En psychanalyse

Il y a avec la notion de perversion narcissique un point que je n’ai pas abordé dans mes précédents posts sur le sujet et qui mérite, je crois, d’être mis en avant.

Peut-on vraiment réparer l'enfant chez l'adulte ou est-ce encore une illusion ?...

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Deux angles possibles pour évoquer le sujet de la répétition en analyse.

Imaginons... Vous êtes en train de cuisiner un poulet basquaise...

On invoque beaucoup l'éthique depuis quelque temps, dans de nombreux domaines. C'est probablement le signe que quelque chose ne va pas, que ça dérape...

Une psychothérapie est-elle exempte de dangers pour le patient ?...

Ce qui fait fracture selon moi entre les différentes obédiences psychanalytiques, ce ne sont pas tant les prétentions thérapeutiques mais plutôt la conception même de la cure et de ses objectifs.

L'attente du patient, on la connaît. Mais l'attente de l'analyste ! Est-ce que l'analyste attend quelque chose ?...

Un petit tour du côté de l'ethnopsychiatrie...

Je me suis toujours efforcé de tenir aux parents un discours pragmatique, sans faire celui qui sait, ni sans les culpabiliser...

Bon, c’est quelque chose qui nous nous arrive régulièrement : nous recevons un nouveau patient et celui-ci, au moment de se présenter et d’exposer les raisons de sa venue, dit qu’il a déjà fait de nombreuses thérapies.

Nous avons déjà abordé à plusieurs reprises le sujet des illusions. En faisant parler Freud, Camus, Dagerman. J’ai aussi décrit l’analyse comme un long voyage dont les étapes avancées voient chuter nombre de croyances et d’illusions. Aujourd’hui, je voudrais mettre en évidence les raisons qui poussent l’homme à faire siennes certaines croyances et à les défendre, quoiqu’il en coûte.

Nous avons tous été confrontés à des thérapies qui n'avancent pas...

C'est à Pinel puis à Kraeplin que nous devons les premières cartographies ordonnées de ce que l'on appelle la psychopathologie.

Lorsque des patients viennent déposer leurs plaintes auprès de nous, celles-ci sont habillées de symptômes ou de ressentis...

Vous avez peut-être regardé une séquence video datant d’il y a quelques années dans laquelle je présentais la jalousie sous la forme d’une fusée à trois étages.

Avant il y avait le refoulement. C’était la fabrique des névroses. On avait une espèce d’étalon, d’idéal, qui marquait en quelque sorte la juste mesure d’adéquation avec cet idéal. Et puis, le balancier de l’histoire est reparti vers son extrême opposé.

Comment sortir de la culpabilité ?

Il y a un autre champ de la pathologie où cette culpabilité trouve à se manifester alors même que la mort du proche ne s’est pas déroulée pendant la vie du sujet vivant.

Les récents séismes survenus en Turquie ont ravivé pour moi l’importance de revenir sur un sujet qui concerne tous les soignants : celui du trauma.

On me fait souvent remarquer que j’oppose régulièrement les deux versants de la psychanalyse, le versant adaptatif d’une part et le versant subversif d’autre part. Et vous m’écrivez : finalement qu’est-ce que ça signifie, subversif ? De quoi parlez-vous quand vous parlez de subversion ?

Je ne crois pas naïvement à une neutralité de l'analyste qui serait quelque chose d'absolu.

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Rares sont les séminaires au cours desquels je n'aborde pas le sujet de la théorie freudienne passant de la séduction au fantasme.

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"Ne suis-je pas trop vieux pour entreprendre une analyse ?". La question est souvent posée au cours du premier entretien avec une personne très âgée...

Il y a 34 ans, je posais pour la première fois mes mains sur le clavier d'un ordinateur...

Une invitation faite aux plus jeunes psychanalystes à s'interroger sur leur désir d'être analyste et sur la façon dont ils occupent le fauteuil par rapport à la méthode analytique.

Dans son ouvrage « Les visiteurs du Moi », Alain de Mijolla écrivait il y a bientôt 40 ans « Depuis que j'exerce la psychanalyse, je crois à la résurrection des morts... A un niveau psychique, bien entendu ». 

Une réflexion sur l'hypothèse d'un "ne pas vouloir" en lieu et place du "ne pas pouvoir".

Une tentative d'approcher le sujet avec clarté et simpplicité.

La psychanalyse ne peut pas faire l'économie du constat de la responsabilité qui pèse sur chacun d'entre nous quant à nos choix, nos décisions, nos actes...

Quand l'analyste se prête au jeu des associations libres.

Ma vision personnelle de la psychanalyse, celle que j'ai vécue, et celles avec laquelle j'accompagne les patients.

Si le versant adaptatif de la psychanalyse peut convenir à certains patients et à certains analystes, il demeure une mise en application de la norme du moment au sein de la société.

Question à réponse variable. Mon penchant pour la réponse de Jean Clavreul.

D'outil d'épanouissement et d'ouverture au monde à drogue addictive et aliénante.

Du besoin irrépressiblement humain d'accrocher l'angoisse à tout et n'importe quoi.

Après son introduction par Freud en 1905, le nivellement de la psychanalyse vers l'adaptation à l'environnement n'est pas seulement demeuré le fait des praticiens américains.

Jusqu'où devrait aller une analyse ?...

Qu'y a-t-il derrière la peur du vide ? Ce que l'on appelle généralement le vertige...

Dernier volet de la réflexion sur le sujet de la haine.

Suite de notre réflexion sur le sujet.

Une tentative d'éclairer cet affect.

Du poids et de la fonction des mots et du silence en analyse.

Pendant la crise de la Covid, l'incertitude a généré un nouveau

portemanteau à l'angoisse.

Les manifestations de ce qui barre la route du patient à son inconscient.

Un essai de psychopathologie de l'idéologie woke.

Les pratiques de certains instituts de formation qui font croire aux élèves qu'ils font une analyse, alors que l'analyse en question est biaisée dès le départ !

Du sentiment d'être exclu de la communauté des hommes à son éventuel retour.

La déferlante et ses ravages sur la société.

Que va-t-on chercher en analyse ?

1999 : la maladie du Coca en Belgique.

La question du genre et quelques pistes concernant l'origine du débat actuel.