre potentiel, de sorte à  nous brider ou à nous révéler.  

Ce nouvel épisode ébauche ce à quoi nous ouvrons les portes dans un état de pleine sérénité du corps et cerveau: spontanéité, créativité, intuition, transcender son art et aussi se transcender soi-même... En un mot atteindre la pleine santé au sens le plus large et le plus noble qui soit!

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L'écoute participative est un véritable outil de "paix sociale". Cette qualité d'écoute donne  en effet accés à une compréhension fine de ce qui s'exprime à travers un comportement inadapté, nous invitant à nous défaire de tout jugement, et nous appliquer à nous comprendre les uns les autres!

Bonne écoute à tous,

Lila

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Ce nouvel épisode est d'importance! Bernard Sensfelder nous y livre le mode d'emploi de l'écoute participative, outil majeur pour désamorcer une situation de crise, de mal être, qu'il s'agisse d'une colère, d'une anxiété, d'une inquiétude, d'une peur quelle qu'elle soit...

L'écoute participative se déroule en trois étapes: D'abord constater le mal être (une façon de dire à l'autre: "je te vois"), ensuite déculpabiliser, et enfin formuler une hypothèse d'explication. 

Peu importe que l'hypothèse soit la bonne ou pas, ce qui importe c'est que notre interlocuteur se sente compris et déculpabilisé. Pour cela, il est nécessaire de ne pas se laisser porter par ses habitudes ou "héritages" de gestion de crise; et de ne pas se laisser envahir par le mal être de l'autre; en un mot être "lucide", et reconnaitre la souffrance qui s'exprime à travers le grabouillis. 

Culpabiliser un être qui se sent mal, revient à mettre de l'huile sur le feu. C'est pourtant ce que l'on a tous tendance à faire, en demandant à l'autre de se justifier, de se raisonner, là où en plein grabouillis, nous sommes tout bonnement incapables de faire appel à notre intelligence. 

Vous y découvrirez également les nuances entre l'écoute participative et la communication non violente. Alors bonne écoute attentive à tous, car cet outil pourrait bien vous changer la vie et celle de vos proches! L'essayer c'est l'adopter à coup sûr!

Lila

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Lutter individividuelelment et collectivement, avec démesure,  contre notre vulnérabilité, pourtant  toute naturelle, vient dénaturer le vivant en nous et autour de nous, juqu'à opérer un glissement insidieux mais certain vers une vie artificielle, décharnée de vie et à fortiori de bien être. 

Acceuillir notre vulnérabilité, aussi paradoxal que cela puisse paraitre, est sans doute le meilleur moyen de s'épanouir, de sorte à vivre harmonieusement en soi, en lien avec les autres, et plus largement,  avec "le vivant" autour de soi. 

S'accepter, s'aimer et reconnaitre le précieux en soi, aussi fragiles et imparfaits nous sommes! C'est peut-être cela notre véritable défi... sans avoir à se dénaturer!

Bonne écoute à tous,

Lila

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Tout, absolument tout ce qui régit nos vies, lutte contre notre vulnérabilité, pourtant constitutive. L'Homme, par l'hypercontrôle qu'il exerce, vit dans l'illusion d'une toute puissance "technique". Acceuillir notre vulnérabilité est pourtant un préalable au bon fonctionnement de notre système d'adaptation: ce laisser faire du corps qui nous permet de vivre en harmonie avec notre environnement, et avec les changements omniprésents dans nos vies. 

Un laisser faire du corps lors d'une maladie, d'une séparation... implique un état de souplesse du corps, de fluidité et d'absences de tensions. Le rejet de notre vulnérabilité et le blocage de notre système d'adaptation révèlent que le carburant de nos vies est la "Peur". Cet épisode, éclairé par Bernard Sensfelder, nous invite à nous réconcilier avec notre vulnérabilité, à cesser de lutter contre ce qui ne peut dépendre de nous, réapprendre à notre corps à se laisser faire plutôt qu'à s'opposer, laisser opérer les adaptations nécessaires, pour nous permettre de nous adapter au monde environnant, avec le bon carburant, celui de "l'Amour".

Bonne écoute à tous, 

Lila

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Ce nouveau bonus dessine de la façon la plus synthétique qui soit le paysage proposé par la paire de lunette de Bernard Sensfelder. Cette vision emminemment "éthique", nous invite résolument à cesser de nous comparer les uns aux autres, cesser de nous juger les uns les autres, car chacun est légitime dans ce qu'il ressent, dans ce qu'il pense et dans ce qu'il fait!

Le seul jugement qui mérite d'être est celui dirrigé vers le comportement et non vers l'individu à proprement parlé. Un comportement adéquat révèle un être en bonne santé émotionnelle. Un comportement dysfoctionnel, tel une colère, une anxiété, un comportement agressif ou tout autre "grabouillis", nous renseigne sur un état de souffrance de l'être. Ainsi chacun a sa cohérence propre et légitime, car chacun ressent et perçoit le monde à travers son propre corps et sa propre paire de lunettes!

"Ne pas se lamenter, ne pas détester, ne pas se moquer mais comprendre" telle était la devise de Spinoza, philosophe mais égalmenent un exceptionnel polisseur de lentilles!

La plus grande bienveillance devient une évidence pour chacun d'entre nous!

Bonne écoute à tous!

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L'épisode du jour met en lien les différentes notions théoriques abordées depuis le début du podcast, afin de dessiner les contours de cette nouvelle paire de lunette, à laquelle nous invitent les récentes découvertes des neurosciences et les données actuelles de psychosociologie. Cet autre regard de l'humain et de son comportement révèle combien "nos peurs sociales" nous gâchent et combien il importe d'adopter une vision lucide et éthique! 

Bonne écoute!

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La connaissance des neurones miroirs est majeure pour parvenir à comprendre avec lucidité ce qui se passe en nous et chez les autres! Ce que l'autre fait, mon cerveau le fait, à mon insu, alors que tout semble faire penser que nous ne faisons qu'analyser avec objectivité le déroulement de ce qui se présente à nous. Il n'en est rien! Notre cerveau expérimente ce qu'il observe en le reproduisant d'abord, puis en construisant des pensées qui seront directement en lien avec les émotions générées par cette expérience.  

A titre d'exemple, si une personne se présente face à moi vociférant des insultes, mon cerveau s'activera comme si c'était moi qui les prononçais. Aussi, si, enfant, on m'avait interdit d'insulter à coup de peurs ou de culpabilités, l'une de ces deux émotions, peut être les deux, se déclencheront, induisant en moi un mal être qui me fera porter un jugement de rejet envers l'autre, et qui sans doute envenimera la situation. Si au contraire, on m' a appris avec soin , sans peurs ni culpabilités, en quoi insulter n'était pas souhaitable, je me trouverais alors à même d'être "lucide" envers l'être qui se trouve face à moi, distinguant le comportement et la personne, qui de toute évidence est en proie à un mal être, qui ne deviendra pas le mien. Les pensées que je dévelloperais alors seraient "responsables", ce qui me permetterait de venir en aide à l'autre, et de désamorcer son mal être. 

Les neurones miroirs nous révèlent en quoi nous sommes en lien et même en réseau, les uns avec les autres. Prendre soin de soi, soigner son comportement, est la clé pour soigner les autres, et offrir ainsi un autre visage à l'humanité entière! A chacun de cultiver "l'Amour" en soi, laissons les neurones miroirs faire le reste...!

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L'épisode du jour est majeur pour la compréhension de ce qui est en jeu en nous et entre nous! La réalité des neurones miroirs, aussi déconcertante soit-elle, ne fait plus de doute: nos cerveaux reproduisent à l'identique ceux à quoi ils assistent, qu'il s'agisse de gestes, de mots ou de tout autre mouvement de vie. Cela a biensur un impact sur nos apprentissages mais tout autant sur notre état de bien être ou de mal être, de sorte que si mon cerveau reproduit un interdit, executé par un tiers, il activera dans le même temps une peur ou une culpabilité, qui expliquera mon malaise, ma colère ou mon irritabilité. Les neurones miroirs viennent révéler à quel point nous sommes en lien les uns avec les autres, et à quel point nous sommes véritablement des miroirs les uns pour les autres!

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Les héritages, cet entrelas d'éducation, de manière d'être et de faire, véhiculés avant tout par le noyau famililal, par l'école et de plus en plus par les médias, est un réservoir de culpabilités. Comment et pourquoi?  

Les héritages sont une invitation à perpétuer des usages, qui, s'ils ont été approprié à un instant "t", dans un espace donné, ne le sont sans doute plus, le contexte ayant tout simplement changé. De plus, les héritages véhiculent des interdits, ils apprennent ce que l'on ne doit pas être. Les transgresser est source de culpabilité, les adopter est en cela un acte non choisi. Reconnaitre et questionner ses héritages est un cheminement vers des choix justes pour soi. Pour ceux qui choisiront de s'alléger de certains de leurs héritages, par quoi les remplacer?

Cet épisode élargit la réflexion à ce qui cristallise sans doute la plus grande peur de l'homme, celle de sa finitude. La Nature sait pourtant bien ce qu'elle fait. Et si nous lui faisions confiance...

Les héritages représentent un figement à travers les temps, là où la vie est en perpétuel mouvement. 

Bonne écoute à tous,

Lila

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Ce nouvel épisode relatif aux " héritages" nous révèle en quoi ils sont un véritable réservoir de culpabilités et comment ils entravent notre libre arbitre. Nos héritages sont souvent anachroniques, ils sont transmis par une figure d'autorité, donnant l'illusion d'une sécurité. Leur transgression occasionne, à coup sur, un sentiment de culpabilité. Les héritages réduisent pour ainsi dire la personne à des comportements programmés par d'autres, dans d'autres  lieux, à d'autres moments, sans s'autoriser à penser par soi même, ici et maintenant. Leur transmission se fait par le noyau famillial, l'école et de plus en plus par les médias (réseaux sociaux, télévision..) Comment s'en affranchir? Pourquoi remplacer les héritages et la morale par "une éthique" de vie? 

Les reconnaitre et les questionner est un pas certain vers la liberté de penser, la liberté d'être et le bien être!

Bonne écoute à tous,

Lila

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Le système de peur est extrêmement developpé dans l'espèce humaine. C'est à lui que l'on doit notre survie et notre subsistance au sein du vivant. Ce système là, marqué par une grande capacité de mémorisation,  est parfaitement adapté pour des situations de danger de mort imminente. Or, notre cerveau préhsitorique n'a pas changé, là où nos conditions de vie ont littéralement muté. Nous stockons ainsi dans nos corps et dans nos cerveaux des informations de peurs inadaptées, qui détournent ce système de défense de sa mission première, protéger la vie. 

Au lieu de cela, la peur vient bloquer notre élan vital et nous brider sournoisement, nous emprisonnant dans des schémas de vie, qu'elle téléguide . Cette peur est une ombre qui mérite d'être mise en lumière!

Bonne écoute à tous,

Lila 

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La peur est l'outil qui a permis la survie de notre espèce à travers les âges. 

Notre cerveau y a aujourdhhui tout autant recours que lors des temps préhistoriques, dans le seul but de nous maintenir en vie. 

Si toutefois notre cerveau n'a pas changé, nos modes de vie eux, se sont incroyablement transformés, et rares sont les circonsatnces, au quotidien, menaçant notre intégrité physqiue. Pourtant notre cerveau réagit comme si c'était le cas. Cet anachronisme donne lieu à des récations réflexes inappropriées, se traduisant par des états de mal être, échappant totalement à notre volonté. 

Se laisser libérer de ces peurs inadaptées est une des clés pour retrouver notre bien être. 

Trés bonne écoute à tous,

Lila

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La culpabilité nous éclaire sur le lien fondamental et la reliance qui nous carctérisent, là où on aurait tendance, dans le paradigme individualiste dominant, à nous considérer "seul" à devoir porter le poids de ce qui nous arrive, tantôt méritant et tantôt décevant. 

La réalité serait toute autre, nous serions bel et bien inter-dépendants, reliés les uns aux autres, dans un phénomène de resonance qui nous dépasse. Ce bonus est résolument une invitation à se sentir "réunifié" au sein du tissu vivant que constitue l'humanité!

C'est ainsi que prendre soin de soi serait le meilleur chemin pour prenddre soin de l'autre. 

Lila

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La culpabilité est un subtil mais redoutable acteur du mal être. Notre culture et système éducatif en sont littéralement pétris. Cet épisode dissèque ses tenants et aboutissants, nous révélant en quoi elle nous gâche des plus jeunes aux plus âgés, et à tout niveau.

La culpabilité avance masquée, l'inconscient collectif nous faisant confondre responsabilité et culpabilité. Trois nuances sont pourtant à distinguer: être coupable, se sentir coupable et être responsable. "Se sentir coupable" est la clé pour repérer que nous sommes en proie à une culpabilité qui, non seulement nous sabote, mais qui est aussi particulièrement contagieuse, engendrant une vértiatble épidémie de mal être, dont on serait l'épicentre.  

Bonne écoute à tous,

Lila

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Cet épisode redéfinit les notions de personne et de personnage, leur imbrication et leur portée en terme de bien être, et en poussant la réflexion à son paroxysme, nous mène même à la santé!

En effet, on connait aujourdhui l'importance de l'épigénétique à l'égard de notre santé. Or celle-ci résulte pour une grande part de nos comportements, eux-mêmes tributaires du ratio personne/personnage en chacun d'entre nous. Un grand pont entre bien être et santé peut sembler audacieux, pourtant probablement judicieux... A vous de vous faire votre opinion!

Bonne écoute,

Lila

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Cet épisode nous éclaire sur la manière dont se construit, en chacun d'entre nous, une part de personnage, en réponse aux tensions, peurs et culpabilités vécues. Ce personnage résulte ainsi directement du mal être éprouvé. Il consiste en une adaptation de la personne à son environnement affectif, de sorte que sa façon d'être, d'aimer, soit acceptable et recevable. 

L'enfant, nous dit Bernard Sensfelder, ne va pas "vers", pour recevoir de l'amour mais pour en donner! Si sa façon de donner de l'amour est acceuillie, l'enfant renforcera sa "spontanéité", sa personne gagnera alors du terrain. Si a contrario, sa façon de donner est rejetée, emergera alors un personnage, qui est une construction réactionnelle,  pour que sa façon d'être, d'aimer, soit acceptée. Ainsi, plus l'enfant a été rejeté dans sa façon spontané d'être, plus sa véritable personne sera étouffée et son personnage hypertrophié. L'einothérapie, en libérant les tensions à l'origine du personnage, offre de l'espace pour que s'épanouisse la personne, dans sa spontanéité originelle.

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Dans ce bonus, le bien être est abordé dans une perspective individuelle et collective, nous éclairant sur le lien étroit entre nos attentes et celles de la société à laquelle nous appartenons.

Bonne écoute à tous,

Lila

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Aprés avoir abordé les bases neuroscientifiques de nos comportements, ce second épisode rentre dans le vif du sujet de ce pourquoi chacun d'entre nous oeuvre, tout au long de la vie, le "bien être". 

Le bien être est la raison d''être de toutes nos actions. Il est l'objectif ultime de chacun et de tous. Il parait en cela essentiel de se questionner sur sa nature, et sur le chemin qui nous y mène.

Pas à pas, Bernard Sensfelder nous ouvre la voie d'un autre regard sur ce bien existentiel, tant convoité. 

Bonne écoute à tous,

Lila

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Ce bonus rappelle brièvement les principales notions développées lors du premier épisode, et interroge, au delà de nos comportements, notre nature. Différentes paires de lunettes y sont suggerées!

Bonne écoute!

Lila

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Ce premier épisode pose les bases de compréhension de nos comportements. 

Considérant que ce qui nous différencie du reste du règne animal est  notre cerveau humain, nous avons tendance à nous identifier à notre mental, croyant que nous sommes maitres de nos pensées, et que ce sont elles qui sont responsables de nos émotions et de nos actions. 

Les neurosciences viennent pourtant nous apporter un tout autre éclairage. Avant toute  chose, nous ne percevons pas la réalité telle qu'elle est. Chacun se construit une interpretation propre du monde, tributaire du modelage de son propre cerveau. Chacun a sa propre paire de lunettes pour appréhender ce à quoi il assiste. Les trois cerveaux dont il est question dans cet épisode, sont trois zones cérébrales dont le rôle chronologique est aujourdh'ui bien identifié. Il est ainsi démontré que nos pensées se mettent en route bel et bien aprés nos émotions. Ces émotions résultent elles-mêmes de l'information transmise du corps au cerveau, via les sensations corporelles. 

Plus le corps est emprunt de tensions, plus le cerveau dysfonctionne et plus il engendre de "mal être". 

Cet épisode, quelque peu technique, par moment, vaut la peine de s'accrocher, pour faciliter la compréhension de ce qui suivra! Des exemples concrets faciliteront l'intégration des notions abordées.

Bonne écoute et belle journée à tous! 

Lila

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