La chronique de Guillaume Meurice

Guillaume a découvert l’émission « Patrons en questions » sur CNews. Une passion est née.

Horreur ! Les wokistes veulent imposer leurs obsessions lubriques à nos gentils bambins. Heureusement, la résistance s’organise sur les plateaux de télévision.

Scandale ! L’émission Intervilles reviendrait pour quatre émissions spéciales mais sans les mythiques vachettes ! Heureusement, quelques esprits brillants s’insurgent.

Nicolas Sarkozy a récidivé. Il a encore osé dire la vérité sur le métier de professeur des écoles.

L’équipe de France de football s’apprête à défier celle d’Israël. Mais ce qui pose problème, ce sont les tenues des joueurs lorsqu’ils arrivent au centre d’entrainement.

Guillaume doute du consensus scientifique sur le dérèglement climatique en compagnie de ses nouveaux maîtres à penser : ceux qui alertent sur les lanceurs d’alerte.

Scandale ! Les exilés gaspillent l’argent des honnêtes contribuables français. La parole est aux lanceurs d’alerte tels Robert Ménard ou Cyril Hanouna.

Au secours ! Nos traditions sont en danger ! Heureusement d’ardents défenseurs de la chasse à courre font front contre les atteintes à nos libertés (de buter des cerfs).

Il y a 5 ans, notre invitée Claire Nouvian était reçue en grande pompe sur le plateau de l’émission de Pascal Praud. Malheureusement, elle n’a pas pu s’empêcher de faire son intéressante.

Le saviez-vous ? Le gouvernement Barnier est en fait à ramassis d’islamogauchistes tendance woke écoterroriste. Et c’est effrayant.

Guillaume s’attaque à la maladie du siècle, au plus grand péril qui guette l’humanité, au vice qui travaille notre invité Aurélien Bellanger : le besoin d’égalité entre les êtres humains.

Profs fainéants, enfants crétins, allocations gaspillées. “Youpi, c’est la rentrée !” se réjouit Guillaume.

La France est en panique. Anne Hidalgo a décidé de laisser les anneaux olympiques sur la Tour Eiffel après les Jeux. Décryptage d'une tragédie annoncée.

“Comme on a compris que la liberté d’expression, c'était surtout un joli concept, on s’est dit que c’était mieux d’imaginer chaque émission comme si c’était la dernière".