Paroles lesbiennes

C’est quoi les bails avec le lesbiennes et

l’escalade ? On pense quoi des soirées

queers et lesbiennes ? Tinder ou Hinge ?

Découvrez le premier épisode de Papote Gouine, le podcast

qui ressemble à une soirée parlote avec tes potes !

Musique :

Dans cet épisode, je reçois Julie, avec qui on a parlé de lesbophobie, de représentations manquantes, de coming out, de sortir des normes et du chemin de l’hétérosexualité, et de tout plein d’autre choses que je vous laisse découvrir !

Bonne écoute ! 

Musique :

Ce jour là, quelques jours après le second tour des élections législatives, c’est Morgane qui est venue parler. 

Elle a posé des mots sur la contrainte à l’hétérosexualité et sur  l’homophobie intériorisée, a parlé de féminisme, de liberté, et du caractère politique de se dire lesbienne. 

Je la remercie d’avoir pris le temps, et vous souhaite une bonne écoute ! 

Musique :

Il y a un an et demi, Marthe a rencontré une femme dont elle est tombée très amoureuse. Dans cet épisode, elle nous parle de l'ambivalence de la situation : l'amour immense et la joie dans cette relation d'une part, et la violence du rejet de sa famille d'autre part.

Nous avons réalisé l'enregistrement à distance et ça s'entend ; j’espère que ça ne gênera pas trop, bonne écoute ! 

Musique :

Aujourd’hui c’est Agathe qui est venue parler. On a discuté de ce que le mot lesbienne représente ou ne représente pas pour elle, des cases dans lesquelles on a tendance à vouloir nous mettre, ou au contraire des cases ou communautés auxquelles on souhaite parfois appartenir. On a parlé d’amour, de découverte, de représentations et de positionnement dans l’espace public. 

Je la remercie pour ses mots, et vous laisse découvrir tout ca. Bonne écoute ! 

Musique :

Avec Blanche on ne savait pas si on voulait faire l’interview en format podcast ou vidéo, alors on a décidé de laisser le choix au hasard et de faire confiance au pile ou face. 

Pile on le fait en podcast, face en vidéo. C’est tombé sur face. 

Ça c’est pour vous dire que l’interview est aussi disponible sur Instagram, et que je vous invite à aller la regarder. 

Ce jour-là avec Blanche, on a discuté d’amour, beaucoup, de fluidité, de liberté et d’histoires qui se passent bien, parce que l’amour, toujours. 

Je la remercie d’être venue même si elle pensait ne rien avoir à partager d’intéressant, et vous laisse tranquillement découvrir ses mots. 

Très bonne écoute ! 

Musique :

La personne qui est venue témoigner aujourd’hui a choisi de le faire de manière anonyme, et je la remercie pour sa confiance. 

On a parlé de son parcours, de la découverte de son amour et attirance pour les femmes au sein d’un environnement complexe dans lequel il était impossible pour elle d’être lesbienne, de représentations, de religions, d’amour, et de plein d’autres choses que je vous laisse découvrir.

Très bonne écoute ! 

Aujourd’hui j’accueille Ambre. Dans ce témoignage, elle se confie sur ses relations passées avec des femmes de cultures différentes et analyse les difficultés que cela peut impliquer, parle des barrières sociétales et culturelles toujours en place qui censurent et empêchent les relations lesbiennes. 

Après avoir longtemps relationné avec des hommes et des femmes, elle explique également ce qui l’amène aujourd’hui à se définir comme lesbienne. 

Je la remercie pour sa confiance, et vous laisse découvrir ses mots ! 

Musique :

Il y a quelques jours, Paroles lesbiennes a eu la chance de tenir un stand à un événement organisé conjointement par la ville de Paris et par la fédération sportive LGBT+, à l’occasion de la journée de la visibilité lesbienne. Je sais pas si vous le savez, mais c’était le 26 avril dernier. 

Et je tiens vraiment à remercier l’organisation, parce que vraiment pour nous ça a été une journée incroyable.

C’était la première fois qu’on avait un stand, et c’était su-per chouette.

On avait pas grand chose on avait simplement des flyers et les interviews qui tournaient en boucle sur un écran, et les gens sont venus poser des questions, s’intéresser, regarder les témoignages, se proposer de témoigner, etc. 

On a reçu beaucoup de force je crois tout au long de cette journée, et personnellement j’en suis ressortie avec une joie immense. 

L’idée du stand c’était aussi de proposer d’enregistrer des toutes petites capsules de témoignages pour en faire ensuite un épisode spécial pour cette journée. C’est ce que vous vous apprêtez à écouter !

Musique :

La personne que vous allez écouter dans quelques instants a choisi de venir parler de manière anonyme, et c’est donc le premier enregistrement Paroles lesbiennes au format uniquement podcast. 

C’est un format un peu différent, j’espère qu’il vous plaira. Moi je suis hyper heureuse, parce que cette fille ça faisait des mois qu’elle me disait avoir envie de venir témoigner, mais avait peur et ne se sentait pas prête. 

Alors quand elle m’a recontacté il y a quelques jours pour se lancer, pour sauter le pas, j’ai ressenti beaucoup de joie. Pour le projet bien sûr, mais surtout pour elle. Et je suis ravie qu’elle signe ce premier enregistrement podcast.

En espérant que ça vous parle, vous touche et vous inspire, je vous souhaite une très bonne écoute !

Musiques :

Aujourd’hui j’accueille Tatyana. Elle m’a confié son histoire, m’a parlé de religion et de conflit interne entre attirance et foi, de son coming in et des réflexions qui ont accompagnées son chemin. 

Merci à elle pour sa confiance, et bonne écoute !

Ce jour-là j’ai accueilli Sara, et c’était une merveilleuse rencontre. Parce que Sara je la connaissais ni d’Eve ni d’Adam, simplement elle était tombée sur le compte Instagram et m’avait contactée pour participer. 

Et en lançant ce projet, je m’étais dit que le jour ou quelqu’un avec qui je n’avais aucun lien voudrait venir parler, ce serait la plus belle des victoires. Parce que ça voudrait dire que le message passe et que la parole porte. 

Voilà, donc Sara elle est arrivée comme un petit rayon de soleil et c’était très touchant. 

Bonne écoute !

Aujourd’hui j’accueille Farida au micro de Paroles lesbiennes. Elle est venue parler de son incompréhension face à la violence homophobe, de l’étonnement que cela suscite chez elle de savoir qu’une partie de la population se bat pour empêcher une autre d’être libre, mais aussi de l’ouverture d’esprit et de la profonde liberté qui accompagne le fait d’être lesbienne. 

Je vous laisse découvrir ses mots, bonne écoute ! 

Pour ce troisième épisode c’est Chloé qui est venue devant la caméra. 

Ensemble on a parlé d’amour, d’acceptation de soi, de la difficulté de s’assumer quand on se sent en dehors des normes, mais aussi de la joie et de liberté d’être lesbienne. 

Bonne écoute ! 

Dans ce second épisode, c’est Pauline qui est venue témoigner. 

On s’est posé la question de savoir si on naît lesbienne ou si on le devient, et elle nous a raconté son histoire, son ressenti en grandissant, sa sensation d’être différente mais sans savoir pourquoi. 

Bonne écoute !

Pour ce premier épisode j’accueille Guénaëlle. 

Aujourd’hui on a parlé de la découverte d’une autre forme de sexualité, du processus d’acceptation, du cheminement personnel. On a aussi parlé de ce que ça signifie que d’être lesbienne, et de ce qu’elle ressent de différent entre une relation queer et hétéro. 

Bonne écoute !   

Que ce soit dans les médias, dans le cinéma, dans la politique ou dans la rue, les lesbiennes sont invisibilisées.

Volontaire ou non, ce manque de représentation nous fait du mal, touche nos existences et nous empêche de vivre libres et sereines.

Pourtant nous sommes présentes, nous sommes vivantes, nous sommes fortes, belles, intelligentes, mais surtout, nous sommes partout et tout le temps. Nous sommes la voisine du 1er, la boulangère au coin de la rue, cette femme à côté de moi sur la ligne 1, ou encore cette fille qui tous les jours s’installe lire au bord du canal. Rien d’étonnant, nous sommes comme tout le monde.

Les mentalités évoluent, mais il reste encore compliqué de se dire lesbienne et de vivre librement sans redouter le regard, l’exclusion, la discrimination, les violences. Se dire lesbienne, c’est revendiquer le droit d’être et d’être heureuse, et je rêve d’un monde dans lequel nous n’aurons plus à revendiquer nos existences.

Je crois au pouvoir des représentations, et je crois que plus nous serons visibles, plus nous serons nombreux·ses, plus nous serons accepté·es. Plus encore, je crois en la force du collectif et du partage, je crois que nos histoires peuvent en aider d’autres. 

C'est donc nourri par cette idée qu'est né Paroles lesbiennes, un projet de témoignages initialement sous format vidéo, de personnes qui quelque part, en elles, se sentent une part lesbienne. C'est un projet de visibilisation, et j'ai très hâte de partager avec vous ces petits bouts de vies sous format podcast.

Musique : Poison, par Ona