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🌍 Comment était la Terre lorsqu'elle a vu naître la vie ? Une question qui intrigue la science depuis des siècles. Aujourd'hui, la plupart des scientifiques insistent sur le fait qu'elle est née d'une simple réaction chimique, qui a chaotiquement transformé la matière non vivante en la première cellule vivante. Néanmoins, cette explication est insuffisante en l'absence de preuves concrètes, même pour ses partisans les plus ardents.
Actuellement, chaque coin de la Terre recèle de vie. Des pôles à l'équateur, des grottes profondes aux chaînes montagneuses, des forêts tropicales aux volcans, au minimum des organismes primitifs peuvent être trouvés partout. Animaux, plantes, champignons et bactéries en quête d'espace vital se sont adaptés aux conditions les plus rudes. Cependant, les scientifiques pensent que pendant la plus grande partie de son histoire, la Terre a ressemblé à un endroit plutôt inhospitalier.
Lorsque la vie est apparue sur Terre, il y a environ 3,8 milliards d'années, la planète avait une apparence très différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. À cette époque, la surface de la Terre était essentiellement composée d'eau, avec de petits archipels et des terres émergées peu développées. L'atmosphère était également très différente de celle d'aujourd'hui, avec une forte proportion de gaz comme le méthane, l'ammoniac et le dioxyde de carbone.
Ces gaz ont été produits par des éruptions volcaniques massives et des réactions chimiques dans les océans primitifs. Il y avait également très peu d'oxygène dans l'atmosphère, car les organismes photosynthétiques capables de produire de l'oxygène n'étaient pas encore apparus.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Les Origines de la Vie :
• Les scientifiques utilisent une variété de méthodes pour étudier les conditions environnementales sur Terre lorsque la vie est apparue, notamment l’étude des roches et des fossiles.
La façon la plus directe de connaître la structure de la croûte terrestre et son histoire est d'étudier directement les roches, d'observer leur composition et leur position dans la croûte terrestre. Ainsi, les scientifiques peuvent étudier les roches et les fossiles pour déterminer les conditions environnementales qui existaient à l'époque il y a 3.8 milliards d’années.
Les roches ont des origines différentes. La façon dont elles se sont formées peut souvent nous être racontée par les roches elles-mêmes, si elles sont correctement comparées aux roches qui se forment aujourd’hui sous nos yeux et dont l'origine est claire. Par exemple, la composition chimique des roches peut indiquer les niveaux d'oxygène, de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à cette époque.
De plus, si la roche contient des coraux ou des coquillages semblables à ceux qui vivent aujourd'hui dans la mer, on en conclut que la roche s'est formée dans un fond marin. Si les feuilles et les troncs des plantes s'impriment sur les couches d'argiles ou de grès, il faut en déduire que ces roches se sont accumulées quelque part sur terre, peut-être au fond d’un lac, dans lequel des plantes sont tombées.
Les fossiles peuvent également être utilisés pour juger de la profondeur de la mer ancienne. Par exemple, les coraux vivent dans des milieux côtiers marins peu profonds. Par conséquent, les calcaires coralliens indiquent une mer peu profonde.
Cependant, la méthode paléontologique présente des limites significatives dans les cas où les roches contiennent peu de restes organiques fossiles ou lorsque ces restes ne sont pas caractéristiques. Les dépôts continentaux, tels que ceux des vallées fluviales et des lacs, recèlent beaucoup moins de fossiles que les roches marines, rendant ainsi la détermination de leur âge beaucoup plus difficile et moins précise.



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🌍 Comment était la Terre lorsqu'elle a vu naître la vie ? Une question qui intrigue la science depuis des siècles. Aujourd'hui, la plupart des scientifiques insistent sur le fait qu'elle est née d'une simple réaction chimique, qui a chaotiquement transformé la matière non vivante en la première cellule vivante. Néanmoins, cette explication est insuffisante en l'absence de preuves concrètes, même pour ses partisans les plus ardents.
Actuellement, chaque coin de la Terre recèle de vie. Des pôles à l'équateur, des grottes profondes aux chaînes montagneuses, des forêts tropicales aux volcans, au minimum des organismes primitifs peuvent être trouvés partout. Animaux, plantes, champignons et bactéries en quête d'espace vital se sont adaptés aux conditions les plus rudes. Cependant, les scientifiques pensent que pendant la plus grande partie de son histoire, la Terre a ressemblé à un endroit plutôt inhospitalier.
Lorsque la vie est apparue sur Terre, il y a environ 3,8 milliards d'années, la planète avait une apparence très différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. À cette époque, la surface de la Terre était essentiellement composée d'eau, avec de petits archipels et des terres émergées peu développées. L'atmosphère était également très différente de celle d'aujourd'hui, avec une forte proportion de gaz comme le méthane, l'ammoniac et le dioxyde de carbone.
Ces gaz ont été produits par des éruptions volcaniques massives et des réactions chimiques dans les océans primitifs. Il y avait également très peu d'oxygène dans l'atmosphère, car les organismes photosynthétiques capables de produire de l'oxygène n'étaient pas encore apparus.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Les Origines de la Vie :
• Les scientifiques utilisent une variété de méthodes pour étudier les conditions environnementales sur Terre lorsque la vie est apparue, notamment l’étude des roches et des fossiles.
La façon la plus directe de connaître la structure de la croûte terrestre et son histoire est d'étudier directement les roches, d'observer leur composition et leur position dans la croûte terrestre. Ainsi, les scientifiques peuvent étudier les roches et les fossiles pour déterminer les conditions environnementales qui existaient à l'époque il y a 3.8 milliards d’années.
Les roches ont des origines différentes. La façon dont elles se sont formées peut souvent nous être racontée par les roches elles-mêmes, si elles sont correctement comparées aux roches qui se forment aujourd’hui sous nos yeux et dont l'origine est claire. Par exemple, la composition chimique des roches peut indiquer les niveaux d'oxygène, de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à cette époque.
De plus, si la roche contient des coraux ou des coquillages semblables à ceux qui vivent aujourd'hui dans la mer, on en conclut que la roche s'est formée dans un fond marin. Si les feuilles et les troncs des plantes s'impriment sur les couches d'argiles ou de grès, il faut en déduire que ces roches se sont accumulées quelque part sur terre, peut-être au fond d’un lac, dans lequel des plantes sont tombées.
Les fossiles peuvent également être utilisés pour juger de la profondeur de la mer ancienne. Par exemple, les coraux vivent dans des milieux côtiers marins peu profonds. Par conséquent, les calcaires coralliens indiquent une mer peu profonde.
Cependant, la méthode paléontologique présente des limites significatives dans les cas où les roches contiennent peu de restes organiques fossiles ou lorsque ces restes ne sont pas caractéristiques. Les dépôts continentaux, tels que ceux des vallées fluviales et des lacs, recèlent beaucoup moins de fossiles que les roches marines, rendant ainsi la détermination de leur âge beaucoup plus difficile et moins précise.



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🌍 Comment était la Terre lorsqu'elle a vu naître la vie ? Une question qui intrigue la science depuis des siècles. Aujourd'hui, la plupart des scientifiques insistent sur le fait qu'elle est née d'une simple réaction chimique, qui a chaotiquement transformé la matière non vivante en la première cellule vivante. Néanmoins, cette explication est insuffisante en l'absence de preuves concrètes, même pour ses partisans les plus ardents.
Actuellement, chaque coin de la Terre recèle de vie. Des pôles à l'équateur, des grottes profondes aux chaînes montagneuses, des forêts tropicales aux volcans, au minimum des organismes primitifs peuvent être trouvés partout. Animaux, plantes, champignons et bactéries en quête d'espace vital se sont adaptés aux conditions les plus rudes. Cependant, les scientifiques pensent que pendant la plus grande partie de son histoire, la Terre a ressemblé à un endroit plutôt inhospitalier.
Lorsque la vie est apparue sur Terre, il y a environ 3,8 milliards d'années, la planète avait une apparence très différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. À cette époque, la surface de la Terre était essentiellement composée d'eau, avec de petits archipels et des terres émergées peu développées. L'atmosphère était également très différente de celle d'aujourd'hui, avec une forte proportion de gaz comme le méthane, l'ammoniac et le dioxyde de carbone.
Ces gaz ont été produits par des éruptions volcaniques massives et des réactions chimiques dans les océans primitifs. Il y avait également très peu d'oxygène dans l'atmosphère, car les organismes photosynthétiques capables de produire de l'oxygène n'étaient pas encore apparus.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Les Origines de la Vie :
• Les scientifiques utilisent une variété de méthodes pour étudier les conditions environnementales sur Terre lorsque la vie est apparue, notamment l’étude des roches et des fossiles.
La façon la plus directe de connaître la structure de la croûte terrestre et son histoire est d'étudier directement les roches, d'observer leur composition et leur position dans la croûte terrestre. Ainsi, les scientifiques peuvent étudier les roches et les fossiles pour déterminer les conditions environnementales qui existaient à l'époque il y a 3.8 milliards d’années.
Les roches ont des origines différentes. La façon dont elles se sont formées peut souvent nous être racontée par les roches elles-mêmes, si elles sont correctement comparées aux roches qui se forment aujourd’hui sous nos yeux et dont l'origine est claire. Par exemple, la composition chimique des roches peut indiquer les niveaux d'oxygène, de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à cette époque.
De plus, si la roche contient des coraux ou des coquillages semblables à ceux qui vivent aujourd'hui dans la mer, on en conclut que la roche s'est formée dans un fond marin. Si les feuilles et les troncs des plantes s'impriment sur les couches d'argiles ou de grès, il faut en déduire que ces roches se sont accumulées quelque part sur terre, peut-être au fond d’un lac, dans lequel des plantes sont tombées.
Les fossiles peuvent également être utilisés pour juger de la profondeur de la mer ancienne. Par exemple, les coraux vivent dans des milieux côtiers marins peu profonds. Par conséquent, les calcaires coralliens indiquent une mer peu profonde.
Cependant, la méthode paléontologique présente des limites significatives dans les cas où les roches contiennent peu de restes organiques fossiles ou lorsque ces restes ne sont pas caractéristiques. Les dépôts continentaux, tels que ceux des vallées fluviales et des lacs, recèlent beaucoup moins de fossiles que les roches marines, rendant ainsi la détermination de leur âge beaucoup plus difficile et moins précise.



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🌍 Comment était la Terre lorsqu'elle a vu naître la vie ? Une question qui intrigue la science depuis des siècles. Aujourd'hui, la plupart des scientifiques insistent sur le fait qu'elle est née d'une simple réaction chimique, qui a chaotiquement transformé la matière non vivante en la première cellule vivante. Néanmoins, cette explication est insuffisante en l'absence de preuves concrètes, même pour ses partisans les plus ardents.
Actuellement, chaque coin de la Terre recèle de vie. Des pôles à l'équateur, des grottes profondes aux chaînes montagneuses, des forêts tropicales aux volcans, au minimum des organismes primitifs peuvent être trouvés partout. Animaux, plantes, champignons et bactéries en quête d'espace vital se sont adaptés aux conditions les plus rudes. Cependant, les scientifiques pensent que pendant la plus grande partie de son histoire, la Terre a ressemblé à un endroit plutôt inhospitalier.
Lorsque la vie est apparue sur Terre, il y a environ 3,8 milliards d'années, la planète avait une apparence très différente de celle que nous connaissons aujourd'hui. À cette époque, la surface de la Terre était essentiellement composée d'eau, avec de petits archipels et des terres émergées peu développées. L'atmosphère était également très différente de celle d'aujourd'hui, avec une forte proportion de gaz comme le méthane, l'ammoniac et le dioxyde de carbone.
Ces gaz ont été produits par des éruptions volcaniques massives et des réactions chimiques dans les océans primitifs. Il y avait également très peu d'oxygène dans l'atmosphère, car les organismes photosynthétiques capables de produire de l'oxygène n'étaient pas encore apparus.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Les Origines de la Vie :
• Les scientifiques utilisent une variété de méthodes pour étudier les conditions environnementales sur Terre lorsque la vie est apparue, notamment l’étude des roches et des fossiles.
La façon la plus directe de connaître la structure de la croûte terrestre et son histoire est d'étudier directement les roches, d'observer leur composition et leur position dans la croûte terrestre. Ainsi, les scientifiques peuvent étudier les roches et les fossiles pour déterminer les conditions environnementales qui existaient à l'époque il y a 3.8 milliards d’années.
Les roches ont des origines différentes. La façon dont elles se sont formées peut souvent nous être racontée par les roches elles-mêmes, si elles sont correctement comparées aux roches qui se forment aujourd’hui sous nos yeux et dont l'origine est claire. Par exemple, la composition chimique des roches peut indiquer les niveaux d'oxygène, de dioxyde de carbone et de gaz à effet de serre dans l'atmosphère à cette époque.
De plus, si la roche contient des coraux ou des coquillages semblables à ceux qui vivent aujourd'hui dans la mer, on en conclut que la roche s'est formée dans un fond marin. Si les feuilles et les troncs des plantes s'impriment sur les couches d'argiles ou de grès, il faut en déduire que ces roches se sont accumulées quelque part sur terre, peut-être au fond d’un lac, dans lequel des plantes sont tombées.
Les fossiles peuvent également être utilisés pour juger de la profondeur de la mer ancienne. Par exemple, les coraux vivent dans des milieux côtiers marins peu profonds. Par conséquent, les calcaires coralliens indiquent une mer peu profonde.
Cependant, la méthode paléontologique présente des limites significatives dans les cas où les roches contiennent peu de restes organiques fossiles ou lorsque ces restes ne sont pas caractéristiques. Les dépôts continentaux, tels que ceux des vallées fluviales et des lacs, recèlent beaucoup moins de fossiles que les roches marines, rendant ainsi la détermination de leur âge beaucoup plus difficile et moins précise.



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🌍 Un monde entièrement recouvert d’océans est-il possible ? Cette question n’intéresse pas seulement les auteurs de science-fiction, mais aussi les astronomes. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes dans l’Univers : on peut alors tout imaginer !
Les scientifiques, eux, se basent avant tout sur des modèles, principalement construits à partir de ce qui a été observé dans notre propre système solaire. On distingue donc deux grandes catégories de planètes : les planètes telluriques comme Mercure, Vénus, la Terre et Mars, et les planètes géantes gazeuses comme Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Au sein de chaque catégorie de planètes, on peut encore créer de multiples sous-catégories.
Prenons l’exemple des planètes rocheuses. Vénus, la Terre et Mars sont des planètes de silicates, ce qui veut dire qu’elles ont un manteau rocheux à base de silice et un noyau métallique constitué de nickel et de fer. Mais Mercure, elle, est une planète métallique, avec un noyau de fer qui représente près de 70 % de la masse de la planète !
À partir des modèles existants, confrontés aux caractéristiques des exoplanètes observées comme la masse et la densité, les scientifiques peuvent imaginer des modèles de planètes très variés. Il pourrait y avoir des exoplanètes presque entièrement constituées de métal, avec une croûte rocheuse très mince voire inexistante. D’autres pourraient être des planètes de lave, car la température en surface serait tellement élevée que les roches de la croûte fondraient.
Il pourrait même y avoir des planètes de diamant, formées par l’assemblage d’astéroïdes composés de carbone. Même si cela te semble tiré par les cheveux, les modèles des astrophysiciens estiment que cela est possible. 70 % des astéroïdes sont constitués de carbone et le carbone, à très haute pression, crée du diamant. L’exoplanète 55 Cancri e pourrait de cette manière être une planète de diamant recouverte de graphite.
Il pourrait donc aussi, d’après les modèles des scientifiques, y avoir dans notre Univers des planètes entièrement recouvertes d’eau sous forme liquide. Ou plutôt, de l’eau liquide en surface, et de la glace dans leurs profondeurs. C’est ce que l’on appelle les planètes océans.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Les Planètes Océans :
• Commençons par le début : qu’est-ce qu’une planète océan ?
Lorsque l’on parle de planète océan, de monde océan, de planète océanique, de monde océanique, de planète panthalassique, d’aquaplanète ou de monde maritime ou aquatique, c’est la même chose. Tous ces termes désignent le modèle théorique de la planète océan.
Longtemps, l’idée qu’il pouvait exister des planètes entièrement recouvertes d’un océan semblait relever de la science-fiction. Pour un observateur lambda, les mondes océans étaient le fruit de l’imagination des auteurs, des scénaristes et des conteurs. Mais les scientifiques se sont sérieusement penchés sur cette idée depuis la découverte des exoplanètes.
La découverte de la première exoplanète a été annoncée le 6 octobre 1995 par Michel Mayor et Didier Queloz : elle a été nommée 51 Pegasi b. Cette exoplanète gazeuse de type Jupiter est inhabitable et très loin de nous, à un peu plus de 50 années-lumière.

Une planète océan serait une super-Terre recouverte d’un immense océan liquide, pas forcément d’eau salée. Une super-Terre, c’est une planète tellurique, comme la Terre, mais dont la masse est supérieure à celle de notre planète. Les planètes aquatiques pourraient être 6 à 10 fois plus grosses que la Terre. Les océans de ces planètes pourraient être très profonds, environ 100 km d’après les modèles, voire plus. Schématiquement, une planète océan qui se rapprocherait de son étoile deviendrait une planète-sauna car elle serait alors enveloppée d’une épaisse atmosphère de vapeur d’eau, tandis qu’une...

🌍 Un monde entièrement recouvert d’océans est-il possible ? Cette question n’intéresse pas seulement les auteurs de science-fiction, mais aussi les astronomes. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes dans l’Univers : on peut alors tout imaginer !
Les scientifiques, eux, se basent avant tout sur des modèles, principalement construits à partir de ce qui a été observé dans notre propre système solaire. On distingue donc deux grandes catégories de planètes : les planètes telluriques comme Mercure, Vénus, la Terre et Mars, et les planètes géantes gazeuses comme Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Au sein de chaque catégorie de planètes, on peut encore créer de multiples sous-catégories.
Prenons l’exemple des planètes rocheuses. Vénus, la Terre et Mars sont des planètes de silicates, ce qui veut dire qu’elles ont un manteau rocheux à base de silice et un noyau métallique constitué de nickel et de fer. Mais Mercure, elle, est une planète métallique, avec un noyau de fer qui représente près de 70 % de la masse de la planète !
À partir des modèles existants, confrontés aux caractéristiques des exoplanètes observées comme la masse et la densité, les scientifiques peuvent imaginer des modèles de planètes très variés. Il pourrait y avoir des exoplanètes presque entièrement constituées de métal, avec une croûte rocheuse très mince voire inexistante. D’autres pourraient être des planètes de lave, car la température en surface serait tellement élevée que les roches de la croûte fondraient.
Il pourrait même y avoir des planètes de diamant, formées par l’assemblage d’astéroïdes composés de carbone. Même si cela te semble tiré par les cheveux, les modèles des astrophysiciens estiment que cela est possible. 70 % des astéroïdes sont constitués de carbone et le carbone, à très haute pression, crée du diamant. L’exoplanète 55 Cancri e pourrait de cette manière être une planète de diamant recouverte de graphite.
Il pourrait donc aussi, d’après les modèles des scientifiques, y avoir dans notre Univers des planètes entièrement recouvertes d’eau sous forme liquide. Ou plutôt, de l’eau liquide en surface, et de la glace dans leurs profondeurs. C’est ce que l’on appelle les planètes océans.




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💥 Les Planètes Océans :
• Commençons par le début : qu’est-ce qu’une planète océan ?
Lorsque l’on parle de planète océan, de monde océan, de planète océanique, de monde océanique, de planète panthalassique, d’aquaplanète ou de monde maritime ou aquatique, c’est la même chose. Tous ces termes désignent le modèle théorique de la planète océan.
Longtemps, l’idée qu’il pouvait exister des planètes entièrement recouvertes d’un océan semblait relever de la science-fiction. Pour un observateur lambda, les mondes océans étaient le fruit de l’imagination des auteurs, des scénaristes et des conteurs. Mais les scientifiques se sont sérieusement penchés sur cette idée depuis la découverte des exoplanètes.
La découverte de la première exoplanète a été annoncée le 6 octobre 1995 par Michel Mayor et Didier Queloz : elle a été nommée 51 Pegasi b. Cette exoplanète gazeuse de type Jupiter est inhabitable et très loin de nous, à un peu plus de 50 années-lumière.

Une planète océan serait une super-Terre recouverte d’un immense océan liquide, pas forcément d’eau salée. Une super-Terre, c’est une planète tellurique, comme la Terre, mais dont la masse est supérieure à celle de notre planète. Les planètes aquatiques pourraient être 6 à 10 fois plus grosses que la Terre. Les océans de ces planètes pourraient être très profonds, environ 100 km d’après les modèles, voire plus. Schématiquement, une planète océan qui se rapprocherait de son étoile deviendrait une planète-sauna car elle serait alors enveloppée d’une épaisse atmosphère de vapeur d’eau, tandis qu’une...

🌍 Un monde entièrement recouvert d’océans est-il possible ? Cette question n’intéresse pas seulement les auteurs de science-fiction, mais aussi les astronomes. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes dans l’Univers : on peut alors tout imaginer !
Les scientifiques, eux, se basent avant tout sur des modèles, principalement construits à partir de ce qui a été observé dans notre propre système solaire. On distingue donc deux grandes catégories de planètes : les planètes telluriques comme Mercure, Vénus, la Terre et Mars, et les planètes géantes gazeuses comme Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Au sein de chaque catégorie de planètes, on peut encore créer de multiples sous-catégories.
Prenons l’exemple des planètes rocheuses. Vénus, la Terre et Mars sont des planètes de silicates, ce qui veut dire qu’elles ont un manteau rocheux à base de silice et un noyau métallique constitué de nickel et de fer. Mais Mercure, elle, est une planète métallique, avec un noyau de fer qui représente près de 70 % de la masse de la planète !
À partir des modèles existants, confrontés aux caractéristiques des exoplanètes observées comme la masse et la densité, les scientifiques peuvent imaginer des modèles de planètes très variés. Il pourrait y avoir des exoplanètes presque entièrement constituées de métal, avec une croûte rocheuse très mince voire inexistante. D’autres pourraient être des planètes de lave, car la température en surface serait tellement élevée que les roches de la croûte fondraient.
Il pourrait même y avoir des planètes de diamant, formées par l’assemblage d’astéroïdes composés de carbone. Même si cela te semble tiré par les cheveux, les modèles des astrophysiciens estiment que cela est possible. 70 % des astéroïdes sont constitués de carbone et le carbone, à très haute pression, crée du diamant. L’exoplanète 55 Cancri e pourrait de cette manière être une planète de diamant recouverte de graphite.
Il pourrait donc aussi, d’après les modèles des scientifiques, y avoir dans notre Univers des planètes entièrement recouvertes d’eau sous forme liquide. Ou plutôt, de l’eau liquide en surface, et de la glace dans leurs profondeurs. C’est ce que l’on appelle les planètes océans.




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• Commençons par le début : qu’est-ce qu’une planète océan ?
Lorsque l’on parle de planète océan, de monde océan, de planète océanique, de monde océanique, de planète panthalassique, d’aquaplanète ou de monde maritime ou aquatique, c’est la même chose. Tous ces termes désignent le modèle théorique de la planète océan.
Longtemps, l’idée qu’il pouvait exister des planètes entièrement recouvertes d’un océan semblait relever de la science-fiction. Pour un observateur lambda, les mondes océans étaient le fruit de l’imagination des auteurs, des scénaristes et des conteurs. Mais les scientifiques se sont sérieusement penchés sur cette idée depuis la découverte des exoplanètes.
La découverte de la première exoplanète a été annoncée le 6 octobre 1995 par Michel Mayor et Didier Queloz : elle a été nommée 51 Pegasi b. Cette exoplanète gazeuse de type Jupiter est inhabitable et très loin de nous, à un peu plus de 50 années-lumière.

Une planète océan serait une super-Terre recouverte d’un immense océan liquide, pas forcément d’eau salée. Une super-Terre, c’est une planète tellurique, comme la Terre, mais dont la masse est supérieure à celle de notre planète. Les planètes aquatiques pourraient être 6 à 10 fois plus grosses que la Terre. Les océans de ces planètes pourraient être très profonds, environ 100 km d’après les modèles, voire plus. Schématiquement, une planète océan qui se rapprocherait de son étoile deviendrait une planète-sauna car elle serait alors enveloppée d’une épaisse atmosphère de vapeur d’eau, tandis qu’une...

🌍 Un monde entièrement recouvert d’océans est-il possible ? Cette question n’intéresse pas seulement les auteurs de science-fiction, mais aussi les astronomes. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes dans l’Univers : on peut alors tout imaginer !
Les scientifiques, eux, se basent avant tout sur des modèles, principalement construits à partir de ce qui a été observé dans notre propre système solaire. On distingue donc deux grandes catégories de planètes : les planètes telluriques comme Mercure, Vénus, la Terre et Mars, et les planètes géantes gazeuses comme Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Au sein de chaque catégorie de planètes, on peut encore créer de multiples sous-catégories.
Prenons l’exemple des planètes rocheuses. Vénus, la Terre et Mars sont des planètes de silicates, ce qui veut dire qu’elles ont un manteau rocheux à base de silice et un noyau métallique constitué de nickel et de fer. Mais Mercure, elle, est une planète métallique, avec un noyau de fer qui représente près de 70 % de la masse de la planète !
À partir des modèles existants, confrontés aux caractéristiques des exoplanètes observées comme la masse et la densité, les scientifiques peuvent imaginer des modèles de planètes très variés. Il pourrait y avoir des exoplanètes presque entièrement constituées de métal, avec une croûte rocheuse très mince voire inexistante. D’autres pourraient être des planètes de lave, car la température en surface serait tellement élevée que les roches de la croûte fondraient.
Il pourrait même y avoir des planètes de diamant, formées par l’assemblage d’astéroïdes composés de carbone. Même si cela te semble tiré par les cheveux, les modèles des astrophysiciens estiment que cela est possible. 70 % des astéroïdes sont constitués de carbone et le carbone, à très haute pression, crée du diamant. L’exoplanète 55 Cancri e pourrait de cette manière être une planète de diamant recouverte de graphite.
Il pourrait donc aussi, d’après les modèles des scientifiques, y avoir dans notre Univers des planètes entièrement recouvertes d’eau sous forme liquide. Ou plutôt, de l’eau liquide en surface, et de la glace dans leurs profondeurs. C’est ce que l’on appelle les planètes océans.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Les Planètes Océans :
• Commençons par le début : qu’est-ce qu’une planète océan ?
Lorsque l’on parle de planète océan, de monde océan, de planète océanique, de monde océanique, de planète panthalassique, d’aquaplanète ou de monde maritime ou aquatique, c’est la même chose. Tous ces termes désignent le modèle théorique de la planète océan.
Longtemps, l’idée qu’il pouvait exister des planètes entièrement recouvertes d’un océan semblait relever de la science-fiction. Pour un observateur lambda, les mondes océans étaient le fruit de l’imagination des auteurs, des scénaristes et des conteurs. Mais les scientifiques se sont sérieusement penchés sur cette idée depuis la découverte des exoplanètes.
La découverte de la première exoplanète a été annoncée le 6 octobre 1995 par Michel Mayor et Didier Queloz : elle a été nommée 51 Pegasi b. Cette exoplanète gazeuse de type Jupiter est inhabitable et très loin de nous, à un peu plus de 50 années-lumière.

Une planète océan serait une super-Terre recouverte d’un immense océan liquide, pas forcément d’eau salée. Une super-Terre, c’est une planète tellurique, comme la Terre, mais dont la masse est supérieure à celle de notre planète. Les planètes aquatiques pourraient être 6 à 10 fois plus grosses que la Terre. Les océans de ces planètes pourraient être très profonds, environ 100 km d’après les modèles, voire plus. Schématiquement, une planète océan qui se rapprocherait de son étoile deviendrait une planète-sauna car elle serait alors enveloppée d’une épaisse atmosphère de vapeur d’eau, tandis qu’une...

🌍 Un monde entièrement recouvert d’océans est-il possible ? Cette question n’intéresse pas seulement les auteurs de science-fiction, mais aussi les astronomes. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes dans l’Univers : on peut alors tout imaginer !
Les scientifiques, eux, se basent avant tout sur des modèles, principalement construits à partir de ce qui a été observé dans notre propre système solaire. On distingue donc deux grandes catégories de planètes : les planètes telluriques comme Mercure, Vénus, la Terre et Mars, et les planètes géantes gazeuses comme Jupiter, Saturne, Uranus et Neptune. Au sein de chaque catégorie de planètes, on peut encore créer de multiples sous-catégories.
Prenons l’exemple des planètes rocheuses. Vénus, la Terre et Mars sont des planètes de silicates, ce qui veut dire qu’elles ont un manteau rocheux à base de silice et un noyau métallique constitué de nickel et de fer. Mais Mercure, elle, est une planète métallique, avec un noyau de fer qui représente près de 70 % de la masse de la planète !
À partir des modèles existants, confrontés aux caractéristiques des exoplanètes observées comme la masse et la densité, les scientifiques peuvent imaginer des modèles de planètes très variés. Il pourrait y avoir des exoplanètes presque entièrement constituées de métal, avec une croûte rocheuse très mince voire inexistante. D’autres pourraient être des planètes de lave, car la température en surface serait tellement élevée que les roches de la croûte fondraient.
Il pourrait même y avoir des planètes de diamant, formées par l’assemblage d’astéroïdes composés de carbone. Même si cela te semble tiré par les cheveux, les modèles des astrophysiciens estiment que cela est possible. 70 % des astéroïdes sont constitués de carbone et le carbone, à très haute pression, crée du diamant. L’exoplanète 55 Cancri e pourrait de cette manière être une planète de diamant recouverte de graphite.
Il pourrait donc aussi, d’après les modèles des scientifiques, y avoir dans notre Univers des planètes entièrement recouvertes d’eau sous forme liquide. Ou plutôt, de l’eau liquide en surface, et de la glace dans leurs profondeurs. C’est ce que l’on appelle les planètes océans.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Les Planètes Océans :
• Commençons par le début : qu’est-ce qu’une planète océan ?
Lorsque l’on parle de planète océan, de monde océan, de planète océanique, de monde océanique, de planète panthalassique, d’aquaplanète ou de monde maritime ou aquatique, c’est la même chose. Tous ces termes désignent le modèle théorique de la planète océan.
Longtemps, l’idée qu’il pouvait exister des planètes entièrement recouvertes d’un océan semblait relever de la science-fiction. Pour un observateur lambda, les mondes océans étaient le fruit de l’imagination des auteurs, des scénaristes et des conteurs. Mais les scientifiques se sont sérieusement penchés sur cette idée depuis la découverte des exoplanètes.
La découverte de la première exoplanète a été annoncée le 6 octobre 1995 par Michel Mayor et Didier Queloz : elle a été nommée 51 Pegasi b. Cette exoplanète gazeuse de type Jupiter est inhabitable et très loin de nous, à un peu plus de 50 années-lumière.

Une planète océan serait une super-Terre recouverte d’un immense océan liquide, pas forcément d’eau salée. Une super-Terre, c’est une planète tellurique, comme la Terre, mais dont la masse est supérieure à celle de notre planète. Les planètes aquatiques pourraient être 6 à 10 fois plus grosses que la Terre. Les océans de ces planètes pourraient être très profonds, environ 100 km d’après les modèles, voire plus. Schématiquement, une planète océan qui se rapprocherait de son étoile deviendrait une planète-sauna car elle serait alors enveloppée d’une épaisse atmosphère de vapeur d’eau, tandis qu’une...

🌍 À l’heure où nous sommes capables de percevoir l’infiniment petit, des organismes microscopiques tels que les microbes, les acariens ou les bactéries, que savons-nous des géants qui ont foulé la terre de notre planète ?
L’éléphant, le rhinocéros, la girafe, l’ours brun ou la baleine bleue font partie des animaux les plus grands et les plus gros de notre ère. Ces animaux, aussi grands ou imposants soient-ils, sont parvenus à survivre dans leur environnement et à développer des compétences d’adaptation extraordinaire pour se servir de leur dimension hors norme comme d’un atout.
C’est invraisemblable de se dire que la baleine bleue, qui se positionne sur la plus haute marche du podium, peut mesurer plus de 30 mètres et peser jusqu’à 170 tonnes. Si elle est capable de se déplacer malgré des mensurations aussi vertigineuses, c’est uniquement parce qu’elle évolue dans un milieu aquatique. La portance de l’eau lui permet de supporter son propre poids, de se déplacer dans l’océan, de se nourrir ou encore de se reproduire. Sur terre, ses organes et ses os crouleraient sous son poids.
Il y a des millions d’années, des animaux bien plus impressionnants encore ont vécu sur notre planète. Des animaux qui, s’ils étaient encore présents aujourd’hui, changeraient le visage de la Terre. Ces titans d’un autre monde ont réussi à survivre durant des millions d’années. Ils se sont fait une place dans le cycle de la vie et ont marqué l’histoire de la planète.
Ce qui est tout à fait surprenant, c’est que contrairement à la baleine, ils ne vivaient pas tous dans l’eau. Certains ont foulé le sol terrestre, d’autres sont même parvenus à dompter le ciel !
Quels étaient ces animaux ? À quoi ressemblaient-ils ? Comment leur squelette pouvait-il supporter un tel poids ? Comment leur morphologie leur permettait-elle de se déplacer malgré des mensurations aussi extraordinaires, que ce soit dans l’eau, sur terre et même dans les airs ? Comment leur métabolisme leur permettait-il de survivre ? Quel est le plus gros animal de tous les temps ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Le Monde Oublié des Géants Préhistoriques :
• Commençons tout d’abord par nous familiariser avec notre nouvel environnement. Nous avons un paysage un peu marécageux qui se dessine devant nous avec des plantes telles que les Rhynia, des buissons Rellimia ou encore des lycopodes Leclercquia. Au loin se trouvent les arbres les plus hauts de cette époque. Celui que tu vois là, c’est un Archaeopteris. Il peut atteindre près de 40 mètres de haut. Il pourrait s’apparenter à nos sapins actuels. Le calme et la sérénité semblent régner. Tout semble paisible.
Sa virtuosité aérienne en fait une redoutable prédatrice, car elle vole plus vite que la plupart de ses proies, elle peut changer subitement de cap, réaliser une marche arrière ou faire du sur place grâce à ses quatre ailes capables de bouger de manière indépendante.
Notre Meganeura est loin d’atteindre la vitesse de pointe de 90 km/h de nos libellules modernes, cependant, elle est presque 5 à 7 fois plus grosse.
Cette libellule est dotée de deux paires d’ailes. La plus grande de ces deux paires peut atteindre entre 70 et 75 cm d’envergure. Pour te donner un élément de comparaison, la distance entre ses deux ailes est à quelque chose près la même que celle qui sépare les deux extrémités des ailes de l’épervier brun, un rapace spécialisé dans la capture d’oiseaux, de petits mammifères, de lézards et de grenouilles.
Les mosasaures font partie des grands reptiles marins ayant vécu au Crétacé. La plupart des membres de cette famille hors norme présentent des dimensions assez exceptionnelles. Mais, le plus grand d’entre eux est Mosasaurus. Long de 18 mètres, il terrorisait les mers de la planète.


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🎬 Au programme...

🌍 À l’heure où nous sommes capables de percevoir l’infiniment petit, des organismes microscopiques tels que les microbes, les acariens ou les bactéries, que savons-nous des géants qui ont foulé la terre de notre planète ?
L’éléphant, le rhinocéros, la girafe, l’ours brun ou la baleine bleue font partie des animaux les plus grands et les plus gros de notre ère. Ces animaux, aussi grands ou imposants soient-ils, sont parvenus à survivre dans leur environnement et à développer des compétences d’adaptation extraordinaire pour se servir de leur dimension hors norme comme d’un atout.
C’est invraisemblable de se dire que la baleine bleue, qui se positionne sur la plus haute marche du podium, peut mesurer plus de 30 mètres et peser jusqu’à 170 tonnes. Si elle est capable de se déplacer malgré des mensurations aussi vertigineuses, c’est uniquement parce qu’elle évolue dans un milieu aquatique. La portance de l’eau lui permet de supporter son propre poids, de se déplacer dans l’océan, de se nourrir ou encore de se reproduire. Sur terre, ses organes et ses os crouleraient sous son poids.
Il y a des millions d’années, des animaux bien plus impressionnants encore ont vécu sur notre planète. Des animaux qui, s’ils étaient encore présents aujourd’hui, changeraient le visage de la Terre. Ces titans d’un autre monde ont réussi à survivre durant des millions d’années. Ils se sont fait une place dans le cycle de la vie et ont marqué l’histoire de la planète.
Ce qui est tout à fait surprenant, c’est que contrairement à la baleine, ils ne vivaient pas tous dans l’eau. Certains ont foulé le sol terrestre, d’autres sont même parvenus à dompter le ciel !
Quels étaient ces animaux ? À quoi ressemblaient-ils ? Comment leur squelette pouvait-il supporter un tel poids ? Comment leur morphologie leur permettait-elle de se déplacer malgré des mensurations aussi extraordinaires, que ce soit dans l’eau, sur terre et même dans les airs ? Comment leur métabolisme leur permettait-il de survivre ? Quel est le plus gros animal de tous les temps ?




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• Commençons tout d’abord par nous familiariser avec notre nouvel environnement. Nous avons un paysage un peu marécageux qui se dessine devant nous avec des plantes telles que les Rhynia, des buissons Rellimia ou encore des lycopodes Leclercquia. Au loin se trouvent les arbres les plus hauts de cette époque. Celui que tu vois là, c’est un Archaeopteris. Il peut atteindre près de 40 mètres de haut. Il pourrait s’apparenter à nos sapins actuels. Le calme et la sérénité semblent régner. Tout semble paisible.
Sa virtuosité aérienne en fait une redoutable prédatrice, car elle vole plus vite que la plupart de ses proies, elle peut changer subitement de cap, réaliser une marche arrière ou faire du sur place grâce à ses quatre ailes capables de bouger de manière indépendante.
Notre Meganeura est loin d’atteindre la vitesse de pointe de 90 km/h de nos libellules modernes, cependant, elle est presque 5 à 7 fois plus grosse.
Cette libellule est dotée de deux paires d’ailes. La plus grande de ces deux paires peut atteindre entre 70 et 75 cm d’envergure. Pour te donner un élément de comparaison, la distance entre ses deux ailes est à quelque chose près la même que celle qui sépare les deux extrémités des ailes de l’épervier brun, un rapace spécialisé dans la capture d’oiseaux, de petits mammifères, de lézards et de grenouilles.
Les mosasaures font partie des grands reptiles marins ayant vécu au Crétacé. La plupart des membres de cette famille hors norme présentent des dimensions assez exceptionnelles. Mais, le plus grand d’entre eux est Mosasaurus. Long de 18 mètres, il terrorisait les mers de la planète.


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🎬 Au programme...

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L’éléphant, le rhinocéros, la girafe, l’ours brun ou la baleine bleue font partie des animaux les plus grands et les plus gros de notre ère. Ces animaux, aussi grands ou imposants soient-ils, sont parvenus à survivre dans leur environnement et à développer des compétences d’adaptation extraordinaire pour se servir de leur dimension hors norme comme d’un atout.
C’est invraisemblable de se dire que la baleine bleue, qui se positionne sur la plus haute marche du podium, peut mesurer plus de 30 mètres et peser jusqu’à 170 tonnes. Si elle est capable de se déplacer malgré des mensurations aussi vertigineuses, c’est uniquement parce qu’elle évolue dans un milieu aquatique. La portance de l’eau lui permet de supporter son propre poids, de se déplacer dans l’océan, de se nourrir ou encore de se reproduire. Sur terre, ses organes et ses os crouleraient sous son poids.
Il y a des millions d’années, des animaux bien plus impressionnants encore ont vécu sur notre planète. Des animaux qui, s’ils étaient encore présents aujourd’hui, changeraient le visage de la Terre. Ces titans d’un autre monde ont réussi à survivre durant des millions d’années. Ils se sont fait une place dans le cycle de la vie et ont marqué l’histoire de la planète.
Ce qui est tout à fait surprenant, c’est que contrairement à la baleine, ils ne vivaient pas tous dans l’eau. Certains ont foulé le sol terrestre, d’autres sont même parvenus à dompter le ciel !
Quels étaient ces animaux ? À quoi ressemblaient-ils ? Comment leur squelette pouvait-il supporter un tel poids ? Comment leur morphologie leur permettait-elle de se déplacer malgré des mensurations aussi extraordinaires, que ce soit dans l’eau, sur terre et même dans les airs ? Comment leur métabolisme leur permettait-il de survivre ? Quel est le plus gros animal de tous les temps ?




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Sa virtuosité aérienne en fait une redoutable prédatrice, car elle vole plus vite que la plupart de ses proies, elle peut changer subitement de cap, réaliser une marche arrière ou faire du sur place grâce à ses quatre ailes capables de bouger de manière indépendante.
Notre Meganeura est loin d’atteindre la vitesse de pointe de 90 km/h de nos libellules modernes, cependant, elle est presque 5 à 7 fois plus grosse.
Cette libellule est dotée de deux paires d’ailes. La plus grande de ces deux paires peut atteindre entre 70 et 75 cm d’envergure. Pour te donner un élément de comparaison, la distance entre ses deux ailes est à quelque chose près la même que celle qui sépare les deux extrémités des ailes de l’épervier brun, un rapace spécialisé dans la capture d’oiseaux, de petits mammifères, de lézards et de grenouilles.
Les mosasaures font partie des grands reptiles marins ayant vécu au Crétacé. La plupart des membres de cette famille hors norme présentent des dimensions assez exceptionnelles. Mais, le plus grand d’entre eux est Mosasaurus. Long de 18 mètres, il terrorisait les mers de la planète.


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L’éléphant, le rhinocéros, la girafe, l’ours brun ou la baleine bleue font partie des animaux les plus grands et les plus gros de notre ère. Ces animaux, aussi grands ou imposants soient-ils, sont parvenus à survivre dans leur environnement et à développer des compétences d’adaptation extraordinaire pour se servir de leur dimension hors norme comme d’un atout.
C’est invraisemblable de se dire que la baleine bleue, qui se positionne sur la plus haute marche du podium, peut mesurer plus de 30 mètres et peser jusqu’à 170 tonnes. Si elle est capable de se déplacer malgré des mensurations aussi vertigineuses, c’est uniquement parce qu’elle évolue dans un milieu aquatique. La portance de l’eau lui permet de supporter son propre poids, de se déplacer dans l’océan, de se nourrir ou encore de se reproduire. Sur terre, ses organes et ses os crouleraient sous son poids.
Il y a des millions d’années, des animaux bien plus impressionnants encore ont vécu sur notre planète. Des animaux qui, s’ils étaient encore présents aujourd’hui, changeraient le visage de la Terre. Ces titans d’un autre monde ont réussi à survivre durant des millions d’années. Ils se sont fait une place dans le cycle de la vie et ont marqué l’histoire de la planète.
Ce qui est tout à fait surprenant, c’est que contrairement à la baleine, ils ne vivaient pas tous dans l’eau. Certains ont foulé le sol terrestre, d’autres sont même parvenus à dompter le ciel !
Quels étaient ces animaux ? À quoi ressemblaient-ils ? Comment leur squelette pouvait-il supporter un tel poids ? Comment leur morphologie leur permettait-elle de se déplacer malgré des mensurations aussi extraordinaires, que ce soit dans l’eau, sur terre et même dans les airs ? Comment leur métabolisme leur permettait-il de survivre ? Quel est le plus gros animal de tous les temps ?




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Sa virtuosité aérienne en fait une redoutable prédatrice, car elle vole plus vite que la plupart de ses proies, elle peut changer subitement de cap, réaliser une marche arrière ou faire du sur place grâce à ses quatre ailes capables de bouger de manière indépendante.
Notre Meganeura est loin d’atteindre la vitesse de pointe de 90 km/h de nos libellules modernes, cependant, elle est presque 5 à 7 fois plus grosse.
Cette libellule est dotée de deux paires d’ailes. La plus grande de ces deux paires peut atteindre entre 70 et 75 cm d’envergure. Pour te donner un élément de comparaison, la distance entre ses deux ailes est à quelque chose près la même que celle qui sépare les deux extrémités des ailes de l’épervier brun, un rapace spécialisé dans la capture d’oiseaux, de petits mammifères, de lézards et de grenouilles.
Les mosasaures font partie des grands reptiles marins ayant vécu au Crétacé. La plupart des membres de cette famille hors norme présentent des dimensions assez exceptionnelles. Mais, le plus grand d’entre eux est Mosasaurus. Long de 18 mètres, il terrorisait les mers de la planète.


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🎬 Au programme...

🌍 À l’heure où nous sommes capables de percevoir l’infiniment petit, des organismes microscopiques tels que les microbes, les acariens ou les bactéries, que savons-nous des géants qui ont foulé la terre de notre planète ?
L’éléphant, le rhinocéros, la girafe, l’ours brun ou la baleine bleue font partie des animaux les plus grands et les plus gros de notre ère. Ces animaux, aussi grands ou imposants soient-ils, sont parvenus à survivre dans leur environnement et à développer des compétences d’adaptation extraordinaire pour se servir de leur dimension hors norme comme d’un atout.
C’est invraisemblable de se dire que la baleine bleue, qui se positionne sur la plus haute marche du podium, peut mesurer plus de 30 mètres et peser jusqu’à 170 tonnes. Si elle est capable de se déplacer malgré des mensurations aussi vertigineuses, c’est uniquement parce qu’elle évolue dans un milieu aquatique. La portance de l’eau lui permet de supporter son propre poids, de se déplacer dans l’océan, de se nourrir ou encore de se reproduire. Sur terre, ses organes et ses os crouleraient sous son poids.
Il y a des millions d’années, des animaux bien plus impressionnants encore ont vécu sur notre planète. Des animaux qui, s’ils étaient encore présents aujourd’hui, changeraient le visage de la Terre. Ces titans d’un autre monde ont réussi à survivre durant des millions d’années. Ils se sont fait une place dans le cycle de la vie et ont marqué l’histoire de la planète.
Ce qui est tout à fait surprenant, c’est que contrairement à la baleine, ils ne vivaient pas tous dans l’eau. Certains ont foulé le sol terrestre, d’autres sont même parvenus à dompter le ciel !
Quels étaient ces animaux ? À quoi ressemblaient-ils ? Comment leur squelette pouvait-il supporter un tel poids ? Comment leur morphologie leur permettait-elle de se déplacer malgré des mensurations aussi extraordinaires, que ce soit dans l’eau, sur terre et même dans les airs ? Comment leur métabolisme leur permettait-il de survivre ? Quel est le plus gros animal de tous les temps ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Le Monde Oublié des Géants Préhistoriques :
• Commençons tout d’abord par nous familiariser avec notre nouvel environnement. Nous avons un paysage un peu marécageux qui se dessine devant nous avec des plantes telles que les Rhynia, des buissons Rellimia ou encore des lycopodes Leclercquia. Au loin se trouvent les arbres les plus hauts de cette époque. Celui que tu vois là, c’est un Archaeopteris. Il peut atteindre près de 40 mètres de haut. Il pourrait s’apparenter à nos sapins actuels. Le calme et la sérénité semblent régner. Tout semble paisible.
Sa virtuosité aérienne en fait une redoutable prédatrice, car elle vole plus vite que la plupart de ses proies, elle peut changer subitement de cap, réaliser une marche arrière ou faire du sur place grâce à ses quatre ailes capables de bouger de manière indépendante.
Notre Meganeura est loin d’atteindre la vitesse de pointe de 90 km/h de nos libellules modernes, cependant, elle est presque 5 à 7 fois plus grosse.
Cette libellule est dotée de deux paires d’ailes. La plus grande de ces deux paires peut atteindre entre 70 et 75 cm d’envergure. Pour te donner un élément de comparaison, la distance entre ses deux ailes est à quelque chose près la même que celle qui sépare les deux extrémités des ailes de l’épervier brun, un rapace spécialisé dans la capture d’oiseaux, de petits mammifères, de lézards et de grenouilles.
Les mosasaures font partie des grands reptiles marins ayant vécu au Crétacé. La plupart des membres de cette famille hors norme présentent des dimensions assez exceptionnelles. Mais, le plus grand d’entre eux est Mosasaurus. Long de 18 mètres, il terrorisait les mers de la planète.


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🎬 Au programme...

🌍 Vous êtes-vous déjà demandé sur quoi reposent les fondements de notre réalité ?
Et si je vous disais que le monde qui nous entoure est régi par des particules mystérieuses et des dimensions invisibles…
Me croiriez-vous ?
Rien n’est moins sûr…
Pourtant, la nature des forces et des éléments qui façonnent notre univers nous est inconnue.
Certes, les avancées scientifiques des siècles derniers nous ont permis de comprendre en détail les évènements qui se déroulent à l’échelle macroscopique.
Mais lorsque l’on s’aventure à de plus petites échelles, c’est comme si nous entrions dans une réalité parallèle, dont le fonctionnement nous échappe.
Dans ce monde de l’infiniment petit, les lois de la physique et de la relativité que nous connaissons n’ont plus cours.
À la place, on y trouve des particules étranges, parfois invisibles, qui interagissent de manière si mystérieuse que l’on peine à croire qu’elles fonctionnent ainsi.
Physique quantique, théorie des cordes, supersymétrie, principe d’incertitude…
Autant de vocabulaire qui tente de décrire les mécanismes de cette réalité invisible pour en faciliter sa compréhension.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers l'Infiniment Petit :
• Chaque découverte soulevant irrémédiablement son lot de questions…
En cherchant à sonder le monde microscopique, les scientifiques ont tout de même pu s’aventurer très loin dans ce que la nature a de plus petit.
S’il y a de ça quelques décennies, nous pensions que les atomes étaient des briques insécables composant la matière, nous savons aujourd’hui que ces éléments abritent un incroyable bestiaire de particules.
Quarks, gluons, boson de Higgs, neutrinos, photons…
Il y a de quoi avoir le vertige !
Dire que ces éléments sont minuscules est un pur euphémisme.
Pour le comprendre, faisons une comparaison d’échelle.
Les observations du cosmos nous indiquent que le diamètre de l’univers observable est d’environ 93 milliards d’années-lumière.
Cet univers compterait entre 100 et 200 milliards de galaxies.
De fait, notre voie lactée n’est qu’une minuscule goutte d’eau au sein d’un océan cosmique.
Pourtant, de notre point de vue, ses dimensions sont démesurées : près de 53 000 années-lumière.
Une taille suffisante pour abriter entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes…
Parmi ces étoiles, il y a notre soleil : près de 700 000 km de rayon.
Soit environ 109 fois le diamètre de la Terre.
Notre belle planète bleue, gigantesque à nos yeux, est en réalité invisible devant ceux du cosmos.
Car si le système solaire était une ville d’une vingtaine de kilomètres, la Terre ne serait guère plus qu’un grain de raisin.
Et pourtant, c’est près de 8 milliards d’êtres humains qui vivent sur cette dernière.
Mais encore une fois, les apparences sont trompeuses, car l’homme est bien loin d’occuper tout l’espace disponible sur Terre.
Si nous regroupions l’ensemble des Hommes qui vivent actuellement, ils tiendraient sur une surface équivalente à la ville de Los Angeles…
Ainsi, en comparaison d’une planète tellurique de taille modeste, l’homme est un grain de sable.
Si cette comparaison d’échelle vous donne un léger mal de tête, attendez donc la suite.
Car il est possible d’aller bien plus loin.
En effet, chaque être humain, aussi microscopique soit-il face au cosmos, est constitué d’environ 30 000 milliards de cellules.
Et ces petites cellules, observables uniquement au microscope, sont elles-mêmes constituées de 100 000 milliards d’atomes !
Ce chiffre varie grandement d’une cellule à l’autre, mais il reste complètement démesuré.
Attendez, nous pouvons encore aller au-delà…
En observant le cœur des atomes, on constate avec stupeur que ces derniers sont...

🌍 Vous êtes-vous déjà demandé sur quoi reposent les fondements de notre réalité ?
Et si je vous disais que le monde qui nous entoure est régi par des particules mystérieuses et des dimensions invisibles…
Me croiriez-vous ?
Rien n’est moins sûr…
Pourtant, la nature des forces et des éléments qui façonnent notre univers nous est inconnue.
Certes, les avancées scientifiques des siècles derniers nous ont permis de comprendre en détail les évènements qui se déroulent à l’échelle macroscopique.
Mais lorsque l’on s’aventure à de plus petites échelles, c’est comme si nous entrions dans une réalité parallèle, dont le fonctionnement nous échappe.
Dans ce monde de l’infiniment petit, les lois de la physique et de la relativité que nous connaissons n’ont plus cours.
À la place, on y trouve des particules étranges, parfois invisibles, qui interagissent de manière si mystérieuse que l’on peine à croire qu’elles fonctionnent ainsi.
Physique quantique, théorie des cordes, supersymétrie, principe d’incertitude…
Autant de vocabulaire qui tente de décrire les mécanismes de cette réalité invisible pour en faciliter sa compréhension.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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• Chaque découverte soulevant irrémédiablement son lot de questions…
En cherchant à sonder le monde microscopique, les scientifiques ont tout de même pu s’aventurer très loin dans ce que la nature a de plus petit.
S’il y a de ça quelques décennies, nous pensions que les atomes étaient des briques insécables composant la matière, nous savons aujourd’hui que ces éléments abritent un incroyable bestiaire de particules.
Quarks, gluons, boson de Higgs, neutrinos, photons…
Il y a de quoi avoir le vertige !
Dire que ces éléments sont minuscules est un pur euphémisme.
Pour le comprendre, faisons une comparaison d’échelle.
Les observations du cosmos nous indiquent que le diamètre de l’univers observable est d’environ 93 milliards d’années-lumière.
Cet univers compterait entre 100 et 200 milliards de galaxies.
De fait, notre voie lactée n’est qu’une minuscule goutte d’eau au sein d’un océan cosmique.
Pourtant, de notre point de vue, ses dimensions sont démesurées : près de 53 000 années-lumière.
Une taille suffisante pour abriter entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes…
Parmi ces étoiles, il y a notre soleil : près de 700 000 km de rayon.
Soit environ 109 fois le diamètre de la Terre.
Notre belle planète bleue, gigantesque à nos yeux, est en réalité invisible devant ceux du cosmos.
Car si le système solaire était une ville d’une vingtaine de kilomètres, la Terre ne serait guère plus qu’un grain de raisin.
Et pourtant, c’est près de 8 milliards d’êtres humains qui vivent sur cette dernière.
Mais encore une fois, les apparences sont trompeuses, car l’homme est bien loin d’occuper tout l’espace disponible sur Terre.
Si nous regroupions l’ensemble des Hommes qui vivent actuellement, ils tiendraient sur une surface équivalente à la ville de Los Angeles…
Ainsi, en comparaison d’une planète tellurique de taille modeste, l’homme est un grain de sable.
Si cette comparaison d’échelle vous donne un léger mal de tête, attendez donc la suite.
Car il est possible d’aller bien plus loin.
En effet, chaque être humain, aussi microscopique soit-il face au cosmos, est constitué d’environ 30 000 milliards de cellules.
Et ces petites cellules, observables uniquement au microscope, sont elles-mêmes constituées de 100 000 milliards d’atomes !
Ce chiffre varie grandement d’une cellule à l’autre, mais il reste complètement démesuré.
Attendez, nous pouvons encore aller au-delà…
En observant le cœur des atomes, on constate avec stupeur que ces derniers sont...

🌍 Vous êtes-vous déjà demandé sur quoi reposent les fondements de notre réalité ?
Et si je vous disais que le monde qui nous entoure est régi par des particules mystérieuses et des dimensions invisibles…
Me croiriez-vous ?
Rien n’est moins sûr…
Pourtant, la nature des forces et des éléments qui façonnent notre univers nous est inconnue.
Certes, les avancées scientifiques des siècles derniers nous ont permis de comprendre en détail les évènements qui se déroulent à l’échelle macroscopique.
Mais lorsque l’on s’aventure à de plus petites échelles, c’est comme si nous entrions dans une réalité parallèle, dont le fonctionnement nous échappe.
Dans ce monde de l’infiniment petit, les lois de la physique et de la relativité que nous connaissons n’ont plus cours.
À la place, on y trouve des particules étranges, parfois invisibles, qui interagissent de manière si mystérieuse que l’on peine à croire qu’elles fonctionnent ainsi.
Physique quantique, théorie des cordes, supersymétrie, principe d’incertitude…
Autant de vocabulaire qui tente de décrire les mécanismes de cette réalité invisible pour en faciliter sa compréhension.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers l'Infiniment Petit :
• Chaque découverte soulevant irrémédiablement son lot de questions…
En cherchant à sonder le monde microscopique, les scientifiques ont tout de même pu s’aventurer très loin dans ce que la nature a de plus petit.
S’il y a de ça quelques décennies, nous pensions que les atomes étaient des briques insécables composant la matière, nous savons aujourd’hui que ces éléments abritent un incroyable bestiaire de particules.
Quarks, gluons, boson de Higgs, neutrinos, photons…
Il y a de quoi avoir le vertige !
Dire que ces éléments sont minuscules est un pur euphémisme.
Pour le comprendre, faisons une comparaison d’échelle.
Les observations du cosmos nous indiquent que le diamètre de l’univers observable est d’environ 93 milliards d’années-lumière.
Cet univers compterait entre 100 et 200 milliards de galaxies.
De fait, notre voie lactée n’est qu’une minuscule goutte d’eau au sein d’un océan cosmique.
Pourtant, de notre point de vue, ses dimensions sont démesurées : près de 53 000 années-lumière.
Une taille suffisante pour abriter entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes…
Parmi ces étoiles, il y a notre soleil : près de 700 000 km de rayon.
Soit environ 109 fois le diamètre de la Terre.
Notre belle planète bleue, gigantesque à nos yeux, est en réalité invisible devant ceux du cosmos.
Car si le système solaire était une ville d’une vingtaine de kilomètres, la Terre ne serait guère plus qu’un grain de raisin.
Et pourtant, c’est près de 8 milliards d’êtres humains qui vivent sur cette dernière.
Mais encore une fois, les apparences sont trompeuses, car l’homme est bien loin d’occuper tout l’espace disponible sur Terre.
Si nous regroupions l’ensemble des Hommes qui vivent actuellement, ils tiendraient sur une surface équivalente à la ville de Los Angeles…
Ainsi, en comparaison d’une planète tellurique de taille modeste, l’homme est un grain de sable.
Si cette comparaison d’échelle vous donne un léger mal de tête, attendez donc la suite.
Car il est possible d’aller bien plus loin.
En effet, chaque être humain, aussi microscopique soit-il face au cosmos, est constitué d’environ 30 000 milliards de cellules.
Et ces petites cellules, observables uniquement au microscope, sont elles-mêmes constituées de 100 000 milliards d’atomes !
Ce chiffre varie grandement d’une cellule à l’autre, mais il reste complètement démesuré.
Attendez, nous pouvons encore aller au-delà…
En observant le cœur des atomes, on constate avec stupeur que ces derniers sont...

🌍 Vous êtes-vous déjà demandé sur quoi reposent les fondements de notre réalité ?
Et si je vous disais que le monde qui nous entoure est régi par des particules mystérieuses et des dimensions invisibles…
Me croiriez-vous ?
Rien n’est moins sûr…
Pourtant, la nature des forces et des éléments qui façonnent notre univers nous est inconnue.
Certes, les avancées scientifiques des siècles derniers nous ont permis de comprendre en détail les évènements qui se déroulent à l’échelle macroscopique.
Mais lorsque l’on s’aventure à de plus petites échelles, c’est comme si nous entrions dans une réalité parallèle, dont le fonctionnement nous échappe.
Dans ce monde de l’infiniment petit, les lois de la physique et de la relativité que nous connaissons n’ont plus cours.
À la place, on y trouve des particules étranges, parfois invisibles, qui interagissent de manière si mystérieuse que l’on peine à croire qu’elles fonctionnent ainsi.
Physique quantique, théorie des cordes, supersymétrie, principe d’incertitude…
Autant de vocabulaire qui tente de décrire les mécanismes de cette réalité invisible pour en faciliter sa compréhension.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


-------------------------

💥Voyage vers l'Infiniment Petit :
• Chaque découverte soulevant irrémédiablement son lot de questions…
En cherchant à sonder le monde microscopique, les scientifiques ont tout de même pu s’aventurer très loin dans ce que la nature a de plus petit.
S’il y a de ça quelques décennies, nous pensions que les atomes étaient des briques insécables composant la matière, nous savons aujourd’hui que ces éléments abritent un incroyable bestiaire de particules.
Quarks, gluons, boson de Higgs, neutrinos, photons…
Il y a de quoi avoir le vertige !
Dire que ces éléments sont minuscules est un pur euphémisme.
Pour le comprendre, faisons une comparaison d’échelle.
Les observations du cosmos nous indiquent que le diamètre de l’univers observable est d’environ 93 milliards d’années-lumière.
Cet univers compterait entre 100 et 200 milliards de galaxies.
De fait, notre voie lactée n’est qu’une minuscule goutte d’eau au sein d’un océan cosmique.
Pourtant, de notre point de vue, ses dimensions sont démesurées : près de 53 000 années-lumière.
Une taille suffisante pour abriter entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes…
Parmi ces étoiles, il y a notre soleil : près de 700 000 km de rayon.
Soit environ 109 fois le diamètre de la Terre.
Notre belle planète bleue, gigantesque à nos yeux, est en réalité invisible devant ceux du cosmos.
Car si le système solaire était une ville d’une vingtaine de kilomètres, la Terre ne serait guère plus qu’un grain de raisin.
Et pourtant, c’est près de 8 milliards d’êtres humains qui vivent sur cette dernière.
Mais encore une fois, les apparences sont trompeuses, car l’homme est bien loin d’occuper tout l’espace disponible sur Terre.
Si nous regroupions l’ensemble des Hommes qui vivent actuellement, ils tiendraient sur une surface équivalente à la ville de Los Angeles…
Ainsi, en comparaison d’une planète tellurique de taille modeste, l’homme est un grain de sable.
Si cette comparaison d’échelle vous donne un léger mal de tête, attendez donc la suite.
Car il est possible d’aller bien plus loin.
En effet, chaque être humain, aussi microscopique soit-il face au cosmos, est constitué d’environ 30 000 milliards de cellules.
Et ces petites cellules, observables uniquement au microscope, sont elles-mêmes constituées de 100 000 milliards d’atomes !
Ce chiffre varie grandement d’une cellule à l’autre, mais il reste complètement démesuré.
Attendez, nous pouvons encore aller au-delà…
En observant le cœur des atomes, on constate avec stupeur que ces derniers sont...

🌍 Vous êtes-vous déjà demandé sur quoi reposent les fondements de notre réalité ?
Et si je vous disais que le monde qui nous entoure est régi par des particules mystérieuses et des dimensions invisibles…
Me croiriez-vous ?
Rien n’est moins sûr…
Pourtant, la nature des forces et des éléments qui façonnent notre univers nous est inconnue.
Certes, les avancées scientifiques des siècles derniers nous ont permis de comprendre en détail les évènements qui se déroulent à l’échelle macroscopique.
Mais lorsque l’on s’aventure à de plus petites échelles, c’est comme si nous entrions dans une réalité parallèle, dont le fonctionnement nous échappe.
Dans ce monde de l’infiniment petit, les lois de la physique et de la relativité que nous connaissons n’ont plus cours.
À la place, on y trouve des particules étranges, parfois invisibles, qui interagissent de manière si mystérieuse que l’on peine à croire qu’elles fonctionnent ainsi.
Physique quantique, théorie des cordes, supersymétrie, principe d’incertitude…
Autant de vocabulaire qui tente de décrire les mécanismes de cette réalité invisible pour en faciliter sa compréhension.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers l'Infiniment Petit :
• Chaque découverte soulevant irrémédiablement son lot de questions…
En cherchant à sonder le monde microscopique, les scientifiques ont tout de même pu s’aventurer très loin dans ce que la nature a de plus petit.
S’il y a de ça quelques décennies, nous pensions que les atomes étaient des briques insécables composant la matière, nous savons aujourd’hui que ces éléments abritent un incroyable bestiaire de particules.
Quarks, gluons, boson de Higgs, neutrinos, photons…
Il y a de quoi avoir le vertige !
Dire que ces éléments sont minuscules est un pur euphémisme.
Pour le comprendre, faisons une comparaison d’échelle.
Les observations du cosmos nous indiquent que le diamètre de l’univers observable est d’environ 93 milliards d’années-lumière.
Cet univers compterait entre 100 et 200 milliards de galaxies.
De fait, notre voie lactée n’est qu’une minuscule goutte d’eau au sein d’un océan cosmique.
Pourtant, de notre point de vue, ses dimensions sont démesurées : près de 53 000 années-lumière.
Une taille suffisante pour abriter entre 200 et 400 milliards d'étoiles, et sans doute plus de 100 milliards de planètes…
Parmi ces étoiles, il y a notre soleil : près de 700 000 km de rayon.
Soit environ 109 fois le diamètre de la Terre.
Notre belle planète bleue, gigantesque à nos yeux, est en réalité invisible devant ceux du cosmos.
Car si le système solaire était une ville d’une vingtaine de kilomètres, la Terre ne serait guère plus qu’un grain de raisin.
Et pourtant, c’est près de 8 milliards d’êtres humains qui vivent sur cette dernière.
Mais encore une fois, les apparences sont trompeuses, car l’homme est bien loin d’occuper tout l’espace disponible sur Terre.
Si nous regroupions l’ensemble des Hommes qui vivent actuellement, ils tiendraient sur une surface équivalente à la ville de Los Angeles…
Ainsi, en comparaison d’une planète tellurique de taille modeste, l’homme est un grain de sable.
Si cette comparaison d’échelle vous donne un léger mal de tête, attendez donc la suite.
Car il est possible d’aller bien plus loin.
En effet, chaque être humain, aussi microscopique soit-il face au cosmos, est constitué d’environ 30 000 milliards de cellules.
Et ces petites cellules, observables uniquement au microscope, sont elles-mêmes constituées de 100 000 milliards d’atomes !
Ce chiffre varie grandement d’une cellule à l’autre, mais il reste complètement démesuré.
Attendez, nous pouvons encore aller au-delà…
En observant le cœur des atomes, on constate avec stupeur que ces derniers sont...

🌍 Aujourd'hui, un grand nombre d'animaux disparus nous sont plus familiers que certaines espèces encore vivantes. Parmi eux, les dinosaures en font partie. Le diplodocus est plus célèbre que l’oryctérope et le tyrannosaure plus célèbre que le péramèle. Les dinosaures appartiennent à la culture populaire. Pendant plus de 160 millions d'années, ces créatures majestueuses ont dominé la Terre, occupant la plupart des niches écologiques et ne laissant que peu de places pour les autres espèces.

La Terre a, par cinq reprises, été confrontée à des grands bouleversements qui ont eu un impact fondamental pour la suite de son histoire. Lorsqu'ils ont disparu lors de la cinquième extinction de masse, les dinosaures ont laissé un vide incommensurable. Mais le malheur des uns faisant le bonheur des autres, ce vide a permis l'évolution des mammifères et des oiseaux, qui sont aujourd'hui des groupes d'animaux fortement diversifiés. Sans cette extinction, les dinosaures auraient probablement continué à dominer la vie sur Terre, et les autres animaux n'auraient pas eu l'opportunité de se faire une place.

Les extinctions de masse viennent changer les règles du jeu et redistribuent les cartes en condamnant certains groupes et en donnant des chances nouvelles à d'autres. Lorsque les dinosaures ont disparu, nos lointains ancêtres ont survécu.

A quoi ressemblait la Terre après l'extinction des dinosaures ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


-------------------------

💥 Comment la vie sur Terre a-t-elle pu se relever après le cataclysme qui a terrassé les gigantesques dinosaures ? :
• Une extinction massive est un événement qui s'apparente à une crise biologique relativement brève à l'échelle des temps géologiques. Au moins 75 % des espèces animales et végétales disparaissent de toute la surface de la Terre. Au cours des 500 derniers millions d'années, la vie sur la planète a subi cinq extinctions de masse. Aujourd'hui, plus de 99 % de tous les organismes ayant vécu sur Terre ont disparu.

Le phénomène de l'extinction des espèces n'étonne plus. Les espèces sont mortelles. Chacune des grandes extinctions de masse à jouer un rôle dans l'histoire du monde vivant l'entraînant dans des voies nouvelles, la faune et la flore décimées étant contraintes à évoluer.

L’extinction Ordovicien-Silurien a eu lieu il y a 444 millions d'années. Un événement géologique a provoqué un épisode de glaciation. De considérables quantités d'eau se sont retrouvées emprisonnées dans une calotte glaciaire occupant trois fois la superficie de l'actuel Antarctique. Cet événement a entraîné la disparition de 85 % de toutes les espèces terrestres.

L’extinction du Dévonien a débuté il y a 383 millions d'années. Probablement dû à un fort épisode de volcanisme, des impulsions ont entraîné la chute brutale du niveau d'oxygène dans les océans. 75 % des espèces ont disparu lors de cette extinction de masse.

La troisième extinction de masse, l'extinction Permien-Trias, a eu lieu il y a 252 millions d'années. Il s'agit de la pire catastrophe que la vie sur Terre n'ait jamais connu. Ce sont plus de 90 % des espèces qui ont été tuées. Les forêts anéanties auront besoin de plus de 10 millions d'années pour s'en remettre.

Il y a environ 200 millions d'années, la Terre subit l'extinction Trias-Jurassique. Des événements géologiques ont occasionné un réchauffement à la surface de la terre ainsi qu'une augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. C'est un nouveau coup dur pour la vie sur Terre qui perd jusqu'à 80 % des espèces terrestres et marines.

La cinquième et dernière extinction de masse est celle du Crétacé-Paléogène, celle causant la disparition des célèbre dinosaures non aviaire.



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🎬 Au programme...

🌍 Aujourd'hui, un grand nombre d'animaux disparus nous sont plus familiers que certaines espèces encore vivantes. Parmi eux, les dinosaures en font partie. Le diplodocus est plus célèbre que l’oryctérope et le tyrannosaure plus célèbre que le péramèle. Les dinosaures appartiennent à la culture populaire. Pendant plus de 160 millions d'années, ces créatures majestueuses ont dominé la Terre, occupant la plupart des niches écologiques et ne laissant que peu de places pour les autres espèces.

La Terre a, par cinq reprises, été confrontée à des grands bouleversements qui ont eu un impact fondamental pour la suite de son histoire. Lorsqu'ils ont disparu lors de la cinquième extinction de masse, les dinosaures ont laissé un vide incommensurable. Mais le malheur des uns faisant le bonheur des autres, ce vide a permis l'évolution des mammifères et des oiseaux, qui sont aujourd'hui des groupes d'animaux fortement diversifiés. Sans cette extinction, les dinosaures auraient probablement continué à dominer la vie sur Terre, et les autres animaux n'auraient pas eu l'opportunité de se faire une place.

Les extinctions de masse viennent changer les règles du jeu et redistribuent les cartes en condamnant certains groupes et en donnant des chances nouvelles à d'autres. Lorsque les dinosaures ont disparu, nos lointains ancêtres ont survécu.

A quoi ressemblait la Terre après l'extinction des dinosaures ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Comment la vie sur Terre a-t-elle pu se relever après le cataclysme qui a terrassé les gigantesques dinosaures ? :
• Une extinction massive est un événement qui s'apparente à une crise biologique relativement brève à l'échelle des temps géologiques. Au moins 75 % des espèces animales et végétales disparaissent de toute la surface de la Terre. Au cours des 500 derniers millions d'années, la vie sur la planète a subi cinq extinctions de masse. Aujourd'hui, plus de 99 % de tous les organismes ayant vécu sur Terre ont disparu.

Le phénomène de l'extinction des espèces n'étonne plus. Les espèces sont mortelles. Chacune des grandes extinctions de masse à jouer un rôle dans l'histoire du monde vivant l'entraînant dans des voies nouvelles, la faune et la flore décimées étant contraintes à évoluer.

L’extinction Ordovicien-Silurien a eu lieu il y a 444 millions d'années. Un événement géologique a provoqué un épisode de glaciation. De considérables quantités d'eau se sont retrouvées emprisonnées dans une calotte glaciaire occupant trois fois la superficie de l'actuel Antarctique. Cet événement a entraîné la disparition de 85 % de toutes les espèces terrestres.

L’extinction du Dévonien a débuté il y a 383 millions d'années. Probablement dû à un fort épisode de volcanisme, des impulsions ont entraîné la chute brutale du niveau d'oxygène dans les océans. 75 % des espèces ont disparu lors de cette extinction de masse.

La troisième extinction de masse, l'extinction Permien-Trias, a eu lieu il y a 252 millions d'années. Il s'agit de la pire catastrophe que la vie sur Terre n'ait jamais connu. Ce sont plus de 90 % des espèces qui ont été tuées. Les forêts anéanties auront besoin de plus de 10 millions d'années pour s'en remettre.

Il y a environ 200 millions d'années, la Terre subit l'extinction Trias-Jurassique. Des événements géologiques ont occasionné un réchauffement à la surface de la terre ainsi qu'une augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. C'est un nouveau coup dur pour la vie sur Terre qui perd jusqu'à 80 % des espèces terrestres et marines.

La cinquième et dernière extinction de masse est celle du Crétacé-Paléogène, celle causant la disparition des célèbre dinosaures non aviaire.



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🎬 Au programme...

🌍 Aujourd'hui, un grand nombre d'animaux disparus nous sont plus familiers que certaines espèces encore vivantes. Parmi eux, les dinosaures en font partie. Le diplodocus est plus célèbre que l’oryctérope et le tyrannosaure plus célèbre que le péramèle. Les dinosaures appartiennent à la culture populaire. Pendant plus de 160 millions d'années, ces créatures majestueuses ont dominé la Terre, occupant la plupart des niches écologiques et ne laissant que peu de places pour les autres espèces.

La Terre a, par cinq reprises, été confrontée à des grands bouleversements qui ont eu un impact fondamental pour la suite de son histoire. Lorsqu'ils ont disparu lors de la cinquième extinction de masse, les dinosaures ont laissé un vide incommensurable. Mais le malheur des uns faisant le bonheur des autres, ce vide a permis l'évolution des mammifères et des oiseaux, qui sont aujourd'hui des groupes d'animaux fortement diversifiés. Sans cette extinction, les dinosaures auraient probablement continué à dominer la vie sur Terre, et les autres animaux n'auraient pas eu l'opportunité de se faire une place.

Les extinctions de masse viennent changer les règles du jeu et redistribuent les cartes en condamnant certains groupes et en donnant des chances nouvelles à d'autres. Lorsque les dinosaures ont disparu, nos lointains ancêtres ont survécu.

A quoi ressemblait la Terre après l'extinction des dinosaures ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Comment la vie sur Terre a-t-elle pu se relever après le cataclysme qui a terrassé les gigantesques dinosaures ? :
• Une extinction massive est un événement qui s'apparente à une crise biologique relativement brève à l'échelle des temps géologiques. Au moins 75 % des espèces animales et végétales disparaissent de toute la surface de la Terre. Au cours des 500 derniers millions d'années, la vie sur la planète a subi cinq extinctions de masse. Aujourd'hui, plus de 99 % de tous les organismes ayant vécu sur Terre ont disparu.

Le phénomène de l'extinction des espèces n'étonne plus. Les espèces sont mortelles. Chacune des grandes extinctions de masse à jouer un rôle dans l'histoire du monde vivant l'entraînant dans des voies nouvelles, la faune et la flore décimées étant contraintes à évoluer.

L’extinction Ordovicien-Silurien a eu lieu il y a 444 millions d'années. Un événement géologique a provoqué un épisode de glaciation. De considérables quantités d'eau se sont retrouvées emprisonnées dans une calotte glaciaire occupant trois fois la superficie de l'actuel Antarctique. Cet événement a entraîné la disparition de 85 % de toutes les espèces terrestres.

L’extinction du Dévonien a débuté il y a 383 millions d'années. Probablement dû à un fort épisode de volcanisme, des impulsions ont entraîné la chute brutale du niveau d'oxygène dans les océans. 75 % des espèces ont disparu lors de cette extinction de masse.

La troisième extinction de masse, l'extinction Permien-Trias, a eu lieu il y a 252 millions d'années. Il s'agit de la pire catastrophe que la vie sur Terre n'ait jamais connu. Ce sont plus de 90 % des espèces qui ont été tuées. Les forêts anéanties auront besoin de plus de 10 millions d'années pour s'en remettre.

Il y a environ 200 millions d'années, la Terre subit l'extinction Trias-Jurassique. Des événements géologiques ont occasionné un réchauffement à la surface de la terre ainsi qu'une augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. C'est un nouveau coup dur pour la vie sur Terre qui perd jusqu'à 80 % des espèces terrestres et marines.

La cinquième et dernière extinction de masse est celle du Crétacé-Paléogène, celle causant la disparition des célèbre dinosaures non aviaire.



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🎬 Au programme...

🌍 Aujourd'hui, un grand nombre d'animaux disparus nous sont plus familiers que certaines espèces encore vivantes. Parmi eux, les dinosaures en font partie. Le diplodocus est plus célèbre que l’oryctérope et le tyrannosaure plus célèbre que le péramèle. Les dinosaures appartiennent à la culture populaire. Pendant plus de 160 millions d'années, ces créatures majestueuses ont dominé la Terre, occupant la plupart des niches écologiques et ne laissant que peu de places pour les autres espèces.

La Terre a, par cinq reprises, été confrontée à des grands bouleversements qui ont eu un impact fondamental pour la suite de son histoire. Lorsqu'ils ont disparu lors de la cinquième extinction de masse, les dinosaures ont laissé un vide incommensurable. Mais le malheur des uns faisant le bonheur des autres, ce vide a permis l'évolution des mammifères et des oiseaux, qui sont aujourd'hui des groupes d'animaux fortement diversifiés. Sans cette extinction, les dinosaures auraient probablement continué à dominer la vie sur Terre, et les autres animaux n'auraient pas eu l'opportunité de se faire une place.

Les extinctions de masse viennent changer les règles du jeu et redistribuent les cartes en condamnant certains groupes et en donnant des chances nouvelles à d'autres. Lorsque les dinosaures ont disparu, nos lointains ancêtres ont survécu.

A quoi ressemblait la Terre après l'extinction des dinosaures ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Comment la vie sur Terre a-t-elle pu se relever après le cataclysme qui a terrassé les gigantesques dinosaures ? :
• Une extinction massive est un événement qui s'apparente à une crise biologique relativement brève à l'échelle des temps géologiques. Au moins 75 % des espèces animales et végétales disparaissent de toute la surface de la Terre. Au cours des 500 derniers millions d'années, la vie sur la planète a subi cinq extinctions de masse. Aujourd'hui, plus de 99 % de tous les organismes ayant vécu sur Terre ont disparu.

Le phénomène de l'extinction des espèces n'étonne plus. Les espèces sont mortelles. Chacune des grandes extinctions de masse à jouer un rôle dans l'histoire du monde vivant l'entraînant dans des voies nouvelles, la faune et la flore décimées étant contraintes à évoluer.

L’extinction Ordovicien-Silurien a eu lieu il y a 444 millions d'années. Un événement géologique a provoqué un épisode de glaciation. De considérables quantités d'eau se sont retrouvées emprisonnées dans une calotte glaciaire occupant trois fois la superficie de l'actuel Antarctique. Cet événement a entraîné la disparition de 85 % de toutes les espèces terrestres.

L’extinction du Dévonien a débuté il y a 383 millions d'années. Probablement dû à un fort épisode de volcanisme, des impulsions ont entraîné la chute brutale du niveau d'oxygène dans les océans. 75 % des espèces ont disparu lors de cette extinction de masse.

La troisième extinction de masse, l'extinction Permien-Trias, a eu lieu il y a 252 millions d'années. Il s'agit de la pire catastrophe que la vie sur Terre n'ait jamais connu. Ce sont plus de 90 % des espèces qui ont été tuées. Les forêts anéanties auront besoin de plus de 10 millions d'années pour s'en remettre.

Il y a environ 200 millions d'années, la Terre subit l'extinction Trias-Jurassique. Des événements géologiques ont occasionné un réchauffement à la surface de la terre ainsi qu'une augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. C'est un nouveau coup dur pour la vie sur Terre qui perd jusqu'à 80 % des espèces terrestres et marines.

La cinquième et dernière extinction de masse est celle du Crétacé-Paléogène, celle causant la disparition des célèbre dinosaures non aviaire.



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🎬 Au programme...

🌍 Aujourd'hui, un grand nombre d'animaux disparus nous sont plus familiers que certaines espèces encore vivantes. Parmi eux, les dinosaures en font partie. Le diplodocus est plus célèbre que l’oryctérope et le tyrannosaure plus célèbre que le péramèle. Les dinosaures appartiennent à la culture populaire. Pendant plus de 160 millions d'années, ces créatures majestueuses ont dominé la Terre, occupant la plupart des niches écologiques et ne laissant que peu de places pour les autres espèces.

La Terre a, par cinq reprises, été confrontée à des grands bouleversements qui ont eu un impact fondamental pour la suite de son histoire. Lorsqu'ils ont disparu lors de la cinquième extinction de masse, les dinosaures ont laissé un vide incommensurable. Mais le malheur des uns faisant le bonheur des autres, ce vide a permis l'évolution des mammifères et des oiseaux, qui sont aujourd'hui des groupes d'animaux fortement diversifiés. Sans cette extinction, les dinosaures auraient probablement continué à dominer la vie sur Terre, et les autres animaux n'auraient pas eu l'opportunité de se faire une place.

Les extinctions de masse viennent changer les règles du jeu et redistribuent les cartes en condamnant certains groupes et en donnant des chances nouvelles à d'autres. Lorsque les dinosaures ont disparu, nos lointains ancêtres ont survécu.

A quoi ressemblait la Terre après l'extinction des dinosaures ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Comment la vie sur Terre a-t-elle pu se relever après le cataclysme qui a terrassé les gigantesques dinosaures ? :
• Une extinction massive est un événement qui s'apparente à une crise biologique relativement brève à l'échelle des temps géologiques. Au moins 75 % des espèces animales et végétales disparaissent de toute la surface de la Terre. Au cours des 500 derniers millions d'années, la vie sur la planète a subi cinq extinctions de masse. Aujourd'hui, plus de 99 % de tous les organismes ayant vécu sur Terre ont disparu.

Le phénomène de l'extinction des espèces n'étonne plus. Les espèces sont mortelles. Chacune des grandes extinctions de masse à jouer un rôle dans l'histoire du monde vivant l'entraînant dans des voies nouvelles, la faune et la flore décimées étant contraintes à évoluer.

L’extinction Ordovicien-Silurien a eu lieu il y a 444 millions d'années. Un événement géologique a provoqué un épisode de glaciation. De considérables quantités d'eau se sont retrouvées emprisonnées dans une calotte glaciaire occupant trois fois la superficie de l'actuel Antarctique. Cet événement a entraîné la disparition de 85 % de toutes les espèces terrestres.

L’extinction du Dévonien a débuté il y a 383 millions d'années. Probablement dû à un fort épisode de volcanisme, des impulsions ont entraîné la chute brutale du niveau d'oxygène dans les océans. 75 % des espèces ont disparu lors de cette extinction de masse.

La troisième extinction de masse, l'extinction Permien-Trias, a eu lieu il y a 252 millions d'années. Il s'agit de la pire catastrophe que la vie sur Terre n'ait jamais connu. Ce sont plus de 90 % des espèces qui ont été tuées. Les forêts anéanties auront besoin de plus de 10 millions d'années pour s'en remettre.

Il y a environ 200 millions d'années, la Terre subit l'extinction Trias-Jurassique. Des événements géologiques ont occasionné un réchauffement à la surface de la terre ainsi qu'une augmentation de la concentration de dioxyde de carbone dans l'atmosphère. C'est un nouveau coup dur pour la vie sur Terre qui perd jusqu'à 80 % des espèces terrestres et marines.

La cinquième et dernière extinction de masse est celle du Crétacé-Paléogène, celle causant la disparition des célèbre dinosaures non aviaire.



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🎬 Au programme...

🌍 Quelle est la plus proche planète habitable ? Nous sommes nombreux, sur Terre, à se poser cette question. La recherche de la vie sur Mars, la planète habitable la plus proche de la Terre, a commencé dès le 19e siècle et continue encore aujourd’hui avec des missions d’exploration in situ. Des rovers sont régulièrement envoyés sur la planète rouge afin de collecter des échantillons de terre martienne qui pourront nous donner des indices sur une vie passée ou présente sur Mars. Cependant, aucun extraterrestre n’a été trouvé sur Mars pour le moment. La Planète rouge se situe bien dans la zone habitable du Soleil, mais à son extrême limite, si bien qu’il y fait très froid avec une température moyenne de -63 °C, contre 15°C pour la Terre !
La découverte de la première exoplanète, 51 Pegasi b, le 6 octobre 1995, a considérablement changé les choses. Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d’une autre étoile que le Soleil. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes d’après l’Encyclopédie des planètes extrasolaires ! Mais toutes les exoplanètes ne sont pas forcément habitables : certaines orbitent très près de leur étoile et d’autres sont des planètes de glace comme Uranus ou Neptune. Et moins de 200 parmi les exoplanètes découvertes sont rocheuses, comme la Terre, les autres étant gazeuses comme Jupiter. La recherche d’une exoplanète habitable est devenue l’un des objectifs des astronomes, qui étudient les caractéristiques de chaque exoplanète découverte à l’aide de puissants télescopes en espérant trouver des bio signatures, c’est-à-dire des traces de vie.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers les exoplanètes du système stellaire Wolf 1061 :
• Le système stellaire de Wolf 1061 est situé à 13,8 années-lumière de notre système solaire. Entre la Terre et Wolf 1061, il n’y a pas de vide, bien au contraire. L’espace, contrairement à ce que beaucoup pensent, n’est pas vide. Il n’y a pas d’air, mais il y a des gaz, des poussières, des molécules et des atomes. Il y a aussi de nombreux objets célestes : étoiles, exoplanètes, satellites, comètes, pulsars…
Il y aurait une trentaine d’étoiles entre la Terre et Wolf 1061. Sur notre route, nous allons donc croiser une multitude d’étoiles, dont certaines sont le centre d’un système planétaire. Wolf 1061 c n’est pas l’exoplanète la plus proche de la Terre, mais c’est l’une des quelques exoplanètes qui semble le plus susceptible d’abriter la vie.
Nous allons profiter de notre voyage vers le système stellaire Wolf 1061 pour observer plusieurs exoplanètes que les astronomes ont déjà étudiées en espérant trouver des traces de vie extraterrestre. Sur notre chemin, nous croiserons plusieurs exoplanètes qui sont déjà candidates au titre de l’exoplanète la plus proche de la Terre où la vie existe. Premier arrêt : le système planétaire de Proxima Centauri !

Continuons notre voyage dans l’Univers à la découverte des exoplanètes les plus proches de la Terre. Non loin de GI411 b se trouve l’exoplanète Ross 128 b, située à 11 années-lumière de notre planète. Découverte en 2017, l’exoplanète Ross 128 b est en orbite autour d’une naine rouge, Ross 128, et elle a été détectée avec le spectrographe HARPS à l'observatoire de La Silla au Chili.
C’est l’exoplanète la plus proche de la Terre qui pourrait potentiellement être habitée car l’étoile Ross 168 est une naine rouge plutôt calme. Ses éruptions sont moins fréquentes et moins violentes que celles d’autres naines rouges, ce qui augmenterait les chances de préserver l’atmosphère de Ross 128 b si elle en avait une. Si Ross 128 b contenait de l’eau liquide, elle serait donc bien plus propice au développement de la vie que Proxima Centauri b qui est constamment bombardée de rayons X et d’ultraviolets nocifs.

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🎬 Au programme...

🌍 Quelle est la plus proche planète habitable ? Nous sommes nombreux, sur Terre, à se poser cette question. La recherche de la vie sur Mars, la planète habitable la plus proche de la Terre, a commencé dès le 19e siècle et continue encore aujourd’hui avec des missions d’exploration in situ. Des rovers sont régulièrement envoyés sur la planète rouge afin de collecter des échantillons de terre martienne qui pourront nous donner des indices sur une vie passée ou présente sur Mars. Cependant, aucun extraterrestre n’a été trouvé sur Mars pour le moment. La Planète rouge se situe bien dans la zone habitable du Soleil, mais à son extrême limite, si bien qu’il y fait très froid avec une température moyenne de -63 °C, contre 15°C pour la Terre !
La découverte de la première exoplanète, 51 Pegasi b, le 6 octobre 1995, a considérablement changé les choses. Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d’une autre étoile que le Soleil. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes d’après l’Encyclopédie des planètes extrasolaires ! Mais toutes les exoplanètes ne sont pas forcément habitables : certaines orbitent très près de leur étoile et d’autres sont des planètes de glace comme Uranus ou Neptune. Et moins de 200 parmi les exoplanètes découvertes sont rocheuses, comme la Terre, les autres étant gazeuses comme Jupiter. La recherche d’une exoplanète habitable est devenue l’un des objectifs des astronomes, qui étudient les caractéristiques de chaque exoplanète découverte à l’aide de puissants télescopes en espérant trouver des bio signatures, c’est-à-dire des traces de vie.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers les exoplanètes du système stellaire Wolf 1061 :
• Le système stellaire de Wolf 1061 est situé à 13,8 années-lumière de notre système solaire. Entre la Terre et Wolf 1061, il n’y a pas de vide, bien au contraire. L’espace, contrairement à ce que beaucoup pensent, n’est pas vide. Il n’y a pas d’air, mais il y a des gaz, des poussières, des molécules et des atomes. Il y a aussi de nombreux objets célestes : étoiles, exoplanètes, satellites, comètes, pulsars…
Il y aurait une trentaine d’étoiles entre la Terre et Wolf 1061. Sur notre route, nous allons donc croiser une multitude d’étoiles, dont certaines sont le centre d’un système planétaire. Wolf 1061 c n’est pas l’exoplanète la plus proche de la Terre, mais c’est l’une des quelques exoplanètes qui semble le plus susceptible d’abriter la vie.
Nous allons profiter de notre voyage vers le système stellaire Wolf 1061 pour observer plusieurs exoplanètes que les astronomes ont déjà étudiées en espérant trouver des traces de vie extraterrestre. Sur notre chemin, nous croiserons plusieurs exoplanètes qui sont déjà candidates au titre de l’exoplanète la plus proche de la Terre où la vie existe. Premier arrêt : le système planétaire de Proxima Centauri !

Continuons notre voyage dans l’Univers à la découverte des exoplanètes les plus proches de la Terre. Non loin de GI411 b se trouve l’exoplanète Ross 128 b, située à 11 années-lumière de notre planète. Découverte en 2017, l’exoplanète Ross 128 b est en orbite autour d’une naine rouge, Ross 128, et elle a été détectée avec le spectrographe HARPS à l'observatoire de La Silla au Chili.
C’est l’exoplanète la plus proche de la Terre qui pourrait potentiellement être habitée car l’étoile Ross 168 est une naine rouge plutôt calme. Ses éruptions sont moins fréquentes et moins violentes que celles d’autres naines rouges, ce qui augmenterait les chances de préserver l’atmosphère de Ross 128 b si elle en avait une. Si Ross 128 b contenait de l’eau liquide, elle serait donc bien plus propice au développement de la vie que Proxima Centauri b qui est constamment bombardée de rayons X et d’ultraviolets nocifs.

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🎬 Au programme...

🌍 Quelle est la plus proche planète habitable ? Nous sommes nombreux, sur Terre, à se poser cette question. La recherche de la vie sur Mars, la planète habitable la plus proche de la Terre, a commencé dès le 19e siècle et continue encore aujourd’hui avec des missions d’exploration in situ. Des rovers sont régulièrement envoyés sur la planète rouge afin de collecter des échantillons de terre martienne qui pourront nous donner des indices sur une vie passée ou présente sur Mars. Cependant, aucun extraterrestre n’a été trouvé sur Mars pour le moment. La Planète rouge se situe bien dans la zone habitable du Soleil, mais à son extrême limite, si bien qu’il y fait très froid avec une température moyenne de -63 °C, contre 15°C pour la Terre !
La découverte de la première exoplanète, 51 Pegasi b, le 6 octobre 1995, a considérablement changé les choses. Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d’une autre étoile que le Soleil. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes d’après l’Encyclopédie des planètes extrasolaires ! Mais toutes les exoplanètes ne sont pas forcément habitables : certaines orbitent très près de leur étoile et d’autres sont des planètes de glace comme Uranus ou Neptune. Et moins de 200 parmi les exoplanètes découvertes sont rocheuses, comme la Terre, les autres étant gazeuses comme Jupiter. La recherche d’une exoplanète habitable est devenue l’un des objectifs des astronomes, qui étudient les caractéristiques de chaque exoplanète découverte à l’aide de puissants télescopes en espérant trouver des bio signatures, c’est-à-dire des traces de vie.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers les exoplanètes du système stellaire Wolf 1061 :
• Le système stellaire de Wolf 1061 est situé à 13,8 années-lumière de notre système solaire. Entre la Terre et Wolf 1061, il n’y a pas de vide, bien au contraire. L’espace, contrairement à ce que beaucoup pensent, n’est pas vide. Il n’y a pas d’air, mais il y a des gaz, des poussières, des molécules et des atomes. Il y a aussi de nombreux objets célestes : étoiles, exoplanètes, satellites, comètes, pulsars…
Il y aurait une trentaine d’étoiles entre la Terre et Wolf 1061. Sur notre route, nous allons donc croiser une multitude d’étoiles, dont certaines sont le centre d’un système planétaire. Wolf 1061 c n’est pas l’exoplanète la plus proche de la Terre, mais c’est l’une des quelques exoplanètes qui semble le plus susceptible d’abriter la vie.
Nous allons profiter de notre voyage vers le système stellaire Wolf 1061 pour observer plusieurs exoplanètes que les astronomes ont déjà étudiées en espérant trouver des traces de vie extraterrestre. Sur notre chemin, nous croiserons plusieurs exoplanètes qui sont déjà candidates au titre de l’exoplanète la plus proche de la Terre où la vie existe. Premier arrêt : le système planétaire de Proxima Centauri !

Continuons notre voyage dans l’Univers à la découverte des exoplanètes les plus proches de la Terre. Non loin de GI411 b se trouve l’exoplanète Ross 128 b, située à 11 années-lumière de notre planète. Découverte en 2017, l’exoplanète Ross 128 b est en orbite autour d’une naine rouge, Ross 128, et elle a été détectée avec le spectrographe HARPS à l'observatoire de La Silla au Chili.
C’est l’exoplanète la plus proche de la Terre qui pourrait potentiellement être habitée car l’étoile Ross 168 est une naine rouge plutôt calme. Ses éruptions sont moins fréquentes et moins violentes que celles d’autres naines rouges, ce qui augmenterait les chances de préserver l’atmosphère de Ross 128 b si elle en avait une. Si Ross 128 b contenait de l’eau liquide, elle serait donc bien plus propice au développement de la vie que Proxima Centauri b qui est constamment bombardée de rayons X et d’ultraviolets nocifs.

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🎬 Au programme...

🌍 Quelle est la plus proche planète habitable ? Nous sommes nombreux, sur Terre, à se poser cette question. La recherche de la vie sur Mars, la planète habitable la plus proche de la Terre, a commencé dès le 19e siècle et continue encore aujourd’hui avec des missions d’exploration in situ. Des rovers sont régulièrement envoyés sur la planète rouge afin de collecter des échantillons de terre martienne qui pourront nous donner des indices sur une vie passée ou présente sur Mars. Cependant, aucun extraterrestre n’a été trouvé sur Mars pour le moment. La Planète rouge se situe bien dans la zone habitable du Soleil, mais à son extrême limite, si bien qu’il y fait très froid avec une température moyenne de -63 °C, contre 15°C pour la Terre !
La découverte de la première exoplanète, 51 Pegasi b, le 6 octobre 1995, a considérablement changé les choses. Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d’une autre étoile que le Soleil. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes d’après l’Encyclopédie des planètes extrasolaires ! Mais toutes les exoplanètes ne sont pas forcément habitables : certaines orbitent très près de leur étoile et d’autres sont des planètes de glace comme Uranus ou Neptune. Et moins de 200 parmi les exoplanètes découvertes sont rocheuses, comme la Terre, les autres étant gazeuses comme Jupiter. La recherche d’une exoplanète habitable est devenue l’un des objectifs des astronomes, qui étudient les caractéristiques de chaque exoplanète découverte à l’aide de puissants télescopes en espérant trouver des bio signatures, c’est-à-dire des traces de vie.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers les exoplanètes du système stellaire Wolf 1061 :
• Le système stellaire de Wolf 1061 est situé à 13,8 années-lumière de notre système solaire. Entre la Terre et Wolf 1061, il n’y a pas de vide, bien au contraire. L’espace, contrairement à ce que beaucoup pensent, n’est pas vide. Il n’y a pas d’air, mais il y a des gaz, des poussières, des molécules et des atomes. Il y a aussi de nombreux objets célestes : étoiles, exoplanètes, satellites, comètes, pulsars…
Il y aurait une trentaine d’étoiles entre la Terre et Wolf 1061. Sur notre route, nous allons donc croiser une multitude d’étoiles, dont certaines sont le centre d’un système planétaire. Wolf 1061 c n’est pas l’exoplanète la plus proche de la Terre, mais c’est l’une des quelques exoplanètes qui semble le plus susceptible d’abriter la vie.
Nous allons profiter de notre voyage vers le système stellaire Wolf 1061 pour observer plusieurs exoplanètes que les astronomes ont déjà étudiées en espérant trouver des traces de vie extraterrestre. Sur notre chemin, nous croiserons plusieurs exoplanètes qui sont déjà candidates au titre de l’exoplanète la plus proche de la Terre où la vie existe. Premier arrêt : le système planétaire de Proxima Centauri !

Continuons notre voyage dans l’Univers à la découverte des exoplanètes les plus proches de la Terre. Non loin de GI411 b se trouve l’exoplanète Ross 128 b, située à 11 années-lumière de notre planète. Découverte en 2017, l’exoplanète Ross 128 b est en orbite autour d’une naine rouge, Ross 128, et elle a été détectée avec le spectrographe HARPS à l'observatoire de La Silla au Chili.
C’est l’exoplanète la plus proche de la Terre qui pourrait potentiellement être habitée car l’étoile Ross 168 est une naine rouge plutôt calme. Ses éruptions sont moins fréquentes et moins violentes que celles d’autres naines rouges, ce qui augmenterait les chances de préserver l’atmosphère de Ross 128 b si elle en avait une. Si Ross 128 b contenait de l’eau liquide, elle serait donc bien plus propice au développement de la vie que Proxima Centauri b qui est constamment bombardée de rayons X et d’ultraviolets nocifs.

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🎬 Au programme...

🌍 Quelle est la plus proche planète habitable ? Nous sommes nombreux, sur Terre, à se poser cette question. La recherche de la vie sur Mars, la planète habitable la plus proche de la Terre, a commencé dès le 19e siècle et continue encore aujourd’hui avec des missions d’exploration in situ. Des rovers sont régulièrement envoyés sur la planète rouge afin de collecter des échantillons de terre martienne qui pourront nous donner des indices sur une vie passée ou présente sur Mars. Cependant, aucun extraterrestre n’a été trouvé sur Mars pour le moment. La Planète rouge se situe bien dans la zone habitable du Soleil, mais à son extrême limite, si bien qu’il y fait très froid avec une température moyenne de -63 °C, contre 15°C pour la Terre !
La découverte de la première exoplanète, 51 Pegasi b, le 6 octobre 1995, a considérablement changé les choses. Les exoplanètes sont des planètes qui orbitent autour d’une autre étoile que le Soleil. À ce jour, plus de 5 300 exoplanètes ont été découvertes d’après l’Encyclopédie des planètes extrasolaires ! Mais toutes les exoplanètes ne sont pas forcément habitables : certaines orbitent très près de leur étoile et d’autres sont des planètes de glace comme Uranus ou Neptune. Et moins de 200 parmi les exoplanètes découvertes sont rocheuses, comme la Terre, les autres étant gazeuses comme Jupiter. La recherche d’une exoplanète habitable est devenue l’un des objectifs des astronomes, qui étudient les caractéristiques de chaque exoplanète découverte à l’aide de puissants télescopes en espérant trouver des bio signatures, c’est-à-dire des traces de vie.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥Voyage vers les exoplanètes du système stellaire Wolf 1061 :
• Le système stellaire de Wolf 1061 est situé à 13,8 années-lumière de notre système solaire. Entre la Terre et Wolf 1061, il n’y a pas de vide, bien au contraire. L’espace, contrairement à ce que beaucoup pensent, n’est pas vide. Il n’y a pas d’air, mais il y a des gaz, des poussières, des molécules et des atomes. Il y a aussi de nombreux objets célestes : étoiles, exoplanètes, satellites, comètes, pulsars…
Il y aurait une trentaine d’étoiles entre la Terre et Wolf 1061. Sur notre route, nous allons donc croiser une multitude d’étoiles, dont certaines sont le centre d’un système planétaire. Wolf 1061 c n’est pas l’exoplanète la plus proche de la Terre, mais c’est l’une des quelques exoplanètes qui semble le plus susceptible d’abriter la vie.
Nous allons profiter de notre voyage vers le système stellaire Wolf 1061 pour observer plusieurs exoplanètes que les astronomes ont déjà étudiées en espérant trouver des traces de vie extraterrestre. Sur notre chemin, nous croiserons plusieurs exoplanètes qui sont déjà candidates au titre de l’exoplanète la plus proche de la Terre où la vie existe. Premier arrêt : le système planétaire de Proxima Centauri !

Continuons notre voyage dans l’Univers à la découverte des exoplanètes les plus proches de la Terre. Non loin de GI411 b se trouve l’exoplanète Ross 128 b, située à 11 années-lumière de notre planète. Découverte en 2017, l’exoplanète Ross 128 b est en orbite autour d’une naine rouge, Ross 128, et elle a été détectée avec le spectrographe HARPS à l'observatoire de La Silla au Chili.
C’est l’exoplanète la plus proche de la Terre qui pourrait potentiellement être habitée car l’étoile Ross 168 est une naine rouge plutôt calme. Ses éruptions sont moins fréquentes et moins violentes que celles d’autres naines rouges, ce qui augmenterait les chances de préserver l’atmosphère de Ross 128 b si elle en avait une. Si Ross 128 b contenait de l’eau liquide, elle serait donc bien plus propice au développement de la vie que Proxima Centauri b qui est constamment bombardée de rayons X et d’ultraviolets nocifs.

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🎬 Au programme...

histoire de la terre, documentaire histoire de la terre
🌍 À quoi ressemblaient la faune et la flore terrestre il y a des millions d’années ? Quels sont les premiers habitants à avoir foulé le sol de notre planète ? Qui ne s’est pas déjà posé cette question ?
Depuis le commencement de notre monde, on raconte de merveilleuses histoires sur la naissance de la vie. Dès l’apparition des premiers hommes, l’humanité voulait savoir, désirait apprendre, espérait comprendre.
Il y a plusieurs milliers d’années, ces histoires tenaient plus du mythe et des légendes. Les croyances permettaient de combler le vide laissé par la connaissance qui nous manquait. Le savoir est un besoin pour l’homme depuis la nuit des temps.
Aujourd’hui, la recherche, la science et la technologie nous permettent d’appréhender notre environnement différemment. Mais, la quête du savoir reste encore très ancrée en chacun de nous. Plus nous trouvons des éléments de réponses, plus de nouvelles questions semblent émerger. Rien n’a changé entre hier et aujourd’hui, le désir de savoir et de comprendre est toujours aussi intense et profond.
Pourquoi sommes-nous là ? Comment sommes-nous arrivés sur Terre ? Quels sont les premiers habitants de notre planète ? À quoi ressemblait alors la vie sur Terre ? Cette question existentielle est inhérente à l’humanité. Elle est le propre de l’homme.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre Préhistorique :
• Petit à petit, pourtant, les choses évoluent. Notre voyage nous emmène à l’époque de l’Ordovicien. C’est là que nous allons atterrir et poser nos valises le temps d’observer ce qui se passe dans les environs.
Nous nous situons entre 485 et 443 millions d’années. Ici, le climat favorisant leur développement, quelques végétaux parviennent à s’accrocher et à survivre malgré les conditions difficiles, tant sur le plan climatique que géologique.
Cette toute petite chose verte que tu vois napper le sol est une Marchantia Polymorpha. Elle fait partie des plantes hépatiques, c’est-à-dire sans système vasculaire. D’autres types de plantes hépatiques, comme les mousses, les sphaignes et les anthocérotes vont parvenir à se faire une petite place sur le continent. À elles seules, elles vont former le premier couvert végétal. Si petit et infime soit-il, ce petit écrin de verdure de mousse et de lichen est synonyme de vie à lui seul. L’expansion de ces végétaux a permis de déclencher tout un tas de processus déterminants pour la suite de notre histoire. Ils ont permis notamment d’appauvrir l’atmosphère en CO². Mais, pour le moment, rien n’est encore acquis. Trop peu d’éléments favorisent la naissance de la vie sur terre.
Un tel changement prend du temps. Poursuivons notre progression sur l’échelle géologique du temps et donnons-nous rendez-vous au silurien. ..

Nous voilà maintenant entre 443 et 419 millions d’années en arrière. À l’approche du Silurien, il y a environ 443 millions d’années donc, la végétation continue de se développer. Les algues vertes bien sûr, mais aussi le lichen à la surface et le Cooksonia.
Cette plante primitive est l’une des premières à être dotée d’un système vasculaire, c’est-à-dire qu’elle est constituée de vaisseaux permettant la circulation de l’eau et de la sève. C’est un changement énorme pour la végétation. Cette évolution va favoriser une diversification des plantes et un enrichissement du sol. Mais, patience, n’allons pas trop vite. Revenons à notre Cooksonia.
On la reconnaît aux petites boules qui se trouvent aux extrémités des tiges. Ces petites boules sont des sporanges. Ce sont des organes qui émettent des spores. En botanique, les spores désignent les cellules semences qui peuvent donner naissance à un nouvel individu. Voici pourquoi le Cooksonia tapisse cette parcelle de terre juste devant toi. Mais une autre évolution va...

histoire de la terre, documentaire histoire de la terre
🌍 À quoi ressemblaient la faune et la flore terrestre il y a des millions d’années ? Quels sont les premiers habitants à avoir foulé le sol de notre planète ? Qui ne s’est pas déjà posé cette question ?
Depuis le commencement de notre monde, on raconte de merveilleuses histoires sur la naissance de la vie. Dès l’apparition des premiers hommes, l’humanité voulait savoir, désirait apprendre, espérait comprendre.
Il y a plusieurs milliers d’années, ces histoires tenaient plus du mythe et des légendes. Les croyances permettaient de combler le vide laissé par la connaissance qui nous manquait. Le savoir est un besoin pour l’homme depuis la nuit des temps.
Aujourd’hui, la recherche, la science et la technologie nous permettent d’appréhender notre environnement différemment. Mais, la quête du savoir reste encore très ancrée en chacun de nous. Plus nous trouvons des éléments de réponses, plus de nouvelles questions semblent émerger. Rien n’a changé entre hier et aujourd’hui, le désir de savoir et de comprendre est toujours aussi intense et profond.
Pourquoi sommes-nous là ? Comment sommes-nous arrivés sur Terre ? Quels sont les premiers habitants de notre planète ? À quoi ressemblait alors la vie sur Terre ? Cette question existentielle est inhérente à l’humanité. Elle est le propre de l’homme.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre Préhistorique :
• Petit à petit, pourtant, les choses évoluent. Notre voyage nous emmène à l’époque de l’Ordovicien. C’est là que nous allons atterrir et poser nos valises le temps d’observer ce qui se passe dans les environs.
Nous nous situons entre 485 et 443 millions d’années. Ici, le climat favorisant leur développement, quelques végétaux parviennent à s’accrocher et à survivre malgré les conditions difficiles, tant sur le plan climatique que géologique.
Cette toute petite chose verte que tu vois napper le sol est une Marchantia Polymorpha. Elle fait partie des plantes hépatiques, c’est-à-dire sans système vasculaire. D’autres types de plantes hépatiques, comme les mousses, les sphaignes et les anthocérotes vont parvenir à se faire une petite place sur le continent. À elles seules, elles vont former le premier couvert végétal. Si petit et infime soit-il, ce petit écrin de verdure de mousse et de lichen est synonyme de vie à lui seul. L’expansion de ces végétaux a permis de déclencher tout un tas de processus déterminants pour la suite de notre histoire. Ils ont permis notamment d’appauvrir l’atmosphère en CO². Mais, pour le moment, rien n’est encore acquis. Trop peu d’éléments favorisent la naissance de la vie sur terre.
Un tel changement prend du temps. Poursuivons notre progression sur l’échelle géologique du temps et donnons-nous rendez-vous au silurien. ..

Nous voilà maintenant entre 443 et 419 millions d’années en arrière. À l’approche du Silurien, il y a environ 443 millions d’années donc, la végétation continue de se développer. Les algues vertes bien sûr, mais aussi le lichen à la surface et le Cooksonia.
Cette plante primitive est l’une des premières à être dotée d’un système vasculaire, c’est-à-dire qu’elle est constituée de vaisseaux permettant la circulation de l’eau et de la sève. C’est un changement énorme pour la végétation. Cette évolution va favoriser une diversification des plantes et un enrichissement du sol. Mais, patience, n’allons pas trop vite. Revenons à notre Cooksonia.
On la reconnaît aux petites boules qui se trouvent aux extrémités des tiges. Ces petites boules sont des sporanges. Ce sont des organes qui émettent des spores. En botanique, les spores désignent les cellules semences qui peuvent donner naissance à un nouvel individu. Voici pourquoi le Cooksonia tapisse cette parcelle de terre juste devant toi. Mais une autre évolution va...

histoire de la terre, documentaire histoire de la terre
🌍 À quoi ressemblaient la faune et la flore terrestre il y a des millions d’années ? Quels sont les premiers habitants à avoir foulé le sol de notre planète ? Qui ne s’est pas déjà posé cette question ?
Depuis le commencement de notre monde, on raconte de merveilleuses histoires sur la naissance de la vie. Dès l’apparition des premiers hommes, l’humanité voulait savoir, désirait apprendre, espérait comprendre.
Il y a plusieurs milliers d’années, ces histoires tenaient plus du mythe et des légendes. Les croyances permettaient de combler le vide laissé par la connaissance qui nous manquait. Le savoir est un besoin pour l’homme depuis la nuit des temps.
Aujourd’hui, la recherche, la science et la technologie nous permettent d’appréhender notre environnement différemment. Mais, la quête du savoir reste encore très ancrée en chacun de nous. Plus nous trouvons des éléments de réponses, plus de nouvelles questions semblent émerger. Rien n’a changé entre hier et aujourd’hui, le désir de savoir et de comprendre est toujours aussi intense et profond.
Pourquoi sommes-nous là ? Comment sommes-nous arrivés sur Terre ? Quels sont les premiers habitants de notre planète ? À quoi ressemblait alors la vie sur Terre ? Cette question existentielle est inhérente à l’humanité. Elle est le propre de l’homme.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre Préhistorique :
• Petit à petit, pourtant, les choses évoluent. Notre voyage nous emmène à l’époque de l’Ordovicien. C’est là que nous allons atterrir et poser nos valises le temps d’observer ce qui se passe dans les environs.
Nous nous situons entre 485 et 443 millions d’années. Ici, le climat favorisant leur développement, quelques végétaux parviennent à s’accrocher et à survivre malgré les conditions difficiles, tant sur le plan climatique que géologique.
Cette toute petite chose verte que tu vois napper le sol est une Marchantia Polymorpha. Elle fait partie des plantes hépatiques, c’est-à-dire sans système vasculaire. D’autres types de plantes hépatiques, comme les mousses, les sphaignes et les anthocérotes vont parvenir à se faire une petite place sur le continent. À elles seules, elles vont former le premier couvert végétal. Si petit et infime soit-il, ce petit écrin de verdure de mousse et de lichen est synonyme de vie à lui seul. L’expansion de ces végétaux a permis de déclencher tout un tas de processus déterminants pour la suite de notre histoire. Ils ont permis notamment d’appauvrir l’atmosphère en CO². Mais, pour le moment, rien n’est encore acquis. Trop peu d’éléments favorisent la naissance de la vie sur terre.
Un tel changement prend du temps. Poursuivons notre progression sur l’échelle géologique du temps et donnons-nous rendez-vous au silurien. ..

Nous voilà maintenant entre 443 et 419 millions d’années en arrière. À l’approche du Silurien, il y a environ 443 millions d’années donc, la végétation continue de se développer. Les algues vertes bien sûr, mais aussi le lichen à la surface et le Cooksonia.
Cette plante primitive est l’une des premières à être dotée d’un système vasculaire, c’est-à-dire qu’elle est constituée de vaisseaux permettant la circulation de l’eau et de la sève. C’est un changement énorme pour la végétation. Cette évolution va favoriser une diversification des plantes et un enrichissement du sol. Mais, patience, n’allons pas trop vite. Revenons à notre Cooksonia.
On la reconnaît aux petites boules qui se trouvent aux extrémités des tiges. Ces petites boules sont des sporanges. Ce sont des organes qui émettent des spores. En botanique, les spores désignent les cellules semences qui peuvent donner naissance à un nouvel individu. Voici pourquoi le Cooksonia tapisse cette parcelle de terre juste devant toi. Mais une autre évolution va...

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🌍 À quoi ressemblaient la faune et la flore terrestre il y a des millions d’années ? Quels sont les premiers habitants à avoir foulé le sol de notre planète ? Qui ne s’est pas déjà posé cette question ?
Depuis le commencement de notre monde, on raconte de merveilleuses histoires sur la naissance de la vie. Dès l’apparition des premiers hommes, l’humanité voulait savoir, désirait apprendre, espérait comprendre.
Il y a plusieurs milliers d’années, ces histoires tenaient plus du mythe et des légendes. Les croyances permettaient de combler le vide laissé par la connaissance qui nous manquait. Le savoir est un besoin pour l’homme depuis la nuit des temps.
Aujourd’hui, la recherche, la science et la technologie nous permettent d’appréhender notre environnement différemment. Mais, la quête du savoir reste encore très ancrée en chacun de nous. Plus nous trouvons des éléments de réponses, plus de nouvelles questions semblent émerger. Rien n’a changé entre hier et aujourd’hui, le désir de savoir et de comprendre est toujours aussi intense et profond.
Pourquoi sommes-nous là ? Comment sommes-nous arrivés sur Terre ? Quels sont les premiers habitants de notre planète ? À quoi ressemblait alors la vie sur Terre ? Cette question existentielle est inhérente à l’humanité. Elle est le propre de l’homme.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre Préhistorique :
• Petit à petit, pourtant, les choses évoluent. Notre voyage nous emmène à l’époque de l’Ordovicien. C’est là que nous allons atterrir et poser nos valises le temps d’observer ce qui se passe dans les environs.
Nous nous situons entre 485 et 443 millions d’années. Ici, le climat favorisant leur développement, quelques végétaux parviennent à s’accrocher et à survivre malgré les conditions difficiles, tant sur le plan climatique que géologique.
Cette toute petite chose verte que tu vois napper le sol est une Marchantia Polymorpha. Elle fait partie des plantes hépatiques, c’est-à-dire sans système vasculaire. D’autres types de plantes hépatiques, comme les mousses, les sphaignes et les anthocérotes vont parvenir à se faire une petite place sur le continent. À elles seules, elles vont former le premier couvert végétal. Si petit et infime soit-il, ce petit écrin de verdure de mousse et de lichen est synonyme de vie à lui seul. L’expansion de ces végétaux a permis de déclencher tout un tas de processus déterminants pour la suite de notre histoire. Ils ont permis notamment d’appauvrir l’atmosphère en CO². Mais, pour le moment, rien n’est encore acquis. Trop peu d’éléments favorisent la naissance de la vie sur terre.
Un tel changement prend du temps. Poursuivons notre progression sur l’échelle géologique du temps et donnons-nous rendez-vous au silurien. ..

Nous voilà maintenant entre 443 et 419 millions d’années en arrière. À l’approche du Silurien, il y a environ 443 millions d’années donc, la végétation continue de se développer. Les algues vertes bien sûr, mais aussi le lichen à la surface et le Cooksonia.
Cette plante primitive est l’une des premières à être dotée d’un système vasculaire, c’est-à-dire qu’elle est constituée de vaisseaux permettant la circulation de l’eau et de la sève. C’est un changement énorme pour la végétation. Cette évolution va favoriser une diversification des plantes et un enrichissement du sol. Mais, patience, n’allons pas trop vite. Revenons à notre Cooksonia.
On la reconnaît aux petites boules qui se trouvent aux extrémités des tiges. Ces petites boules sont des sporanges. Ce sont des organes qui émettent des spores. En botanique, les spores désignent les cellules semences qui peuvent donner naissance à un nouvel individu. Voici pourquoi le Cooksonia tapisse cette parcelle de terre juste devant toi. Mais une autre évolution va...

histoire de la terre, documentaire histoire de la terre
🌍 À quoi ressemblaient la faune et la flore terrestre il y a des millions d’années ? Quels sont les premiers habitants à avoir foulé le sol de notre planète ? Qui ne s’est pas déjà posé cette question ?
Depuis le commencement de notre monde, on raconte de merveilleuses histoires sur la naissance de la vie. Dès l’apparition des premiers hommes, l’humanité voulait savoir, désirait apprendre, espérait comprendre.
Il y a plusieurs milliers d’années, ces histoires tenaient plus du mythe et des légendes. Les croyances permettaient de combler le vide laissé par la connaissance qui nous manquait. Le savoir est un besoin pour l’homme depuis la nuit des temps.
Aujourd’hui, la recherche, la science et la technologie nous permettent d’appréhender notre environnement différemment. Mais, la quête du savoir reste encore très ancrée en chacun de nous. Plus nous trouvons des éléments de réponses, plus de nouvelles questions semblent émerger. Rien n’a changé entre hier et aujourd’hui, le désir de savoir et de comprendre est toujours aussi intense et profond.
Pourquoi sommes-nous là ? Comment sommes-nous arrivés sur Terre ? Quels sont les premiers habitants de notre planète ? À quoi ressemblait alors la vie sur Terre ? Cette question existentielle est inhérente à l’humanité. Elle est le propre de l’homme.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre Préhistorique :
• Petit à petit, pourtant, les choses évoluent. Notre voyage nous emmène à l’époque de l’Ordovicien. C’est là que nous allons atterrir et poser nos valises le temps d’observer ce qui se passe dans les environs.
Nous nous situons entre 485 et 443 millions d’années. Ici, le climat favorisant leur développement, quelques végétaux parviennent à s’accrocher et à survivre malgré les conditions difficiles, tant sur le plan climatique que géologique.
Cette toute petite chose verte que tu vois napper le sol est une Marchantia Polymorpha. Elle fait partie des plantes hépatiques, c’est-à-dire sans système vasculaire. D’autres types de plantes hépatiques, comme les mousses, les sphaignes et les anthocérotes vont parvenir à se faire une petite place sur le continent. À elles seules, elles vont former le premier couvert végétal. Si petit et infime soit-il, ce petit écrin de verdure de mousse et de lichen est synonyme de vie à lui seul. L’expansion de ces végétaux a permis de déclencher tout un tas de processus déterminants pour la suite de notre histoire. Ils ont permis notamment d’appauvrir l’atmosphère en CO². Mais, pour le moment, rien n’est encore acquis. Trop peu d’éléments favorisent la naissance de la vie sur terre.
Un tel changement prend du temps. Poursuivons notre progression sur l’échelle géologique du temps et donnons-nous rendez-vous au silurien. ..

Nous voilà maintenant entre 443 et 419 millions d’années en arrière. À l’approche du Silurien, il y a environ 443 millions d’années donc, la végétation continue de se développer. Les algues vertes bien sûr, mais aussi le lichen à la surface et le Cooksonia.
Cette plante primitive est l’une des premières à être dotée d’un système vasculaire, c’est-à-dire qu’elle est constituée de vaisseaux permettant la circulation de l’eau et de la sève. C’est un changement énorme pour la végétation. Cette évolution va favoriser une diversification des plantes et un enrichissement du sol. Mais, patience, n’allons pas trop vite. Revenons à notre Cooksonia.
On la reconnaît aux petites boules qui se trouvent aux extrémités des tiges. Ces petites boules sont des sporanges. Ce sont des organes qui émettent des spores. En botanique, les spores désignent les cellules semences qui peuvent donner naissance à un nouvel individu. Voici pourquoi le Cooksonia tapisse cette parcelle de terre juste devant toi. Mais une autre évolution va...

🌍 Saviez-vous que les étoiles, sous leurs airs destructeurs, produisent en fait les éléments qui composent notre univers ?
Pourtant, ce n’est là qu’un des nombreux mystères qui gravitent autour de ces astres en fusion.
Les étoiles se trouvent à l’origine de nombreux mythes et croyances.
En Égypte antique, le soleil était l’incarnation du dieu Râ, traversant les cieux à bord de sa barque, créant ainsi les cycles jour/nuit.
Chez les Incas, Inti était le dieu du soleil.
Source de chaleur et de lumière, protecteur du peuple, il était considéré comme la plus importante des divinités.
Même les anciens Grecs, pourtant très en avance sur le temps, considéraient le dieu Hélios comme la personnification du soleil.
Lui et ses sœurs - Séléné, la lune, et Éos, l'aurore - rythmaient ainsi la vie des peuples méditerranéens.
Aujourd’hui, nos connaissances et nos observations du ciel nous ont permis d’en apprendre davantage sur cet astre.
D’abord considéré comme unique, nous savons que le soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres.
Une simple goutte d’eau dans un océan de corps célestes, aussi massifs que lumineux.
Et encore, le dire ainsi est un doux euphémisme…
D’après les dernières observations, notre voie lactée abriterait entre 200 et 400 milliards d’étoiles.
Mais elle aussi n’est qu’une simple galaxie parmi les milliers de milliards qui se cachent au sein de l’univers observable.
Des chiffres astronomiques qui, à trop y réfléchir, peuvent nous donner le vertige !
Même le ciel le plus étoilé qui soit ne nous dévoile qu’une infime partie des étoiles du cosmos.
Si toutes étaient visibles, nous serions constamment baignés d’une lumière aveuglante, de jour comme de nuit.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


-------------------------

💥 Voyage vers les étoiles du cosmos :
• Notre soleil est loin d’être la plus grosse étoile de notre galaxie.
Et en un sens, c’est une excellente nouvelle.
Sa masse et sa température sont idéales pour nous procurer chaleur et lumière pendant encore des centaines de millions d’années.
Si celui-ci avait été plus gros, il est très probable que la vie ne se serait jamais développée sur Terre.
Aussi, le Soleil aurait été bien plus éphémère.
Nous ne le savons que trop bien, car des étoiles hypermassives, à la durée de vie très courte, se cachent dans notre voie lactée.
Elles sont nommées : géantes bleues !

Jusqu’à présent, notre voyage nous a conduits vers des étoiles aux multiples couleurs.
Pour les astres d’environ 3000 degrés, la couleur principale était le rouge.
Pour ceux autour des 4000 degrés, c’est plutôt l’orange qui domine.
Pour les étoiles semblables à notre soleil, celles dont la température se situe entre 5 000 et 6000 degrés, leur couleur majoritaire est le jaune.
Plus chaudes encore, les étoiles d’environ 10 000 degrés sont blanches, voire légèrement bleutées.
Enfin, les étoiles les plus chaudes, plus de 20 000 degrés, vont du bleu clair au bleu profond.
Mais une couleur semble aux abonnées absentes…
Si vous êtes attentif, vous remarquerez qu’aucune étoile verte n’a été citée.
Mais alors, où se cachent les étoiles de jade ?

La plupart des étoiles se forment dans des pouponnières.
Au sein de ces nuages dits « moléculaires », les astres les plus brillants peuvent voir le jour, jusqu’à progressivement former des systèmes complexes, composés de planètes, de planétoïdes et autres astéroïdes.
Mais toutes les étoiles n’ont pas cette chance…
Par un malheureux coup du sort, il arrive que certaines étoiles se retrouvent isolées, condamnées à dériver seules dans le cosmos.
Ces étoiles, qualifiées de solitaires, d’orphelines ou encore de vagabondes, ont éveillé la curiosité des scientifiques.
Est-il possible qu’elles se soient...

🌍 Saviez-vous que les étoiles, sous leurs airs destructeurs, produisent en fait les éléments qui composent notre univers ?
Pourtant, ce n’est là qu’un des nombreux mystères qui gravitent autour de ces astres en fusion.
Les étoiles se trouvent à l’origine de nombreux mythes et croyances.
En Égypte antique, le soleil était l’incarnation du dieu Râ, traversant les cieux à bord de sa barque, créant ainsi les cycles jour/nuit.
Chez les Incas, Inti était le dieu du soleil.
Source de chaleur et de lumière, protecteur du peuple, il était considéré comme la plus importante des divinités.
Même les anciens Grecs, pourtant très en avance sur le temps, considéraient le dieu Hélios comme la personnification du soleil.
Lui et ses sœurs - Séléné, la lune, et Éos, l'aurore - rythmaient ainsi la vie des peuples méditerranéens.
Aujourd’hui, nos connaissances et nos observations du ciel nous ont permis d’en apprendre davantage sur cet astre.
D’abord considéré comme unique, nous savons que le soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres.
Une simple goutte d’eau dans un océan de corps célestes, aussi massifs que lumineux.
Et encore, le dire ainsi est un doux euphémisme…
D’après les dernières observations, notre voie lactée abriterait entre 200 et 400 milliards d’étoiles.
Mais elle aussi n’est qu’une simple galaxie parmi les milliers de milliards qui se cachent au sein de l’univers observable.
Des chiffres astronomiques qui, à trop y réfléchir, peuvent nous donner le vertige !
Même le ciel le plus étoilé qui soit ne nous dévoile qu’une infime partie des étoiles du cosmos.
Si toutes étaient visibles, nous serions constamment baignés d’une lumière aveuglante, de jour comme de nuit.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage vers les étoiles du cosmos :
• Notre soleil est loin d’être la plus grosse étoile de notre galaxie.
Et en un sens, c’est une excellente nouvelle.
Sa masse et sa température sont idéales pour nous procurer chaleur et lumière pendant encore des centaines de millions d’années.
Si celui-ci avait été plus gros, il est très probable que la vie ne se serait jamais développée sur Terre.
Aussi, le Soleil aurait été bien plus éphémère.
Nous ne le savons que trop bien, car des étoiles hypermassives, à la durée de vie très courte, se cachent dans notre voie lactée.
Elles sont nommées : géantes bleues !

Jusqu’à présent, notre voyage nous a conduits vers des étoiles aux multiples couleurs.
Pour les astres d’environ 3000 degrés, la couleur principale était le rouge.
Pour ceux autour des 4000 degrés, c’est plutôt l’orange qui domine.
Pour les étoiles semblables à notre soleil, celles dont la température se situe entre 5 000 et 6000 degrés, leur couleur majoritaire est le jaune.
Plus chaudes encore, les étoiles d’environ 10 000 degrés sont blanches, voire légèrement bleutées.
Enfin, les étoiles les plus chaudes, plus de 20 000 degrés, vont du bleu clair au bleu profond.
Mais une couleur semble aux abonnées absentes…
Si vous êtes attentif, vous remarquerez qu’aucune étoile verte n’a été citée.
Mais alors, où se cachent les étoiles de jade ?

La plupart des étoiles se forment dans des pouponnières.
Au sein de ces nuages dits « moléculaires », les astres les plus brillants peuvent voir le jour, jusqu’à progressivement former des systèmes complexes, composés de planètes, de planétoïdes et autres astéroïdes.
Mais toutes les étoiles n’ont pas cette chance…
Par un malheureux coup du sort, il arrive que certaines étoiles se retrouvent isolées, condamnées à dériver seules dans le cosmos.
Ces étoiles, qualifiées de solitaires, d’orphelines ou encore de vagabondes, ont éveillé la curiosité des scientifiques.
Est-il possible qu’elles se soient...

🌍 Saviez-vous que les étoiles, sous leurs airs destructeurs, produisent en fait les éléments qui composent notre univers ?
Pourtant, ce n’est là qu’un des nombreux mystères qui gravitent autour de ces astres en fusion.
Les étoiles se trouvent à l’origine de nombreux mythes et croyances.
En Égypte antique, le soleil était l’incarnation du dieu Râ, traversant les cieux à bord de sa barque, créant ainsi les cycles jour/nuit.
Chez les Incas, Inti était le dieu du soleil.
Source de chaleur et de lumière, protecteur du peuple, il était considéré comme la plus importante des divinités.
Même les anciens Grecs, pourtant très en avance sur le temps, considéraient le dieu Hélios comme la personnification du soleil.
Lui et ses sœurs - Séléné, la lune, et Éos, l'aurore - rythmaient ainsi la vie des peuples méditerranéens.
Aujourd’hui, nos connaissances et nos observations du ciel nous ont permis d’en apprendre davantage sur cet astre.
D’abord considéré comme unique, nous savons que le soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres.
Une simple goutte d’eau dans un océan de corps célestes, aussi massifs que lumineux.
Et encore, le dire ainsi est un doux euphémisme…
D’après les dernières observations, notre voie lactée abriterait entre 200 et 400 milliards d’étoiles.
Mais elle aussi n’est qu’une simple galaxie parmi les milliers de milliards qui se cachent au sein de l’univers observable.
Des chiffres astronomiques qui, à trop y réfléchir, peuvent nous donner le vertige !
Même le ciel le plus étoilé qui soit ne nous dévoile qu’une infime partie des étoiles du cosmos.
Si toutes étaient visibles, nous serions constamment baignés d’une lumière aveuglante, de jour comme de nuit.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage vers les étoiles du cosmos :
• Notre soleil est loin d’être la plus grosse étoile de notre galaxie.
Et en un sens, c’est une excellente nouvelle.
Sa masse et sa température sont idéales pour nous procurer chaleur et lumière pendant encore des centaines de millions d’années.
Si celui-ci avait été plus gros, il est très probable que la vie ne se serait jamais développée sur Terre.
Aussi, le Soleil aurait été bien plus éphémère.
Nous ne le savons que trop bien, car des étoiles hypermassives, à la durée de vie très courte, se cachent dans notre voie lactée.
Elles sont nommées : géantes bleues !

Jusqu’à présent, notre voyage nous a conduits vers des étoiles aux multiples couleurs.
Pour les astres d’environ 3000 degrés, la couleur principale était le rouge.
Pour ceux autour des 4000 degrés, c’est plutôt l’orange qui domine.
Pour les étoiles semblables à notre soleil, celles dont la température se situe entre 5 000 et 6000 degrés, leur couleur majoritaire est le jaune.
Plus chaudes encore, les étoiles d’environ 10 000 degrés sont blanches, voire légèrement bleutées.
Enfin, les étoiles les plus chaudes, plus de 20 000 degrés, vont du bleu clair au bleu profond.
Mais une couleur semble aux abonnées absentes…
Si vous êtes attentif, vous remarquerez qu’aucune étoile verte n’a été citée.
Mais alors, où se cachent les étoiles de jade ?

La plupart des étoiles se forment dans des pouponnières.
Au sein de ces nuages dits « moléculaires », les astres les plus brillants peuvent voir le jour, jusqu’à progressivement former des systèmes complexes, composés de planètes, de planétoïdes et autres astéroïdes.
Mais toutes les étoiles n’ont pas cette chance…
Par un malheureux coup du sort, il arrive que certaines étoiles se retrouvent isolées, condamnées à dériver seules dans le cosmos.
Ces étoiles, qualifiées de solitaires, d’orphelines ou encore de vagabondes, ont éveillé la curiosité des scientifiques.
Est-il possible qu’elles se soient...

🌍 Saviez-vous que les étoiles, sous leurs airs destructeurs, produisent en fait les éléments qui composent notre univers ?
Pourtant, ce n’est là qu’un des nombreux mystères qui gravitent autour de ces astres en fusion.
Les étoiles se trouvent à l’origine de nombreux mythes et croyances.
En Égypte antique, le soleil était l’incarnation du dieu Râ, traversant les cieux à bord de sa barque, créant ainsi les cycles jour/nuit.
Chez les Incas, Inti était le dieu du soleil.
Source de chaleur et de lumière, protecteur du peuple, il était considéré comme la plus importante des divinités.
Même les anciens Grecs, pourtant très en avance sur le temps, considéraient le dieu Hélios comme la personnification du soleil.
Lui et ses sœurs - Séléné, la lune, et Éos, l'aurore - rythmaient ainsi la vie des peuples méditerranéens.
Aujourd’hui, nos connaissances et nos observations du ciel nous ont permis d’en apprendre davantage sur cet astre.
D’abord considéré comme unique, nous savons que le soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres.
Une simple goutte d’eau dans un océan de corps célestes, aussi massifs que lumineux.
Et encore, le dire ainsi est un doux euphémisme…
D’après les dernières observations, notre voie lactée abriterait entre 200 et 400 milliards d’étoiles.
Mais elle aussi n’est qu’une simple galaxie parmi les milliers de milliards qui se cachent au sein de l’univers observable.
Des chiffres astronomiques qui, à trop y réfléchir, peuvent nous donner le vertige !
Même le ciel le plus étoilé qui soit ne nous dévoile qu’une infime partie des étoiles du cosmos.
Si toutes étaient visibles, nous serions constamment baignés d’une lumière aveuglante, de jour comme de nuit.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage vers les étoiles du cosmos :
• Notre soleil est loin d’être la plus grosse étoile de notre galaxie.
Et en un sens, c’est une excellente nouvelle.
Sa masse et sa température sont idéales pour nous procurer chaleur et lumière pendant encore des centaines de millions d’années.
Si celui-ci avait été plus gros, il est très probable que la vie ne se serait jamais développée sur Terre.
Aussi, le Soleil aurait été bien plus éphémère.
Nous ne le savons que trop bien, car des étoiles hypermassives, à la durée de vie très courte, se cachent dans notre voie lactée.
Elles sont nommées : géantes bleues !

Jusqu’à présent, notre voyage nous a conduits vers des étoiles aux multiples couleurs.
Pour les astres d’environ 3000 degrés, la couleur principale était le rouge.
Pour ceux autour des 4000 degrés, c’est plutôt l’orange qui domine.
Pour les étoiles semblables à notre soleil, celles dont la température se situe entre 5 000 et 6000 degrés, leur couleur majoritaire est le jaune.
Plus chaudes encore, les étoiles d’environ 10 000 degrés sont blanches, voire légèrement bleutées.
Enfin, les étoiles les plus chaudes, plus de 20 000 degrés, vont du bleu clair au bleu profond.
Mais une couleur semble aux abonnées absentes…
Si vous êtes attentif, vous remarquerez qu’aucune étoile verte n’a été citée.
Mais alors, où se cachent les étoiles de jade ?

La plupart des étoiles se forment dans des pouponnières.
Au sein de ces nuages dits « moléculaires », les astres les plus brillants peuvent voir le jour, jusqu’à progressivement former des systèmes complexes, composés de planètes, de planétoïdes et autres astéroïdes.
Mais toutes les étoiles n’ont pas cette chance…
Par un malheureux coup du sort, il arrive que certaines étoiles se retrouvent isolées, condamnées à dériver seules dans le cosmos.
Ces étoiles, qualifiées de solitaires, d’orphelines ou encore de vagabondes, ont éveillé la curiosité des scientifiques.
Est-il possible qu’elles se soient...

🌍 Saviez-vous que les étoiles, sous leurs airs destructeurs, produisent en fait les éléments qui composent notre univers ?
Pourtant, ce n’est là qu’un des nombreux mystères qui gravitent autour de ces astres en fusion.
Les étoiles se trouvent à l’origine de nombreux mythes et croyances.
En Égypte antique, le soleil était l’incarnation du dieu Râ, traversant les cieux à bord de sa barque, créant ainsi les cycles jour/nuit.
Chez les Incas, Inti était le dieu du soleil.
Source de chaleur et de lumière, protecteur du peuple, il était considéré comme la plus importante des divinités.
Même les anciens Grecs, pourtant très en avance sur le temps, considéraient le dieu Hélios comme la personnification du soleil.
Lui et ses sœurs - Séléné, la lune, et Éos, l'aurore - rythmaient ainsi la vie des peuples méditerranéens.
Aujourd’hui, nos connaissances et nos observations du ciel nous ont permis d’en apprendre davantage sur cet astre.
D’abord considéré comme unique, nous savons que le soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres.
Une simple goutte d’eau dans un océan de corps célestes, aussi massifs que lumineux.
Et encore, le dire ainsi est un doux euphémisme…
D’après les dernières observations, notre voie lactée abriterait entre 200 et 400 milliards d’étoiles.
Mais elle aussi n’est qu’une simple galaxie parmi les milliers de milliards qui se cachent au sein de l’univers observable.
Des chiffres astronomiques qui, à trop y réfléchir, peuvent nous donner le vertige !
Même le ciel le plus étoilé qui soit ne nous dévoile qu’une infime partie des étoiles du cosmos.
Si toutes étaient visibles, nous serions constamment baignés d’une lumière aveuglante, de jour comme de nuit.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage vers les étoiles du cosmos :
• Notre soleil est loin d’être la plus grosse étoile de notre galaxie.
Et en un sens, c’est une excellente nouvelle.
Sa masse et sa température sont idéales pour nous procurer chaleur et lumière pendant encore des centaines de millions d’années.
Si celui-ci avait été plus gros, il est très probable que la vie ne se serait jamais développée sur Terre.
Aussi, le Soleil aurait été bien plus éphémère.
Nous ne le savons que trop bien, car des étoiles hypermassives, à la durée de vie très courte, se cachent dans notre voie lactée.
Elles sont nommées : géantes bleues !

Jusqu’à présent, notre voyage nous a conduits vers des étoiles aux multiples couleurs.
Pour les astres d’environ 3000 degrés, la couleur principale était le rouge.
Pour ceux autour des 4000 degrés, c’est plutôt l’orange qui domine.
Pour les étoiles semblables à notre soleil, celles dont la température se situe entre 5 000 et 6000 degrés, leur couleur majoritaire est le jaune.
Plus chaudes encore, les étoiles d’environ 10 000 degrés sont blanches, voire légèrement bleutées.
Enfin, les étoiles les plus chaudes, plus de 20 000 degrés, vont du bleu clair au bleu profond.
Mais une couleur semble aux abonnées absentes…
Si vous êtes attentif, vous remarquerez qu’aucune étoile verte n’a été citée.
Mais alors, où se cachent les étoiles de jade ?

La plupart des étoiles se forment dans des pouponnières.
Au sein de ces nuages dits « moléculaires », les astres les plus brillants peuvent voir le jour, jusqu’à progressivement former des systèmes complexes, composés de planètes, de planétoïdes et autres astéroïdes.
Mais toutes les étoiles n’ont pas cette chance…
Par un malheureux coup du sort, il arrive que certaines étoiles se retrouvent isolées, condamnées à dériver seules dans le cosmos.
Ces étoiles, qualifiées de solitaires, d’orphelines ou encore de vagabondes, ont éveillé la curiosité des scientifiques.
Est-il possible qu’elles se soient...

🌍
A quoi ressemble les mondes au-delà de notre galaxie ? L’Univers qui nous entoure ne nous a toujours pas révélé ses limites. Si nous connaissons à présent les frontières de notre Galaxie, la Voie Lactée, nos instruments de mesure contemporains ne sont pas en mesure d’affirmer si le Cosmos, quant à lui, est illimité ou non. Cependant, à l’heure actuelle, la partie observable de l’Univers semble représenter une sphère de 93 milliards d’années-lumière de diamètre. On estime que l’horizon cosmologique se trouve à environ 45 milliards d’années-lumière de la Terre. Néanmoins, la lumière émise par des objets lointains arrive à nous parvenir progressivement. Cette hypothétique frontière s’avère donc dynamique et l’Univers observable s’allonge au fil du temps.

Les scientifiques, qui ont longtemps considéré notre Galaxie comme étant le centre de l’Univers, savent aujourd’hui qu’il n’en est rien. Ils ont compris depuis longtemps que notre Soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres. Plus encore, ils ont pu établir que notre Galaxie ne représente qu’une infime parcelle de l’immensité cosmique, malgré ses dimensions, à notre taille humaine, quelque peu astronomiques. En effet, notre Galaxie mesure à elle seule près d’une centaine de milliers d’années-lumière de longueur et un millier d’années-lumière en épaisseur. Ramené à l’échelle de l’Univers qui comptabilise des trillions de galaxies, autant dire qu’elle ne représente qu’un grain de sable dans le désert.

La Voie Lactée, parce que notre système solaire en fait partie et qu'elle comprend donc les objets les plus proches de nous, cumule une quantité considérable d’études et d’observations.
Si elle nous a livré un grand nombre de ses secrets, il est évident que de nouveaux éléments seront mis à jour au fur et à mesure que les technologies progresseront. Mais crois-tu tout savoir sur notre Galaxie ? As-tu une idée de ce qui l’entoure ? Penses-tu que dans un espace sidéral éloigné de millions, voire de milliards d’années-lumière, les astres alors présents se comportent différemment ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Au-Delà de la Voie Lactée :
• La Voie Lactée évolue donc dans l’Univers au milieu d’une quantité incalculable d’étoiles. Cependant, on a pu établir qu’elle fait partie d’un ensemble de galaxies connu sous le nom de Groupe Local. Celui-ci contient plus de 60 galaxies, dont principalement des galaxies naines, toutes liées par des forces gravitationnelles communes. Pourtant, ce Groupe Local ne représente qu’une infime partie d’un amas de galaxies encore plus vaste, le superamas de la Vierge, dont il est d’ailleurs situé en périphérie. Ce superamas comprend au moins 100 groupes et amas de galaxies et pourrait faire près de 200 millions d’années-lumière de diamètre. Il appartient lui-même à une structure encore plus gigantesque, le superamas de Laniakea. Ce dernier, composé de plus de 100 000 galaxies et s’étendant sur plus de 520 millions d’années-lumière, n’a toutefois pas convaincu tous les scientifiques. En effet, certains pensent que les galaxies de cette dernière structure ne sont pas liées gravitationnellement et, que par voie de conséquence, ces sous-groupes devraient se disperser avec le temps. Mais revenons au Groupe Local. Malgré sa petite taille, il fait office de catalogue bien garni. Il regroupe pratiquement tous les types de galaxies, sauf les galaxies elliptiques géantes qui ne peuvent être présentes dans une si petite structure, si l’on peut dire, en comparaison à notre dimension humaine !

La taille du Groupe Local est d’approximativement 10 millions d’années-lumière de diamètre et sa masse totale est estimée à 2300 milliard de masses solaires. Les galaxies les plus éloignées de notre système solaire sont distantes d’environ 5 millions d’années-lumière. S’il abrite essentiellement des galaxies...

🌍
A quoi ressemble les mondes au-delà de notre galaxie ? L’Univers qui nous entoure ne nous a toujours pas révélé ses limites. Si nous connaissons à présent les frontières de notre Galaxie, la Voie Lactée, nos instruments de mesure contemporains ne sont pas en mesure d’affirmer si le Cosmos, quant à lui, est illimité ou non. Cependant, à l’heure actuelle, la partie observable de l’Univers semble représenter une sphère de 93 milliards d’années-lumière de diamètre. On estime que l’horizon cosmologique se trouve à environ 45 milliards d’années-lumière de la Terre. Néanmoins, la lumière émise par des objets lointains arrive à nous parvenir progressivement. Cette hypothétique frontière s’avère donc dynamique et l’Univers observable s’allonge au fil du temps.

Les scientifiques, qui ont longtemps considéré notre Galaxie comme étant le centre de l’Univers, savent aujourd’hui qu’il n’en est rien. Ils ont compris depuis longtemps que notre Soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres. Plus encore, ils ont pu établir que notre Galaxie ne représente qu’une infime parcelle de l’immensité cosmique, malgré ses dimensions, à notre taille humaine, quelque peu astronomiques. En effet, notre Galaxie mesure à elle seule près d’une centaine de milliers d’années-lumière de longueur et un millier d’années-lumière en épaisseur. Ramené à l’échelle de l’Univers qui comptabilise des trillions de galaxies, autant dire qu’elle ne représente qu’un grain de sable dans le désert.

La Voie Lactée, parce que notre système solaire en fait partie et qu'elle comprend donc les objets les plus proches de nous, cumule une quantité considérable d’études et d’observations.
Si elle nous a livré un grand nombre de ses secrets, il est évident que de nouveaux éléments seront mis à jour au fur et à mesure que les technologies progresseront. Mais crois-tu tout savoir sur notre Galaxie ? As-tu une idée de ce qui l’entoure ? Penses-tu que dans un espace sidéral éloigné de millions, voire de milliards d’années-lumière, les astres alors présents se comportent différemment ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Au-Delà de la Voie Lactée :
• La Voie Lactée évolue donc dans l’Univers au milieu d’une quantité incalculable d’étoiles. Cependant, on a pu établir qu’elle fait partie d’un ensemble de galaxies connu sous le nom de Groupe Local. Celui-ci contient plus de 60 galaxies, dont principalement des galaxies naines, toutes liées par des forces gravitationnelles communes. Pourtant, ce Groupe Local ne représente qu’une infime partie d’un amas de galaxies encore plus vaste, le superamas de la Vierge, dont il est d’ailleurs situé en périphérie. Ce superamas comprend au moins 100 groupes et amas de galaxies et pourrait faire près de 200 millions d’années-lumière de diamètre. Il appartient lui-même à une structure encore plus gigantesque, le superamas de Laniakea. Ce dernier, composé de plus de 100 000 galaxies et s’étendant sur plus de 520 millions d’années-lumière, n’a toutefois pas convaincu tous les scientifiques. En effet, certains pensent que les galaxies de cette dernière structure ne sont pas liées gravitationnellement et, que par voie de conséquence, ces sous-groupes devraient se disperser avec le temps. Mais revenons au Groupe Local. Malgré sa petite taille, il fait office de catalogue bien garni. Il regroupe pratiquement tous les types de galaxies, sauf les galaxies elliptiques géantes qui ne peuvent être présentes dans une si petite structure, si l’on peut dire, en comparaison à notre dimension humaine !

La taille du Groupe Local est d’approximativement 10 millions d’années-lumière de diamètre et sa masse totale est estimée à 2300 milliard de masses solaires. Les galaxies les plus éloignées de notre système solaire sont distantes d’environ 5 millions d’années-lumière. S’il abrite essentiellement des galaxies...

🌍
A quoi ressemble les mondes au-delà de notre galaxie ? L’Univers qui nous entoure ne nous a toujours pas révélé ses limites. Si nous connaissons à présent les frontières de notre Galaxie, la Voie Lactée, nos instruments de mesure contemporains ne sont pas en mesure d’affirmer si le Cosmos, quant à lui, est illimité ou non. Cependant, à l’heure actuelle, la partie observable de l’Univers semble représenter une sphère de 93 milliards d’années-lumière de diamètre. On estime que l’horizon cosmologique se trouve à environ 45 milliards d’années-lumière de la Terre. Néanmoins, la lumière émise par des objets lointains arrive à nous parvenir progressivement. Cette hypothétique frontière s’avère donc dynamique et l’Univers observable s’allonge au fil du temps.

Les scientifiques, qui ont longtemps considéré notre Galaxie comme étant le centre de l’Univers, savent aujourd’hui qu’il n’en est rien. Ils ont compris depuis longtemps que notre Soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres. Plus encore, ils ont pu établir que notre Galaxie ne représente qu’une infime parcelle de l’immensité cosmique, malgré ses dimensions, à notre taille humaine, quelque peu astronomiques. En effet, notre Galaxie mesure à elle seule près d’une centaine de milliers d’années-lumière de longueur et un millier d’années-lumière en épaisseur. Ramené à l’échelle de l’Univers qui comptabilise des trillions de galaxies, autant dire qu’elle ne représente qu’un grain de sable dans le désert.

La Voie Lactée, parce que notre système solaire en fait partie et qu'elle comprend donc les objets les plus proches de nous, cumule une quantité considérable d’études et d’observations.
Si elle nous a livré un grand nombre de ses secrets, il est évident que de nouveaux éléments seront mis à jour au fur et à mesure que les technologies progresseront. Mais crois-tu tout savoir sur notre Galaxie ? As-tu une idée de ce qui l’entoure ? Penses-tu que dans un espace sidéral éloigné de millions, voire de milliards d’années-lumière, les astres alors présents se comportent différemment ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Au-Delà de la Voie Lactée :
• La Voie Lactée évolue donc dans l’Univers au milieu d’une quantité incalculable d’étoiles. Cependant, on a pu établir qu’elle fait partie d’un ensemble de galaxies connu sous le nom de Groupe Local. Celui-ci contient plus de 60 galaxies, dont principalement des galaxies naines, toutes liées par des forces gravitationnelles communes. Pourtant, ce Groupe Local ne représente qu’une infime partie d’un amas de galaxies encore plus vaste, le superamas de la Vierge, dont il est d’ailleurs situé en périphérie. Ce superamas comprend au moins 100 groupes et amas de galaxies et pourrait faire près de 200 millions d’années-lumière de diamètre. Il appartient lui-même à une structure encore plus gigantesque, le superamas de Laniakea. Ce dernier, composé de plus de 100 000 galaxies et s’étendant sur plus de 520 millions d’années-lumière, n’a toutefois pas convaincu tous les scientifiques. En effet, certains pensent que les galaxies de cette dernière structure ne sont pas liées gravitationnellement et, que par voie de conséquence, ces sous-groupes devraient se disperser avec le temps. Mais revenons au Groupe Local. Malgré sa petite taille, il fait office de catalogue bien garni. Il regroupe pratiquement tous les types de galaxies, sauf les galaxies elliptiques géantes qui ne peuvent être présentes dans une si petite structure, si l’on peut dire, en comparaison à notre dimension humaine !

La taille du Groupe Local est d’approximativement 10 millions d’années-lumière de diamètre et sa masse totale est estimée à 2300 milliard de masses solaires. Les galaxies les plus éloignées de notre système solaire sont distantes d’environ 5 millions d’années-lumière. S’il abrite essentiellement des galaxies...

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A quoi ressemble les mondes au-delà de notre galaxie ? L’Univers qui nous entoure ne nous a toujours pas révélé ses limites. Si nous connaissons à présent les frontières de notre Galaxie, la Voie Lactée, nos instruments de mesure contemporains ne sont pas en mesure d’affirmer si le Cosmos, quant à lui, est illimité ou non. Cependant, à l’heure actuelle, la partie observable de l’Univers semble représenter une sphère de 93 milliards d’années-lumière de diamètre. On estime que l’horizon cosmologique se trouve à environ 45 milliards d’années-lumière de la Terre. Néanmoins, la lumière émise par des objets lointains arrive à nous parvenir progressivement. Cette hypothétique frontière s’avère donc dynamique et l’Univers observable s’allonge au fil du temps.

Les scientifiques, qui ont longtemps considéré notre Galaxie comme étant le centre de l’Univers, savent aujourd’hui qu’il n’en est rien. Ils ont compris depuis longtemps que notre Soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres. Plus encore, ils ont pu établir que notre Galaxie ne représente qu’une infime parcelle de l’immensité cosmique, malgré ses dimensions, à notre taille humaine, quelque peu astronomiques. En effet, notre Galaxie mesure à elle seule près d’une centaine de milliers d’années-lumière de longueur et un millier d’années-lumière en épaisseur. Ramené à l’échelle de l’Univers qui comptabilise des trillions de galaxies, autant dire qu’elle ne représente qu’un grain de sable dans le désert.

La Voie Lactée, parce que notre système solaire en fait partie et qu'elle comprend donc les objets les plus proches de nous, cumule une quantité considérable d’études et d’observations.
Si elle nous a livré un grand nombre de ses secrets, il est évident que de nouveaux éléments seront mis à jour au fur et à mesure que les technologies progresseront. Mais crois-tu tout savoir sur notre Galaxie ? As-tu une idée de ce qui l’entoure ? Penses-tu que dans un espace sidéral éloigné de millions, voire de milliards d’années-lumière, les astres alors présents se comportent différemment ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Au-Delà de la Voie Lactée :
• La Voie Lactée évolue donc dans l’Univers au milieu d’une quantité incalculable d’étoiles. Cependant, on a pu établir qu’elle fait partie d’un ensemble de galaxies connu sous le nom de Groupe Local. Celui-ci contient plus de 60 galaxies, dont principalement des galaxies naines, toutes liées par des forces gravitationnelles communes. Pourtant, ce Groupe Local ne représente qu’une infime partie d’un amas de galaxies encore plus vaste, le superamas de la Vierge, dont il est d’ailleurs situé en périphérie. Ce superamas comprend au moins 100 groupes et amas de galaxies et pourrait faire près de 200 millions d’années-lumière de diamètre. Il appartient lui-même à une structure encore plus gigantesque, le superamas de Laniakea. Ce dernier, composé de plus de 100 000 galaxies et s’étendant sur plus de 520 millions d’années-lumière, n’a toutefois pas convaincu tous les scientifiques. En effet, certains pensent que les galaxies de cette dernière structure ne sont pas liées gravitationnellement et, que par voie de conséquence, ces sous-groupes devraient se disperser avec le temps. Mais revenons au Groupe Local. Malgré sa petite taille, il fait office de catalogue bien garni. Il regroupe pratiquement tous les types de galaxies, sauf les galaxies elliptiques géantes qui ne peuvent être présentes dans une si petite structure, si l’on peut dire, en comparaison à notre dimension humaine !

La taille du Groupe Local est d’approximativement 10 millions d’années-lumière de diamètre et sa masse totale est estimée à 2300 milliard de masses solaires. Les galaxies les plus éloignées de notre système solaire sont distantes d’environ 5 millions d’années-lumière. S’il abrite essentiellement des galaxies...

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A quoi ressemble les mondes au-delà de notre galaxie ? L’Univers qui nous entoure ne nous a toujours pas révélé ses limites. Si nous connaissons à présent les frontières de notre Galaxie, la Voie Lactée, nos instruments de mesure contemporains ne sont pas en mesure d’affirmer si le Cosmos, quant à lui, est illimité ou non. Cependant, à l’heure actuelle, la partie observable de l’Univers semble représenter une sphère de 93 milliards d’années-lumière de diamètre. On estime que l’horizon cosmologique se trouve à environ 45 milliards d’années-lumière de la Terre. Néanmoins, la lumière émise par des objets lointains arrive à nous parvenir progressivement. Cette hypothétique frontière s’avère donc dynamique et l’Univers observable s’allonge au fil du temps.

Les scientifiques, qui ont longtemps considéré notre Galaxie comme étant le centre de l’Univers, savent aujourd’hui qu’il n’en est rien. Ils ont compris depuis longtemps que notre Soleil n’est qu’une étoile parmi tant d’autres. Plus encore, ils ont pu établir que notre Galaxie ne représente qu’une infime parcelle de l’immensité cosmique, malgré ses dimensions, à notre taille humaine, quelque peu astronomiques. En effet, notre Galaxie mesure à elle seule près d’une centaine de milliers d’années-lumière de longueur et un millier d’années-lumière en épaisseur. Ramené à l’échelle de l’Univers qui comptabilise des trillions de galaxies, autant dire qu’elle ne représente qu’un grain de sable dans le désert.

La Voie Lactée, parce que notre système solaire en fait partie et qu'elle comprend donc les objets les plus proches de nous, cumule une quantité considérable d’études et d’observations.
Si elle nous a livré un grand nombre de ses secrets, il est évident que de nouveaux éléments seront mis à jour au fur et à mesure que les technologies progresseront. Mais crois-tu tout savoir sur notre Galaxie ? As-tu une idée de ce qui l’entoure ? Penses-tu que dans un espace sidéral éloigné de millions, voire de milliards d’années-lumière, les astres alors présents se comportent différemment ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Au-Delà de la Voie Lactée :
• La Voie Lactée évolue donc dans l’Univers au milieu d’une quantité incalculable d’étoiles. Cependant, on a pu établir qu’elle fait partie d’un ensemble de galaxies connu sous le nom de Groupe Local. Celui-ci contient plus de 60 galaxies, dont principalement des galaxies naines, toutes liées par des forces gravitationnelles communes. Pourtant, ce Groupe Local ne représente qu’une infime partie d’un amas de galaxies encore plus vaste, le superamas de la Vierge, dont il est d’ailleurs situé en périphérie. Ce superamas comprend au moins 100 groupes et amas de galaxies et pourrait faire près de 200 millions d’années-lumière de diamètre. Il appartient lui-même à une structure encore plus gigantesque, le superamas de Laniakea. Ce dernier, composé de plus de 100 000 galaxies et s’étendant sur plus de 520 millions d’années-lumière, n’a toutefois pas convaincu tous les scientifiques. En effet, certains pensent que les galaxies de cette dernière structure ne sont pas liées gravitationnellement et, que par voie de conséquence, ces sous-groupes devraient se disperser avec le temps. Mais revenons au Groupe Local. Malgré sa petite taille, il fait office de catalogue bien garni. Il regroupe pratiquement tous les types de galaxies, sauf les galaxies elliptiques géantes qui ne peuvent être présentes dans une si petite structure, si l’on peut dire, en comparaison à notre dimension humaine !

La taille du Groupe Local est d’approximativement 10 millions d’années-lumière de diamètre et sa masse totale est estimée à 2300 milliard de masses solaires. Les galaxies les plus éloignées de notre système solaire sont distantes d’environ 5 millions d’années-lumière. S’il abrite essentiellement des galaxies...

🌍 Existe-t-il, parmi les innombrables étoiles qui illuminent notre ciel nocturne de mille feux, des systèmes stellaires identiques au nôtre ? Qui ne s’est jamais posé cette question en plongeant son regard dans les profondeurs d’une nuit étoilée. À ce jour, nul n’est disposé à répondre à ce mystère. Pourtant, les astronomes qui s’intéressent à cette question depuis l’Antiquité n’ont de cesse de traquer, observer, puis répertorier chacune des étoiles découvertes au fil de leurs travaux, même les plus insignifiantes. Bien qu’ils n’aient pas de réponse fiable à nous partager concernant le nombre d’étoiles qui nous entourent, ils sont aujourd’hui en mesure d’affiner leurs estimations. Les dernières avancées technologiques, toujours plus performantes, permettent à présent aux scientifiques de préciser leurs chiffres, et ceux-ci, comme tu peux t’en douter, sont vertigineux. Certains estiment qu’il pourrait y en avoir plus de 200 millions de trillion.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 NOS SYSTÈMES STELLAIRES VOISINS :
• Pour commencer, c’est quoi un système stellaire ?
À première vue, quand on s’intéresse aux étoiles, on pourrait penser qu’elles sont toutes indépendantes les unes des autres. Mais il n’en est rien. Si certaines sont bel et bien isolées, évoluant sans interactions avec leurs lointaines voisines, en revanche, d’autres sont liées par l’attraction gravitationnelle. Lorsqu’un petit nombre d’étoiles, ainsi liées, orbitent les unes autour des autres, on parle alors de système stellaire, chacune des étoiles étant une composante. Il arrive que certains systèmes stellaires soient faussement nommés ainsi, n’étant composés que d’une seule étoile, celle-ci possédant un système planétaire dans son orbite.

La découverte de ces astres influe également sur leur appellation. On parle de systèmes stellaires visuels ou astrométriques lorsqu’ils sont découverts grâce à leurs mouvements apparents dans le ciel. Lorsqu’ils sont décelés en fonction de la variation de leur éclat, il s’agit alors de systèmes stellaires à éclipses. Enfin, quand ils sont caractérisés par leur spectre, on parle de systèmes stellaires spectroscopiques.

Un système stellaire de deux étoiles peut avoir différentes appellations telles qu’un système binaire, une étoile binaire, ou encore une étoile double. C’est notamment le cas de Sirius, l’étoile la plus étincelante de notre ciel nocturne.

Les systèmes stellaires multiples, comportant plus de deux étoiles, sont divers. Un système stellaire triple, trinaire ou ternaire, contient trois étoiles. Un système quadruple ou quaternaire en contient quatre. On peut continuer ainsi avec les systèmes quintuples, sextuples, septuples pour respectivement cinq, six ou sept étoiles, et ainsi de suite. Lorsqu’un système comprend une centaine d’étoiles, voire beaucoup plus, il rentre alors dans la catégorie des amas stellaires, voire des galaxies.

Mais laissons à présent cette partie somme toute théorique, et intéressons-nous à présent aux systèmes les plus proches, situés dans notre voisinage galactique.

Proxima Centauri, un système stellaire et planétaire qui répond également au nom d’Alpha Centauri C. Tu comprendras tout à l’heure d’où vient cette dernière appellation. Nous sommes dans la constellation du Centaure, à seulement 4,2 années-lumière de la Terre et par conséquent, toujours dans notre belle et lumineuse Voie Lactée. L’objet lumineux que tu as devant toi est une naine rouge. Celles-ci sont très répandues dans notre Galaxie. Elles représentant près de 80 % des étoiles qui peuplent la Voie Lactée. La magnitude apparente de Proxima Centauri, qui est égale à 11,05, ne la place pas dans la catégorie des astres les plus brillants, les étoiles les plus irradiantes étant de première magnitude. En fait, 85 % de l’énergie qu’elle dégage n’est pas visible à...

🌍 Existe-t-il, parmi les innombrables étoiles qui illuminent notre ciel nocturne de mille feux, des systèmes stellaires identiques au nôtre ? Qui ne s’est jamais posé cette question en plongeant son regard dans les profondeurs d’une nuit étoilée. À ce jour, nul n’est disposé à répondre à ce mystère. Pourtant, les astronomes qui s’intéressent à cette question depuis l’Antiquité n’ont de cesse de traquer, observer, puis répertorier chacune des étoiles découvertes au fil de leurs travaux, même les plus insignifiantes. Bien qu’ils n’aient pas de réponse fiable à nous partager concernant le nombre d’étoiles qui nous entourent, ils sont aujourd’hui en mesure d’affiner leurs estimations. Les dernières avancées technologiques, toujours plus performantes, permettent à présent aux scientifiques de préciser leurs chiffres, et ceux-ci, comme tu peux t’en douter, sont vertigineux. Certains estiment qu’il pourrait y en avoir plus de 200 millions de trillion.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 NOS SYSTÈMES STELLAIRES VOISINS :
• Pour commencer, c’est quoi un système stellaire ?
À première vue, quand on s’intéresse aux étoiles, on pourrait penser qu’elles sont toutes indépendantes les unes des autres. Mais il n’en est rien. Si certaines sont bel et bien isolées, évoluant sans interactions avec leurs lointaines voisines, en revanche, d’autres sont liées par l’attraction gravitationnelle. Lorsqu’un petit nombre d’étoiles, ainsi liées, orbitent les unes autour des autres, on parle alors de système stellaire, chacune des étoiles étant une composante. Il arrive que certains systèmes stellaires soient faussement nommés ainsi, n’étant composés que d’une seule étoile, celle-ci possédant un système planétaire dans son orbite.

La découverte de ces astres influe également sur leur appellation. On parle de systèmes stellaires visuels ou astrométriques lorsqu’ils sont découverts grâce à leurs mouvements apparents dans le ciel. Lorsqu’ils sont décelés en fonction de la variation de leur éclat, il s’agit alors de systèmes stellaires à éclipses. Enfin, quand ils sont caractérisés par leur spectre, on parle de systèmes stellaires spectroscopiques.

Un système stellaire de deux étoiles peut avoir différentes appellations telles qu’un système binaire, une étoile binaire, ou encore une étoile double. C’est notamment le cas de Sirius, l’étoile la plus étincelante de notre ciel nocturne.

Les systèmes stellaires multiples, comportant plus de deux étoiles, sont divers. Un système stellaire triple, trinaire ou ternaire, contient trois étoiles. Un système quadruple ou quaternaire en contient quatre. On peut continuer ainsi avec les systèmes quintuples, sextuples, septuples pour respectivement cinq, six ou sept étoiles, et ainsi de suite. Lorsqu’un système comprend une centaine d’étoiles, voire beaucoup plus, il rentre alors dans la catégorie des amas stellaires, voire des galaxies.

Mais laissons à présent cette partie somme toute théorique, et intéressons-nous à présent aux systèmes les plus proches, situés dans notre voisinage galactique.

Proxima Centauri, un système stellaire et planétaire qui répond également au nom d’Alpha Centauri C. Tu comprendras tout à l’heure d’où vient cette dernière appellation. Nous sommes dans la constellation du Centaure, à seulement 4,2 années-lumière de la Terre et par conséquent, toujours dans notre belle et lumineuse Voie Lactée. L’objet lumineux que tu as devant toi est une naine rouge. Celles-ci sont très répandues dans notre Galaxie. Elles représentant près de 80 % des étoiles qui peuplent la Voie Lactée. La magnitude apparente de Proxima Centauri, qui est égale à 11,05, ne la place pas dans la catégorie des astres les plus brillants, les étoiles les plus irradiantes étant de première magnitude. En fait, 85 % de l’énergie qu’elle dégage n’est pas visible à...

🌍 Existe-t-il, parmi les innombrables étoiles qui illuminent notre ciel nocturne de mille feux, des systèmes stellaires identiques au nôtre ? Qui ne s’est jamais posé cette question en plongeant son regard dans les profondeurs d’une nuit étoilée. À ce jour, nul n’est disposé à répondre à ce mystère. Pourtant, les astronomes qui s’intéressent à cette question depuis l’Antiquité n’ont de cesse de traquer, observer, puis répertorier chacune des étoiles découvertes au fil de leurs travaux, même les plus insignifiantes. Bien qu’ils n’aient pas de réponse fiable à nous partager concernant le nombre d’étoiles qui nous entourent, ils sont aujourd’hui en mesure d’affiner leurs estimations. Les dernières avancées technologiques, toujours plus performantes, permettent à présent aux scientifiques de préciser leurs chiffres, et ceux-ci, comme tu peux t’en douter, sont vertigineux. Certains estiment qu’il pourrait y en avoir plus de 200 millions de trillion.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 NOS SYSTÈMES STELLAIRES VOISINS :
• Pour commencer, c’est quoi un système stellaire ?
À première vue, quand on s’intéresse aux étoiles, on pourrait penser qu’elles sont toutes indépendantes les unes des autres. Mais il n’en est rien. Si certaines sont bel et bien isolées, évoluant sans interactions avec leurs lointaines voisines, en revanche, d’autres sont liées par l’attraction gravitationnelle. Lorsqu’un petit nombre d’étoiles, ainsi liées, orbitent les unes autour des autres, on parle alors de système stellaire, chacune des étoiles étant une composante. Il arrive que certains systèmes stellaires soient faussement nommés ainsi, n’étant composés que d’une seule étoile, celle-ci possédant un système planétaire dans son orbite.

La découverte de ces astres influe également sur leur appellation. On parle de systèmes stellaires visuels ou astrométriques lorsqu’ils sont découverts grâce à leurs mouvements apparents dans le ciel. Lorsqu’ils sont décelés en fonction de la variation de leur éclat, il s’agit alors de systèmes stellaires à éclipses. Enfin, quand ils sont caractérisés par leur spectre, on parle de systèmes stellaires spectroscopiques.

Un système stellaire de deux étoiles peut avoir différentes appellations telles qu’un système binaire, une étoile binaire, ou encore une étoile double. C’est notamment le cas de Sirius, l’étoile la plus étincelante de notre ciel nocturne.

Les systèmes stellaires multiples, comportant plus de deux étoiles, sont divers. Un système stellaire triple, trinaire ou ternaire, contient trois étoiles. Un système quadruple ou quaternaire en contient quatre. On peut continuer ainsi avec les systèmes quintuples, sextuples, septuples pour respectivement cinq, six ou sept étoiles, et ainsi de suite. Lorsqu’un système comprend une centaine d’étoiles, voire beaucoup plus, il rentre alors dans la catégorie des amas stellaires, voire des galaxies.

Mais laissons à présent cette partie somme toute théorique, et intéressons-nous à présent aux systèmes les plus proches, situés dans notre voisinage galactique.

Proxima Centauri, un système stellaire et planétaire qui répond également au nom d’Alpha Centauri C. Tu comprendras tout à l’heure d’où vient cette dernière appellation. Nous sommes dans la constellation du Centaure, à seulement 4,2 années-lumière de la Terre et par conséquent, toujours dans notre belle et lumineuse Voie Lactée. L’objet lumineux que tu as devant toi est une naine rouge. Celles-ci sont très répandues dans notre Galaxie. Elles représentant près de 80 % des étoiles qui peuplent la Voie Lactée. La magnitude apparente de Proxima Centauri, qui est égale à 11,05, ne la place pas dans la catégorie des astres les plus brillants, les étoiles les plus irradiantes étant de première magnitude. En fait, 85 % de l’énergie qu’elle dégage n’est pas visible à...

🌍 Existe-t-il, parmi les innombrables étoiles qui illuminent notre ciel nocturne de mille feux, des systèmes stellaires identiques au nôtre ? Qui ne s’est jamais posé cette question en plongeant son regard dans les profondeurs d’une nuit étoilée. À ce jour, nul n’est disposé à répondre à ce mystère. Pourtant, les astronomes qui s’intéressent à cette question depuis l’Antiquité n’ont de cesse de traquer, observer, puis répertorier chacune des étoiles découvertes au fil de leurs travaux, même les plus insignifiantes. Bien qu’ils n’aient pas de réponse fiable à nous partager concernant le nombre d’étoiles qui nous entourent, ils sont aujourd’hui en mesure d’affiner leurs estimations. Les dernières avancées technologiques, toujours plus performantes, permettent à présent aux scientifiques de préciser leurs chiffres, et ceux-ci, comme tu peux t’en douter, sont vertigineux. Certains estiment qu’il pourrait y en avoir plus de 200 millions de trillion.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 NOS SYSTÈMES STELLAIRES VOISINS :
• Pour commencer, c’est quoi un système stellaire ?
À première vue, quand on s’intéresse aux étoiles, on pourrait penser qu’elles sont toutes indépendantes les unes des autres. Mais il n’en est rien. Si certaines sont bel et bien isolées, évoluant sans interactions avec leurs lointaines voisines, en revanche, d’autres sont liées par l’attraction gravitationnelle. Lorsqu’un petit nombre d’étoiles, ainsi liées, orbitent les unes autour des autres, on parle alors de système stellaire, chacune des étoiles étant une composante. Il arrive que certains systèmes stellaires soient faussement nommés ainsi, n’étant composés que d’une seule étoile, celle-ci possédant un système planétaire dans son orbite.

La découverte de ces astres influe également sur leur appellation. On parle de systèmes stellaires visuels ou astrométriques lorsqu’ils sont découverts grâce à leurs mouvements apparents dans le ciel. Lorsqu’ils sont décelés en fonction de la variation de leur éclat, il s’agit alors de systèmes stellaires à éclipses. Enfin, quand ils sont caractérisés par leur spectre, on parle de systèmes stellaires spectroscopiques.

Un système stellaire de deux étoiles peut avoir différentes appellations telles qu’un système binaire, une étoile binaire, ou encore une étoile double. C’est notamment le cas de Sirius, l’étoile la plus étincelante de notre ciel nocturne.

Les systèmes stellaires multiples, comportant plus de deux étoiles, sont divers. Un système stellaire triple, trinaire ou ternaire, contient trois étoiles. Un système quadruple ou quaternaire en contient quatre. On peut continuer ainsi avec les systèmes quintuples, sextuples, septuples pour respectivement cinq, six ou sept étoiles, et ainsi de suite. Lorsqu’un système comprend une centaine d’étoiles, voire beaucoup plus, il rentre alors dans la catégorie des amas stellaires, voire des galaxies.

Mais laissons à présent cette partie somme toute théorique, et intéressons-nous à présent aux systèmes les plus proches, situés dans notre voisinage galactique.

Proxima Centauri, un système stellaire et planétaire qui répond également au nom d’Alpha Centauri C. Tu comprendras tout à l’heure d’où vient cette dernière appellation. Nous sommes dans la constellation du Centaure, à seulement 4,2 années-lumière de la Terre et par conséquent, toujours dans notre belle et lumineuse Voie Lactée. L’objet lumineux que tu as devant toi est une naine rouge. Celles-ci sont très répandues dans notre Galaxie. Elles représentant près de 80 % des étoiles qui peuplent la Voie Lactée. La magnitude apparente de Proxima Centauri, qui est égale à 11,05, ne la place pas dans la catégorie des astres les plus brillants, les étoiles les plus irradiantes étant de première magnitude. En fait, 85 % de l’énergie qu’elle dégage n’est pas visible à...

🌍 Existe-t-il, parmi les innombrables étoiles qui illuminent notre ciel nocturne de mille feux, des systèmes stellaires identiques au nôtre ? Qui ne s’est jamais posé cette question en plongeant son regard dans les profondeurs d’une nuit étoilée. À ce jour, nul n’est disposé à répondre à ce mystère. Pourtant, les astronomes qui s’intéressent à cette question depuis l’Antiquité n’ont de cesse de traquer, observer, puis répertorier chacune des étoiles découvertes au fil de leurs travaux, même les plus insignifiantes. Bien qu’ils n’aient pas de réponse fiable à nous partager concernant le nombre d’étoiles qui nous entourent, ils sont aujourd’hui en mesure d’affiner leurs estimations. Les dernières avancées technologiques, toujours plus performantes, permettent à présent aux scientifiques de préciser leurs chiffres, et ceux-ci, comme tu peux t’en douter, sont vertigineux. Certains estiment qu’il pourrait y en avoir plus de 200 millions de trillion.



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💥 NOS SYSTÈMES STELLAIRES VOISINS :
• Pour commencer, c’est quoi un système stellaire ?
À première vue, quand on s’intéresse aux étoiles, on pourrait penser qu’elles sont toutes indépendantes les unes des autres. Mais il n’en est rien. Si certaines sont bel et bien isolées, évoluant sans interactions avec leurs lointaines voisines, en revanche, d’autres sont liées par l’attraction gravitationnelle. Lorsqu’un petit nombre d’étoiles, ainsi liées, orbitent les unes autour des autres, on parle alors de système stellaire, chacune des étoiles étant une composante. Il arrive que certains systèmes stellaires soient faussement nommés ainsi, n’étant composés que d’une seule étoile, celle-ci possédant un système planétaire dans son orbite.

La découverte de ces astres influe également sur leur appellation. On parle de systèmes stellaires visuels ou astrométriques lorsqu’ils sont découverts grâce à leurs mouvements apparents dans le ciel. Lorsqu’ils sont décelés en fonction de la variation de leur éclat, il s’agit alors de systèmes stellaires à éclipses. Enfin, quand ils sont caractérisés par leur spectre, on parle de systèmes stellaires spectroscopiques.

Un système stellaire de deux étoiles peut avoir différentes appellations telles qu’un système binaire, une étoile binaire, ou encore une étoile double. C’est notamment le cas de Sirius, l’étoile la plus étincelante de notre ciel nocturne.

Les systèmes stellaires multiples, comportant plus de deux étoiles, sont divers. Un système stellaire triple, trinaire ou ternaire, contient trois étoiles. Un système quadruple ou quaternaire en contient quatre. On peut continuer ainsi avec les systèmes quintuples, sextuples, septuples pour respectivement cinq, six ou sept étoiles, et ainsi de suite. Lorsqu’un système comprend une centaine d’étoiles, voire beaucoup plus, il rentre alors dans la catégorie des amas stellaires, voire des galaxies.

Mais laissons à présent cette partie somme toute théorique, et intéressons-nous à présent aux systèmes les plus proches, situés dans notre voisinage galactique.

Proxima Centauri, un système stellaire et planétaire qui répond également au nom d’Alpha Centauri C. Tu comprendras tout à l’heure d’où vient cette dernière appellation. Nous sommes dans la constellation du Centaure, à seulement 4,2 années-lumière de la Terre et par conséquent, toujours dans notre belle et lumineuse Voie Lactée. L’objet lumineux que tu as devant toi est une naine rouge. Celles-ci sont très répandues dans notre Galaxie. Elles représentant près de 80 % des étoiles qui peuplent la Voie Lactée. La magnitude apparente de Proxima Centauri, qui est égale à 11,05, ne la place pas dans la catégorie des astres les plus brillants, les étoiles les plus irradiantes étant de première magnitude. En fait, 85 % de l’énergie qu’elle dégage n’est pas visible à...

🌍 La Terre a-t-elle toujours été telle que nous la connaissons aujourd'hui ?

Cette question existentielle répond à un besoin de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure. L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur cette question dans le but de comprendre la seule planète connue à abriter la vie.

L'histoire de la Terre débute il y a 4,6 milliards d'années. À cette époque tout est différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Elle est étrange et hostile. Et pourtant, elle deviendra accueillante au point de permettre un jour à l'Homme de s'y établir durablement.
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Comment l'Homme, un organisme parmi tant d'autres, est-il parvenu à maîtriser et à adapter son environnement à ses besoins ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ? :
• Peu après la terrible extinction de masse qu'a subie la Terre, l'énorme plaque continentale qui la recouvre, la Pangée, se disloque. L'océan Panthalassa s'enfonce sournoisement dans la partie occidentale de la Pangée depuis quelques dizaines de millions d'années. Cette ouverture océanique s'élargit, avance vers l'ouest et un nouvel océan se forme, l'océan Téthys. La Pangée se divise en deux blocs continentaux : au Nord, la Laurasia, et au Sud le Gondwana. Le développement de l'océan Téthys entraîne des conséquences sur le climat, sur l'écologie et sur la géographie de la Terre. Le climat qui était à dominance continental devient océanique. La montée du niveau des mers est provoquée par l'activation de nouvelles rides océaniques. La biodiversité s'épanouit grâce à l'inondation de nouvelles surfaces continentales. Les terres séparées limitent cependant les échanges entre les individus. À terme, certaines populations seront complètement isolées et deviendront des espèces à part entière qui évolueront et se diversifieront sur chacun des continents.

Pour l'heure, la planète est vide sur le plan de la biodiversité. La grande extinction du Permien n'a laissé que quelques survivants. Face à ces vastes étendues à conquérir, ces derniers ont la possibilité d'évoluer et de se diversifier. C'est le début d'une nouvelle aventure dans l'histoire de la Terre.
L'océan Thétys, sa chaleur et ses profondeurs vertigineuses sont une aubaine pour la faune marine. Il fait chaud sur Terre. Le taux d'oxygène contenu dans l'atmosphère est faible, le taux de CO2 est élevé et l'ambiance sur la planète s'apparente à une immense serre.
La flore a subi la catastrophe des trapps de Sibérie, mais ce fut beaucoup moins brutal que pour le monde animal. Même si de vastes régions furent dévastées, en seulement quelques milliers d'années une végétation florissante décore à nouveau la surface continentale. Les animaux qui ont survécu conquièrent ce nouvel environnement et s'y installent. Le temps passe, ils vont s'adapter, évoluer, et de nouvelles espèces vont apparaître, créant de nouvelles branches. Il s'agit de l'évolution.

Les insectes, quant à eux, continuent leur chemin, se perfectionnant au fil des années. Ils sont partout, déjà présents par millions. Des papillons à mâchoires, broyeurs de pollen, des mouches déjà très ressemblantes à nos mouches actuelles ou encore des premières cigales et des premières punaises se partagent les airs.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:07 - A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ?
- 05:25 - La prolifération des mollusques
- 07:27 - Les premiers dinosaures
- 18:00 - Une vie discrète demeure à l'ombre des dinosaures
- 21:20 - L'extinction du Trias-Jurassique, la quatrième grande crise du vivant
- 26:45 - Le nouveau...

🌍 La Terre a-t-elle toujours été telle que nous la connaissons aujourd'hui ?

Cette question existentielle répond à un besoin de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure. L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur cette question dans le but de comprendre la seule planète connue à abriter la vie.

L'histoire de la Terre débute il y a 4,6 milliards d'années. À cette époque tout est différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Elle est étrange et hostile. Et pourtant, elle deviendra accueillante au point de permettre un jour à l'Homme de s'y établir durablement.
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Comment l'Homme, un organisme parmi tant d'autres, est-il parvenu à maîtriser et à adapter son environnement à ses besoins ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ? :
• Peu après la terrible extinction de masse qu'a subie la Terre, l'énorme plaque continentale qui la recouvre, la Pangée, se disloque. L'océan Panthalassa s'enfonce sournoisement dans la partie occidentale de la Pangée depuis quelques dizaines de millions d'années. Cette ouverture océanique s'élargit, avance vers l'ouest et un nouvel océan se forme, l'océan Téthys. La Pangée se divise en deux blocs continentaux : au Nord, la Laurasia, et au Sud le Gondwana. Le développement de l'océan Téthys entraîne des conséquences sur le climat, sur l'écologie et sur la géographie de la Terre. Le climat qui était à dominance continental devient océanique. La montée du niveau des mers est provoquée par l'activation de nouvelles rides océaniques. La biodiversité s'épanouit grâce à l'inondation de nouvelles surfaces continentales. Les terres séparées limitent cependant les échanges entre les individus. À terme, certaines populations seront complètement isolées et deviendront des espèces à part entière qui évolueront et se diversifieront sur chacun des continents.

Pour l'heure, la planète est vide sur le plan de la biodiversité. La grande extinction du Permien n'a laissé que quelques survivants. Face à ces vastes étendues à conquérir, ces derniers ont la possibilité d'évoluer et de se diversifier. C'est le début d'une nouvelle aventure dans l'histoire de la Terre.
L'océan Thétys, sa chaleur et ses profondeurs vertigineuses sont une aubaine pour la faune marine. Il fait chaud sur Terre. Le taux d'oxygène contenu dans l'atmosphère est faible, le taux de CO2 est élevé et l'ambiance sur la planète s'apparente à une immense serre.
La flore a subi la catastrophe des trapps de Sibérie, mais ce fut beaucoup moins brutal que pour le monde animal. Même si de vastes régions furent dévastées, en seulement quelques milliers d'années une végétation florissante décore à nouveau la surface continentale. Les animaux qui ont survécu conquièrent ce nouvel environnement et s'y installent. Le temps passe, ils vont s'adapter, évoluer, et de nouvelles espèces vont apparaître, créant de nouvelles branches. Il s'agit de l'évolution.

Les insectes, quant à eux, continuent leur chemin, se perfectionnant au fil des années. Ils sont partout, déjà présents par millions. Des papillons à mâchoires, broyeurs de pollen, des mouches déjà très ressemblantes à nos mouches actuelles ou encore des premières cigales et des premières punaises se partagent les airs.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:07 - A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ?
- 05:25 - La prolifération des mollusques
- 07:27 - Les premiers dinosaures
- 18:00 - Une vie discrète demeure à l'ombre des dinosaures
- 21:20 - L'extinction du Trias-Jurassique, la quatrième grande crise du vivant
- 26:45 - Le nouveau...

🌍 La Terre a-t-elle toujours été telle que nous la connaissons aujourd'hui ?

Cette question existentielle répond à un besoin de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure. L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur cette question dans le but de comprendre la seule planète connue à abriter la vie.

L'histoire de la Terre débute il y a 4,6 milliards d'années. À cette époque tout est différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Elle est étrange et hostile. Et pourtant, elle deviendra accueillante au point de permettre un jour à l'Homme de s'y établir durablement.
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Comment l'Homme, un organisme parmi tant d'autres, est-il parvenu à maîtriser et à adapter son environnement à ses besoins ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ? :
• Peu après la terrible extinction de masse qu'a subie la Terre, l'énorme plaque continentale qui la recouvre, la Pangée, se disloque. L'océan Panthalassa s'enfonce sournoisement dans la partie occidentale de la Pangée depuis quelques dizaines de millions d'années. Cette ouverture océanique s'élargit, avance vers l'ouest et un nouvel océan se forme, l'océan Téthys. La Pangée se divise en deux blocs continentaux : au Nord, la Laurasia, et au Sud le Gondwana. Le développement de l'océan Téthys entraîne des conséquences sur le climat, sur l'écologie et sur la géographie de la Terre. Le climat qui était à dominance continental devient océanique. La montée du niveau des mers est provoquée par l'activation de nouvelles rides océaniques. La biodiversité s'épanouit grâce à l'inondation de nouvelles surfaces continentales. Les terres séparées limitent cependant les échanges entre les individus. À terme, certaines populations seront complètement isolées et deviendront des espèces à part entière qui évolueront et se diversifieront sur chacun des continents.

Pour l'heure, la planète est vide sur le plan de la biodiversité. La grande extinction du Permien n'a laissé que quelques survivants. Face à ces vastes étendues à conquérir, ces derniers ont la possibilité d'évoluer et de se diversifier. C'est le début d'une nouvelle aventure dans l'histoire de la Terre.
L'océan Thétys, sa chaleur et ses profondeurs vertigineuses sont une aubaine pour la faune marine. Il fait chaud sur Terre. Le taux d'oxygène contenu dans l'atmosphère est faible, le taux de CO2 est élevé et l'ambiance sur la planète s'apparente à une immense serre.
La flore a subi la catastrophe des trapps de Sibérie, mais ce fut beaucoup moins brutal que pour le monde animal. Même si de vastes régions furent dévastées, en seulement quelques milliers d'années une végétation florissante décore à nouveau la surface continentale. Les animaux qui ont survécu conquièrent ce nouvel environnement et s'y installent. Le temps passe, ils vont s'adapter, évoluer, et de nouvelles espèces vont apparaître, créant de nouvelles branches. Il s'agit de l'évolution.

Les insectes, quant à eux, continuent leur chemin, se perfectionnant au fil des années. Ils sont partout, déjà présents par millions. Des papillons à mâchoires, broyeurs de pollen, des mouches déjà très ressemblantes à nos mouches actuelles ou encore des premières cigales et des premières punaises se partagent les airs.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:07 - A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ?
- 05:25 - La prolifération des mollusques
- 07:27 - Les premiers dinosaures
- 18:00 - Une vie discrète demeure à l'ombre des dinosaures
- 21:20 - L'extinction du Trias-Jurassique, la quatrième grande crise du vivant
- 26:45 - Le nouveau...

🌍 La Terre a-t-elle toujours été telle que nous la connaissons aujourd'hui ?

Cette question existentielle répond à un besoin de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure. L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur cette question dans le but de comprendre la seule planète connue à abriter la vie.

L'histoire de la Terre débute il y a 4,6 milliards d'années. À cette époque tout est différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Elle est étrange et hostile. Et pourtant, elle deviendra accueillante au point de permettre un jour à l'Homme de s'y établir durablement.
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Comment l'Homme, un organisme parmi tant d'autres, est-il parvenu à maîtriser et à adapter son environnement à ses besoins ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ? :
• Peu après la terrible extinction de masse qu'a subie la Terre, l'énorme plaque continentale qui la recouvre, la Pangée, se disloque. L'océan Panthalassa s'enfonce sournoisement dans la partie occidentale de la Pangée depuis quelques dizaines de millions d'années. Cette ouverture océanique s'élargit, avance vers l'ouest et un nouvel océan se forme, l'océan Téthys. La Pangée se divise en deux blocs continentaux : au Nord, la Laurasia, et au Sud le Gondwana. Le développement de l'océan Téthys entraîne des conséquences sur le climat, sur l'écologie et sur la géographie de la Terre. Le climat qui était à dominance continental devient océanique. La montée du niveau des mers est provoquée par l'activation de nouvelles rides océaniques. La biodiversité s'épanouit grâce à l'inondation de nouvelles surfaces continentales. Les terres séparées limitent cependant les échanges entre les individus. À terme, certaines populations seront complètement isolées et deviendront des espèces à part entière qui évolueront et se diversifieront sur chacun des continents.

Pour l'heure, la planète est vide sur le plan de la biodiversité. La grande extinction du Permien n'a laissé que quelques survivants. Face à ces vastes étendues à conquérir, ces derniers ont la possibilité d'évoluer et de se diversifier. C'est le début d'une nouvelle aventure dans l'histoire de la Terre.
L'océan Thétys, sa chaleur et ses profondeurs vertigineuses sont une aubaine pour la faune marine. Il fait chaud sur Terre. Le taux d'oxygène contenu dans l'atmosphère est faible, le taux de CO2 est élevé et l'ambiance sur la planète s'apparente à une immense serre.
La flore a subi la catastrophe des trapps de Sibérie, mais ce fut beaucoup moins brutal que pour le monde animal. Même si de vastes régions furent dévastées, en seulement quelques milliers d'années une végétation florissante décore à nouveau la surface continentale. Les animaux qui ont survécu conquièrent ce nouvel environnement et s'y installent. Le temps passe, ils vont s'adapter, évoluer, et de nouvelles espèces vont apparaître, créant de nouvelles branches. Il s'agit de l'évolution.

Les insectes, quant à eux, continuent leur chemin, se perfectionnant au fil des années. Ils sont partout, déjà présents par millions. Des papillons à mâchoires, broyeurs de pollen, des mouches déjà très ressemblantes à nos mouches actuelles ou encore des premières cigales et des premières punaises se partagent les airs.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:07 - A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ?
- 05:25 - La prolifération des mollusques
- 07:27 - Les premiers dinosaures
- 18:00 - Une vie discrète demeure à l'ombre des dinosaures
- 21:20 - L'extinction du Trias-Jurassique, la quatrième grande crise du vivant
- 26:45 - Le nouveau...

🌍 La Terre a-t-elle toujours été telle que nous la connaissons aujourd'hui ?

Cette question existentielle répond à un besoin de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure. L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur cette question dans le but de comprendre la seule planète connue à abriter la vie.

L'histoire de la Terre débute il y a 4,6 milliards d'années. À cette époque tout est différent de ce que nous connaissons aujourd'hui. Elle est étrange et hostile. Et pourtant, elle deviendra accueillante au point de permettre un jour à l'Homme de s'y établir durablement.
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Comment l'Homme, un organisme parmi tant d'autres, est-il parvenu à maîtriser et à adapter son environnement à ses besoins ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ? :
• Peu après la terrible extinction de masse qu'a subie la Terre, l'énorme plaque continentale qui la recouvre, la Pangée, se disloque. L'océan Panthalassa s'enfonce sournoisement dans la partie occidentale de la Pangée depuis quelques dizaines de millions d'années. Cette ouverture océanique s'élargit, avance vers l'ouest et un nouvel océan se forme, l'océan Téthys. La Pangée se divise en deux blocs continentaux : au Nord, la Laurasia, et au Sud le Gondwana. Le développement de l'océan Téthys entraîne des conséquences sur le climat, sur l'écologie et sur la géographie de la Terre. Le climat qui était à dominance continental devient océanique. La montée du niveau des mers est provoquée par l'activation de nouvelles rides océaniques. La biodiversité s'épanouit grâce à l'inondation de nouvelles surfaces continentales. Les terres séparées limitent cependant les échanges entre les individus. À terme, certaines populations seront complètement isolées et deviendront des espèces à part entière qui évolueront et se diversifieront sur chacun des continents.

Pour l'heure, la planète est vide sur le plan de la biodiversité. La grande extinction du Permien n'a laissé que quelques survivants. Face à ces vastes étendues à conquérir, ces derniers ont la possibilité d'évoluer et de se diversifier. C'est le début d'une nouvelle aventure dans l'histoire de la Terre.
L'océan Thétys, sa chaleur et ses profondeurs vertigineuses sont une aubaine pour la faune marine. Il fait chaud sur Terre. Le taux d'oxygène contenu dans l'atmosphère est faible, le taux de CO2 est élevé et l'ambiance sur la planète s'apparente à une immense serre.
La flore a subi la catastrophe des trapps de Sibérie, mais ce fut beaucoup moins brutal que pour le monde animal. Même si de vastes régions furent dévastées, en seulement quelques milliers d'années une végétation florissante décore à nouveau la surface continentale. Les animaux qui ont survécu conquièrent ce nouvel environnement et s'y installent. Le temps passe, ils vont s'adapter, évoluer, et de nouvelles espèces vont apparaître, créant de nouvelles branches. Il s'agit de l'évolution.

Les insectes, quant à eux, continuent leur chemin, se perfectionnant au fil des années. Ils sont partout, déjà présents par millions. Des papillons à mâchoires, broyeurs de pollen, des mouches déjà très ressemblantes à nos mouches actuelles ou encore des premières cigales et des premières punaises se partagent les airs.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:07 - A quoi ressemblait la Terre il y a 250 millions d'années ?
- 05:25 - La prolifération des mollusques
- 07:27 - Les premiers dinosaures
- 18:00 - Une vie discrète demeure à l'ombre des dinosaures
- 21:20 - L'extinction du Trias-Jurassique, la quatrième grande crise du vivant
- 26:45 - Le nouveau...

🌍 « Où pourraient habiter les extra-terrestres les plus proches de nous ? » C’est la question que beaucoup de scientifiques se posent. L’Univers est immense et nous sommes loin de tout connaître : il doit forcément y avoir d’autres civilisations comme la nôtre. C’est le fameux paradoxe de Fermi : pourquoi, alors que le Soleil est plus jeune que de nombreuses autres étoiles de notre galaxie, nous n’avons encore jamais trouvé de traces de civilisations extra-terrestres ? Il doit forcément y avoir des civilisations extra-terrestres, mais où sont-elles ? Où habitent les extra-terrestres les plus proches de nous ?
Nous allons partir à la découverte d’un des systèmes stellaires les plus proches du nôtre, qui semble réunir les conditions idéales pour accueillir la vie extra-terrestre. Au cours de ce voyage, nous observerons quelques étoiles remarquables qui se trouvent entre Trappist-1, à 40,5 années-lumière de nous, et notre système solaire. Lorsque nous arriverons dans le système stellaire de Trappist-1, nous étudierons l’étoile Trappist-1 a et les 7 exo planètes qui gravitent autour. Nous verrons ensemble si ce système planétaire étonnant, très semblable au nôtre, peut abriter une forme de vie extra-terrestre et à quoi elle ressemblerait.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 L’Incroyable système stellaire TRAPPIST-1 :
• Commençons par observer l’étoile Trappist-1 a, le cœur du système stellaire de Trappist-1. On l’appelle aussi 2MASS J23062928-0502285. C’est une naine rouge ultra-froide, à peine plus grande que Jupiter mais beaucoup plus massive, et beaucoup plus froide que le Soleil. Son diamètre serait de 11,5 % celui du Soleil et sa masse de 8 %. Elle aurait entre 3 et 8 milliards d’années. Chose étrange, elle contient beaucoup de métaux (environ 109 % de la quantité de métaux du Soleil !), ce qui contredit les modèles selon lesquels les naines rouges contiennent justement beaucoup moins de métaux que les étoiles comme le Soleil.
Les étoiles comme Trappist-1 ont la capacité de vivre 400 à 500 fois plus longtemps que le Soleil. Alors que le Soleil peut vivre environ 10 milliards d’années, Trappist-1 A peut vivre jusqu’à 4 à 5 trillions d’années. Lorsque l’Univers aura un âge très avancé et que le gaz nécessaire à la formation des étoiles sera épuisé, Trappist-1 A sera certainement l’une des dernières étoiles restantes… De quoi te donner le vertige !

Trappist-1 A a été découverte en 1999 par l'astronome John Gizis et ses collègues. 16 ans plus tard, 3 des planètes orbitant autour de cette étoile ont été découvertes par l’intermédiaire du télescope belge TRAPPIST. Les astronomes ont croisé les informations issues des deux télescopes TRAPPIST, installés au Chili et au Maroc, avec des informations fournies par 4 autres télescopes basés aux Canaries, à Hawaï et en Afrique du Sud, et ont découvert 4 autres planètes.

Le système planétaire de Trappist-1 comporte au moins 7 planètes rocheuses, qui ont toutes un rayon proche de celui de la Terre et des masses comparables. Les planètes du système stellaire de Trappist-1 orbitent à des très faibles distances de leur étoile : elles seraient, selon les observations, 6 à 40 fois plus proches de leur étoile que Mercure du Soleil ! Ce système planétaire est ainsi très compact : toutes les planètes se trouvent sur une orbite plus petite que celle de Mercure.
Les périodes orbitales de ces 7 planètes sont très courtes : elles vont de un jour et demi pour la planète B à 19 jours pour la planète H, la plus externe du système planétaire bien que 6 fois plus proche de son étoile que Mercure de notre Soleil.




-------------------------


🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:56 - En route vers le système stellaire de Trappist-1
- 03:25 - L’étoile de Barnard
-...

🌍 « Où pourraient habiter les extra-terrestres les plus proches de nous ? » C’est la question que beaucoup de scientifiques se posent. L’Univers est immense et nous sommes loin de tout connaître : il doit forcément y avoir d’autres civilisations comme la nôtre. C’est le fameux paradoxe de Fermi : pourquoi, alors que le Soleil est plus jeune que de nombreuses autres étoiles de notre galaxie, nous n’avons encore jamais trouvé de traces de civilisations extra-terrestres ? Il doit forcément y avoir des civilisations extra-terrestres, mais où sont-elles ? Où habitent les extra-terrestres les plus proches de nous ?
Nous allons partir à la découverte d’un des systèmes stellaires les plus proches du nôtre, qui semble réunir les conditions idéales pour accueillir la vie extra-terrestre. Au cours de ce voyage, nous observerons quelques étoiles remarquables qui se trouvent entre Trappist-1, à 40,5 années-lumière de nous, et notre système solaire. Lorsque nous arriverons dans le système stellaire de Trappist-1, nous étudierons l’étoile Trappist-1 a et les 7 exo planètes qui gravitent autour. Nous verrons ensemble si ce système planétaire étonnant, très semblable au nôtre, peut abriter une forme de vie extra-terrestre et à quoi elle ressemblerait.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 L’Incroyable système stellaire TRAPPIST-1 :
• Commençons par observer l’étoile Trappist-1 a, le cœur du système stellaire de Trappist-1. On l’appelle aussi 2MASS J23062928-0502285. C’est une naine rouge ultra-froide, à peine plus grande que Jupiter mais beaucoup plus massive, et beaucoup plus froide que le Soleil. Son diamètre serait de 11,5 % celui du Soleil et sa masse de 8 %. Elle aurait entre 3 et 8 milliards d’années. Chose étrange, elle contient beaucoup de métaux (environ 109 % de la quantité de métaux du Soleil !), ce qui contredit les modèles selon lesquels les naines rouges contiennent justement beaucoup moins de métaux que les étoiles comme le Soleil.
Les étoiles comme Trappist-1 ont la capacité de vivre 400 à 500 fois plus longtemps que le Soleil. Alors que le Soleil peut vivre environ 10 milliards d’années, Trappist-1 A peut vivre jusqu’à 4 à 5 trillions d’années. Lorsque l’Univers aura un âge très avancé et que le gaz nécessaire à la formation des étoiles sera épuisé, Trappist-1 A sera certainement l’une des dernières étoiles restantes… De quoi te donner le vertige !

Trappist-1 A a été découverte en 1999 par l'astronome John Gizis et ses collègues. 16 ans plus tard, 3 des planètes orbitant autour de cette étoile ont été découvertes par l’intermédiaire du télescope belge TRAPPIST. Les astronomes ont croisé les informations issues des deux télescopes TRAPPIST, installés au Chili et au Maroc, avec des informations fournies par 4 autres télescopes basés aux Canaries, à Hawaï et en Afrique du Sud, et ont découvert 4 autres planètes.

Le système planétaire de Trappist-1 comporte au moins 7 planètes rocheuses, qui ont toutes un rayon proche de celui de la Terre et des masses comparables. Les planètes du système stellaire de Trappist-1 orbitent à des très faibles distances de leur étoile : elles seraient, selon les observations, 6 à 40 fois plus proches de leur étoile que Mercure du Soleil ! Ce système planétaire est ainsi très compact : toutes les planètes se trouvent sur une orbite plus petite que celle de Mercure.
Les périodes orbitales de ces 7 planètes sont très courtes : elles vont de un jour et demi pour la planète B à 19 jours pour la planète H, la plus externe du système planétaire bien que 6 fois plus proche de son étoile que Mercure de notre Soleil.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:56 - En route vers le système stellaire de Trappist-1
- 03:25 - L’étoile de Barnard
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🌍 « Où pourraient habiter les extra-terrestres les plus proches de nous ? » C’est la question que beaucoup de scientifiques se posent. L’Univers est immense et nous sommes loin de tout connaître : il doit forcément y avoir d’autres civilisations comme la nôtre. C’est le fameux paradoxe de Fermi : pourquoi, alors que le Soleil est plus jeune que de nombreuses autres étoiles de notre galaxie, nous n’avons encore jamais trouvé de traces de civilisations extra-terrestres ? Il doit forcément y avoir des civilisations extra-terrestres, mais où sont-elles ? Où habitent les extra-terrestres les plus proches de nous ?
Nous allons partir à la découverte d’un des systèmes stellaires les plus proches du nôtre, qui semble réunir les conditions idéales pour accueillir la vie extra-terrestre. Au cours de ce voyage, nous observerons quelques étoiles remarquables qui se trouvent entre Trappist-1, à 40,5 années-lumière de nous, et notre système solaire. Lorsque nous arriverons dans le système stellaire de Trappist-1, nous étudierons l’étoile Trappist-1 a et les 7 exo planètes qui gravitent autour. Nous verrons ensemble si ce système planétaire étonnant, très semblable au nôtre, peut abriter une forme de vie extra-terrestre et à quoi elle ressemblerait.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 L’Incroyable système stellaire TRAPPIST-1 :
• Commençons par observer l’étoile Trappist-1 a, le cœur du système stellaire de Trappist-1. On l’appelle aussi 2MASS J23062928-0502285. C’est une naine rouge ultra-froide, à peine plus grande que Jupiter mais beaucoup plus massive, et beaucoup plus froide que le Soleil. Son diamètre serait de 11,5 % celui du Soleil et sa masse de 8 %. Elle aurait entre 3 et 8 milliards d’années. Chose étrange, elle contient beaucoup de métaux (environ 109 % de la quantité de métaux du Soleil !), ce qui contredit les modèles selon lesquels les naines rouges contiennent justement beaucoup moins de métaux que les étoiles comme le Soleil.
Les étoiles comme Trappist-1 ont la capacité de vivre 400 à 500 fois plus longtemps que le Soleil. Alors que le Soleil peut vivre environ 10 milliards d’années, Trappist-1 A peut vivre jusqu’à 4 à 5 trillions d’années. Lorsque l’Univers aura un âge très avancé et que le gaz nécessaire à la formation des étoiles sera épuisé, Trappist-1 A sera certainement l’une des dernières étoiles restantes… De quoi te donner le vertige !

Trappist-1 A a été découverte en 1999 par l'astronome John Gizis et ses collègues. 16 ans plus tard, 3 des planètes orbitant autour de cette étoile ont été découvertes par l’intermédiaire du télescope belge TRAPPIST. Les astronomes ont croisé les informations issues des deux télescopes TRAPPIST, installés au Chili et au Maroc, avec des informations fournies par 4 autres télescopes basés aux Canaries, à Hawaï et en Afrique du Sud, et ont découvert 4 autres planètes.

Le système planétaire de Trappist-1 comporte au moins 7 planètes rocheuses, qui ont toutes un rayon proche de celui de la Terre et des masses comparables. Les planètes du système stellaire de Trappist-1 orbitent à des très faibles distances de leur étoile : elles seraient, selon les observations, 6 à 40 fois plus proches de leur étoile que Mercure du Soleil ! Ce système planétaire est ainsi très compact : toutes les planètes se trouvent sur une orbite plus petite que celle de Mercure.
Les périodes orbitales de ces 7 planètes sont très courtes : elles vont de un jour et demi pour la planète B à 19 jours pour la planète H, la plus externe du système planétaire bien que 6 fois plus proche de son étoile que Mercure de notre Soleil.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:56 - En route vers le système stellaire de Trappist-1
- 03:25 - L’étoile de Barnard
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🌍 « Où pourraient habiter les extra-terrestres les plus proches de nous ? » C’est la question que beaucoup de scientifiques se posent. L’Univers est immense et nous sommes loin de tout connaître : il doit forcément y avoir d’autres civilisations comme la nôtre. C’est le fameux paradoxe de Fermi : pourquoi, alors que le Soleil est plus jeune que de nombreuses autres étoiles de notre galaxie, nous n’avons encore jamais trouvé de traces de civilisations extra-terrestres ? Il doit forcément y avoir des civilisations extra-terrestres, mais où sont-elles ? Où habitent les extra-terrestres les plus proches de nous ?
Nous allons partir à la découverte d’un des systèmes stellaires les plus proches du nôtre, qui semble réunir les conditions idéales pour accueillir la vie extra-terrestre. Au cours de ce voyage, nous observerons quelques étoiles remarquables qui se trouvent entre Trappist-1, à 40,5 années-lumière de nous, et notre système solaire. Lorsque nous arriverons dans le système stellaire de Trappist-1, nous étudierons l’étoile Trappist-1 a et les 7 exo planètes qui gravitent autour. Nous verrons ensemble si ce système planétaire étonnant, très semblable au nôtre, peut abriter une forme de vie extra-terrestre et à quoi elle ressemblerait.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 L’Incroyable système stellaire TRAPPIST-1 :
• Commençons par observer l’étoile Trappist-1 a, le cœur du système stellaire de Trappist-1. On l’appelle aussi 2MASS J23062928-0502285. C’est une naine rouge ultra-froide, à peine plus grande que Jupiter mais beaucoup plus massive, et beaucoup plus froide que le Soleil. Son diamètre serait de 11,5 % celui du Soleil et sa masse de 8 %. Elle aurait entre 3 et 8 milliards d’années. Chose étrange, elle contient beaucoup de métaux (environ 109 % de la quantité de métaux du Soleil !), ce qui contredit les modèles selon lesquels les naines rouges contiennent justement beaucoup moins de métaux que les étoiles comme le Soleil.
Les étoiles comme Trappist-1 ont la capacité de vivre 400 à 500 fois plus longtemps que le Soleil. Alors que le Soleil peut vivre environ 10 milliards d’années, Trappist-1 A peut vivre jusqu’à 4 à 5 trillions d’années. Lorsque l’Univers aura un âge très avancé et que le gaz nécessaire à la formation des étoiles sera épuisé, Trappist-1 A sera certainement l’une des dernières étoiles restantes… De quoi te donner le vertige !

Trappist-1 A a été découverte en 1999 par l'astronome John Gizis et ses collègues. 16 ans plus tard, 3 des planètes orbitant autour de cette étoile ont été découvertes par l’intermédiaire du télescope belge TRAPPIST. Les astronomes ont croisé les informations issues des deux télescopes TRAPPIST, installés au Chili et au Maroc, avec des informations fournies par 4 autres télescopes basés aux Canaries, à Hawaï et en Afrique du Sud, et ont découvert 4 autres planètes.

Le système planétaire de Trappist-1 comporte au moins 7 planètes rocheuses, qui ont toutes un rayon proche de celui de la Terre et des masses comparables. Les planètes du système stellaire de Trappist-1 orbitent à des très faibles distances de leur étoile : elles seraient, selon les observations, 6 à 40 fois plus proches de leur étoile que Mercure du Soleil ! Ce système planétaire est ainsi très compact : toutes les planètes se trouvent sur une orbite plus petite que celle de Mercure.
Les périodes orbitales de ces 7 planètes sont très courtes : elles vont de un jour et demi pour la planète B à 19 jours pour la planète H, la plus externe du système planétaire bien que 6 fois plus proche de son étoile que Mercure de notre Soleil.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:56 - En route vers le système stellaire de Trappist-1
- 03:25 - L’étoile de Barnard
-...

🌍 « Où pourraient habiter les extra-terrestres les plus proches de nous ? » C’est la question que beaucoup de scientifiques se posent. L’Univers est immense et nous sommes loin de tout connaître : il doit forcément y avoir d’autres civilisations comme la nôtre. C’est le fameux paradoxe de Fermi : pourquoi, alors que le Soleil est plus jeune que de nombreuses autres étoiles de notre galaxie, nous n’avons encore jamais trouvé de traces de civilisations extra-terrestres ? Il doit forcément y avoir des civilisations extra-terrestres, mais où sont-elles ? Où habitent les extra-terrestres les plus proches de nous ?
Nous allons partir à la découverte d’un des systèmes stellaires les plus proches du nôtre, qui semble réunir les conditions idéales pour accueillir la vie extra-terrestre. Au cours de ce voyage, nous observerons quelques étoiles remarquables qui se trouvent entre Trappist-1, à 40,5 années-lumière de nous, et notre système solaire. Lorsque nous arriverons dans le système stellaire de Trappist-1, nous étudierons l’étoile Trappist-1 a et les 7 exo planètes qui gravitent autour. Nous verrons ensemble si ce système planétaire étonnant, très semblable au nôtre, peut abriter une forme de vie extra-terrestre et à quoi elle ressemblerait.




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 L’Incroyable système stellaire TRAPPIST-1 :
• Commençons par observer l’étoile Trappist-1 a, le cœur du système stellaire de Trappist-1. On l’appelle aussi 2MASS J23062928-0502285. C’est une naine rouge ultra-froide, à peine plus grande que Jupiter mais beaucoup plus massive, et beaucoup plus froide que le Soleil. Son diamètre serait de 11,5 % celui du Soleil et sa masse de 8 %. Elle aurait entre 3 et 8 milliards d’années. Chose étrange, elle contient beaucoup de métaux (environ 109 % de la quantité de métaux du Soleil !), ce qui contredit les modèles selon lesquels les naines rouges contiennent justement beaucoup moins de métaux que les étoiles comme le Soleil.
Les étoiles comme Trappist-1 ont la capacité de vivre 400 à 500 fois plus longtemps que le Soleil. Alors que le Soleil peut vivre environ 10 milliards d’années, Trappist-1 A peut vivre jusqu’à 4 à 5 trillions d’années. Lorsque l’Univers aura un âge très avancé et que le gaz nécessaire à la formation des étoiles sera épuisé, Trappist-1 A sera certainement l’une des dernières étoiles restantes… De quoi te donner le vertige !

Trappist-1 A a été découverte en 1999 par l'astronome John Gizis et ses collègues. 16 ans plus tard, 3 des planètes orbitant autour de cette étoile ont été découvertes par l’intermédiaire du télescope belge TRAPPIST. Les astronomes ont croisé les informations issues des deux télescopes TRAPPIST, installés au Chili et au Maroc, avec des informations fournies par 4 autres télescopes basés aux Canaries, à Hawaï et en Afrique du Sud, et ont découvert 4 autres planètes.

Le système planétaire de Trappist-1 comporte au moins 7 planètes rocheuses, qui ont toutes un rayon proche de celui de la Terre et des masses comparables. Les planètes du système stellaire de Trappist-1 orbitent à des très faibles distances de leur étoile : elles seraient, selon les observations, 6 à 40 fois plus proches de leur étoile que Mercure du Soleil ! Ce système planétaire est ainsi très compact : toutes les planètes se trouvent sur une orbite plus petite que celle de Mercure.
Les périodes orbitales de ces 7 planètes sont très courtes : elles vont de un jour et demi pour la planète B à 19 jours pour la planète H, la plus externe du système planétaire bien que 6 fois plus proche de son étoile que Mercure de notre Soleil.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:56 - En route vers le système stellaire de Trappist-1
- 03:25 - L’étoile de Barnard
-...

🌍 Vous êtes-vous déjà retrouvé nez à nez avec une libellule de la taille d’un faucon ?
Si vous aviez parcouru la surface de la Terre à l’époque du Carbonifère, cela aurait pu se produire. Lorsque le gigantisme est évoqué, il a tendance à faire penser aux très célèbres dinosaures qui arpentaient la terre durant le Jurassique il y a 150 millions d'années. Et pourtant, des libellules, des mille-pattes, des araignées ou même des scorpions ont atteint, il y a un temps, des tailles exceptionnelles. Une évolution surprenante qui se manifeste grâce aux contraintes imposées par les conditions du milieu de vie.
Mais comment de si petits insectes ont-ils atteint des dimensions si importantes ? Et pourquoi ont-ils été amenés à disparaître ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre à l'époque des Insectes Géants :
• Les insectes sont partout. Ils sont une des plus belles réussites de l'évolution. Les trois quarts des animaux sont des insectes. Leur nombre est exceptionnel. Autour de nous, un milliard de milliards d'insectes volent, nagent et marchent sans que nous ne les voyions. Leur masse est 300 fois supérieure à celle de l'humanité. Leur petite taille fait que nous les ignorons souvent. Il fut un temps, sur Terre, où les insectes ne passaient pas inaperçus. Une histoire très ancienne qui résulte d'un cumul d'adaptations plus surprenantes les unes que les autres. Des insectes volant de 70 centimètres d’envergure, ou encore des mille-pattes géants mesurant jusqu’à 3 mètres… Des créatures qui arpentaient réellement la surface de la Terre il y a plus de 350 millions d’années. Quand les insectes ont-ils commencé à conquérir la terre ferme ? Et comment ont-ils pu, par la suite, atteindre des tailles si exceptionnelles ?

Tous les insectes sont des arthropodes, ils possèdent une cuticule ou une carapace rigide appelée exosquelette et un corps divisé en segments. Ils possèdent chacun une paire d'appendices articulés. Au sein des arthropodes, on retrouve les insectes, les crustacés, les araignées et les mille-pattes. Le corps de ses créatures est divisé en trois parties : la tête, le thorax et l'abdomen. La tête comprend les antennes, les yeux et les éléments buccaux. Le thorax comprend trois paires de pattes et deux paires d'ailes. L'abdomen divisé en plusieurs segments est dépourvu d'appendice, et les orifices génitaux s'ouvrent à son extrémité. Les crustacés sont les premiers animaux à être sortis de l'eau. Il a fallu des adaptations multiples pour que des hexapodes divergent de ces crustacés. La plus grande et la plus importante des adaptations est celle de l'apparition des ailes.


Il y a 425 millions d’années, quelques millions d'années après que les premiers végétaux ont débuté l’invasion de la terre ferme, les premiers animaux s'aventurent également hors de l’eau.
Ces premiers curieux sont des créatures segmentées, les ancêtres de nos mille-pattes. Au début, ils restent à proximité de l'eau. Puis, ils s’aventurent dans les mousses qui renferment de l'humidité et de la nourriture à travers des débris de végétaux et des spores. Ces myriapodes étant initialement adaptés à la vie aquatique, ils doivent évoluer. Ils se dotent d'un squelette externe et développent une manière différente de respirer. Les myriapodes sont équipés d'un système de tubes respiratoires, nommé les trachées. Chaque tube conduit au flanc de la carapace et se fractionne en un réseau de plus en plus fin qui aboutit aux organes et aux tissus pénétrant même chaque cellule afin de leur amener de l'oxygène.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:40 - Qui sont les insectes ?
- 04:07 - L’apparition des insectes et leur évolution
- 11:36 - Les ailes des insectes
- 14:47 - La faune, la flore et les...

🌍 Vous êtes-vous déjà retrouvé nez à nez avec une libellule de la taille d’un faucon ?
Si vous aviez parcouru la surface de la Terre à l’époque du Carbonifère, cela aurait pu se produire. Lorsque le gigantisme est évoqué, il a tendance à faire penser aux très célèbres dinosaures qui arpentaient la terre durant le Jurassique il y a 150 millions d'années. Et pourtant, des libellules, des mille-pattes, des araignées ou même des scorpions ont atteint, il y a un temps, des tailles exceptionnelles. Une évolution surprenante qui se manifeste grâce aux contraintes imposées par les conditions du milieu de vie.
Mais comment de si petits insectes ont-ils atteint des dimensions si importantes ? Et pourquoi ont-ils été amenés à disparaître ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre à l'époque des Insectes Géants :
• Les insectes sont partout. Ils sont une des plus belles réussites de l'évolution. Les trois quarts des animaux sont des insectes. Leur nombre est exceptionnel. Autour de nous, un milliard de milliards d'insectes volent, nagent et marchent sans que nous ne les voyions. Leur masse est 300 fois supérieure à celle de l'humanité. Leur petite taille fait que nous les ignorons souvent. Il fut un temps, sur Terre, où les insectes ne passaient pas inaperçus. Une histoire très ancienne qui résulte d'un cumul d'adaptations plus surprenantes les unes que les autres. Des insectes volant de 70 centimètres d’envergure, ou encore des mille-pattes géants mesurant jusqu’à 3 mètres… Des créatures qui arpentaient réellement la surface de la Terre il y a plus de 350 millions d’années. Quand les insectes ont-ils commencé à conquérir la terre ferme ? Et comment ont-ils pu, par la suite, atteindre des tailles si exceptionnelles ?

Tous les insectes sont des arthropodes, ils possèdent une cuticule ou une carapace rigide appelée exosquelette et un corps divisé en segments. Ils possèdent chacun une paire d'appendices articulés. Au sein des arthropodes, on retrouve les insectes, les crustacés, les araignées et les mille-pattes. Le corps de ses créatures est divisé en trois parties : la tête, le thorax et l'abdomen. La tête comprend les antennes, les yeux et les éléments buccaux. Le thorax comprend trois paires de pattes et deux paires d'ailes. L'abdomen divisé en plusieurs segments est dépourvu d'appendice, et les orifices génitaux s'ouvrent à son extrémité. Les crustacés sont les premiers animaux à être sortis de l'eau. Il a fallu des adaptations multiples pour que des hexapodes divergent de ces crustacés. La plus grande et la plus importante des adaptations est celle de l'apparition des ailes.


Il y a 425 millions d’années, quelques millions d'années après que les premiers végétaux ont débuté l’invasion de la terre ferme, les premiers animaux s'aventurent également hors de l’eau.
Ces premiers curieux sont des créatures segmentées, les ancêtres de nos mille-pattes. Au début, ils restent à proximité de l'eau. Puis, ils s’aventurent dans les mousses qui renferment de l'humidité et de la nourriture à travers des débris de végétaux et des spores. Ces myriapodes étant initialement adaptés à la vie aquatique, ils doivent évoluer. Ils se dotent d'un squelette externe et développent une manière différente de respirer. Les myriapodes sont équipés d'un système de tubes respiratoires, nommé les trachées. Chaque tube conduit au flanc de la carapace et se fractionne en un réseau de plus en plus fin qui aboutit aux organes et aux tissus pénétrant même chaque cellule afin de leur amener de l'oxygène.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:40 - Qui sont les insectes ?
- 04:07 - L’apparition des insectes et leur évolution
- 11:36 - Les ailes des insectes
- 14:47 - La faune, la flore et les...

🌍 Vous êtes-vous déjà retrouvé nez à nez avec une libellule de la taille d’un faucon ?
Si vous aviez parcouru la surface de la Terre à l’époque du Carbonifère, cela aurait pu se produire. Lorsque le gigantisme est évoqué, il a tendance à faire penser aux très célèbres dinosaures qui arpentaient la terre durant le Jurassique il y a 150 millions d'années. Et pourtant, des libellules, des mille-pattes, des araignées ou même des scorpions ont atteint, il y a un temps, des tailles exceptionnelles. Une évolution surprenante qui se manifeste grâce aux contraintes imposées par les conditions du milieu de vie.
Mais comment de si petits insectes ont-ils atteint des dimensions si importantes ? Et pourquoi ont-ils été amenés à disparaître ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre à l'époque des Insectes Géants :
• Les insectes sont partout. Ils sont une des plus belles réussites de l'évolution. Les trois quarts des animaux sont des insectes. Leur nombre est exceptionnel. Autour de nous, un milliard de milliards d'insectes volent, nagent et marchent sans que nous ne les voyions. Leur masse est 300 fois supérieure à celle de l'humanité. Leur petite taille fait que nous les ignorons souvent. Il fut un temps, sur Terre, où les insectes ne passaient pas inaperçus. Une histoire très ancienne qui résulte d'un cumul d'adaptations plus surprenantes les unes que les autres. Des insectes volant de 70 centimètres d’envergure, ou encore des mille-pattes géants mesurant jusqu’à 3 mètres… Des créatures qui arpentaient réellement la surface de la Terre il y a plus de 350 millions d’années. Quand les insectes ont-ils commencé à conquérir la terre ferme ? Et comment ont-ils pu, par la suite, atteindre des tailles si exceptionnelles ?

Tous les insectes sont des arthropodes, ils possèdent une cuticule ou une carapace rigide appelée exosquelette et un corps divisé en segments. Ils possèdent chacun une paire d'appendices articulés. Au sein des arthropodes, on retrouve les insectes, les crustacés, les araignées et les mille-pattes. Le corps de ses créatures est divisé en trois parties : la tête, le thorax et l'abdomen. La tête comprend les antennes, les yeux et les éléments buccaux. Le thorax comprend trois paires de pattes et deux paires d'ailes. L'abdomen divisé en plusieurs segments est dépourvu d'appendice, et les orifices génitaux s'ouvrent à son extrémité. Les crustacés sont les premiers animaux à être sortis de l'eau. Il a fallu des adaptations multiples pour que des hexapodes divergent de ces crustacés. La plus grande et la plus importante des adaptations est celle de l'apparition des ailes.


Il y a 425 millions d’années, quelques millions d'années après que les premiers végétaux ont débuté l’invasion de la terre ferme, les premiers animaux s'aventurent également hors de l’eau.
Ces premiers curieux sont des créatures segmentées, les ancêtres de nos mille-pattes. Au début, ils restent à proximité de l'eau. Puis, ils s’aventurent dans les mousses qui renferment de l'humidité et de la nourriture à travers des débris de végétaux et des spores. Ces myriapodes étant initialement adaptés à la vie aquatique, ils doivent évoluer. Ils se dotent d'un squelette externe et développent une manière différente de respirer. Les myriapodes sont équipés d'un système de tubes respiratoires, nommé les trachées. Chaque tube conduit au flanc de la carapace et se fractionne en un réseau de plus en plus fin qui aboutit aux organes et aux tissus pénétrant même chaque cellule afin de leur amener de l'oxygène.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:40 - Qui sont les insectes ?
- 04:07 - L’apparition des insectes et leur évolution
- 11:36 - Les ailes des insectes
- 14:47 - La faune, la flore et les...

🌍 Vous êtes-vous déjà retrouvé nez à nez avec une libellule de la taille d’un faucon ?
Si vous aviez parcouru la surface de la Terre à l’époque du Carbonifère, cela aurait pu se produire. Lorsque le gigantisme est évoqué, il a tendance à faire penser aux très célèbres dinosaures qui arpentaient la terre durant le Jurassique il y a 150 millions d'années. Et pourtant, des libellules, des mille-pattes, des araignées ou même des scorpions ont atteint, il y a un temps, des tailles exceptionnelles. Une évolution surprenante qui se manifeste grâce aux contraintes imposées par les conditions du milieu de vie.
Mais comment de si petits insectes ont-ils atteint des dimensions si importantes ? Et pourquoi ont-ils été amenés à disparaître ?




🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 La Terre à l'époque des Insectes Géants :
• Les insectes sont partout. Ils sont une des plus belles réussites de l'évolution. Les trois quarts des animaux sont des insectes. Leur nombre est exceptionnel. Autour de nous, un milliard de milliards d'insectes volent, nagent et marchent sans que nous ne les voyions. Leur masse est 300 fois supérieure à celle de l'humanité. Leur petite taille fait que nous les ignorons souvent. Il fut un temps, sur Terre, où les insectes ne passaient pas inaperçus. Une histoire très ancienne qui résulte d'un cumul d'adaptations plus surprenantes les unes que les autres. Des insectes volant de 70 centimètres d’envergure, ou encore des mille-pattes géants mesurant jusqu’à 3 mètres… Des créatures qui arpentaient réellement la surface de la Terre il y a plus de 350 millions d’années. Quand les insectes ont-ils commencé à conquérir la terre ferme ? Et comment ont-ils pu, par la suite, atteindre des tailles si exceptionnelles ?

Tous les insectes sont des arthropodes, ils possèdent une cuticule ou une carapace rigide appelée exosquelette et un corps divisé en segments. Ils possèdent chacun une paire d'appendices articulés. Au sein des arthropodes, on retrouve les insectes, les crustacés, les araignées et les mille-pattes. Le corps de ses créatures est divisé en trois parties : la tête, le thorax et l'abdomen. La tête comprend les antennes, les yeux et les éléments buccaux. Le thorax comprend trois paires de pattes et deux paires d'ailes. L'abdomen divisé en plusieurs segments est dépourvu d'appendice, et les orifices génitaux s'ouvrent à son extrémité. Les crustacés sont les premiers animaux à être sortis de l'eau. Il a fallu des adaptations multiples pour que des hexapodes divergent de ces crustacés. La plus grande et la plus importante des adaptations est celle de l'apparition des ailes.


Il y a 425 millions d’années, quelques millions d'années après que les premiers végétaux ont débuté l’invasion de la terre ferme, les premiers animaux s'aventurent également hors de l’eau.
Ces premiers curieux sont des créatures segmentées, les ancêtres de nos mille-pattes. Au début, ils restent à proximité de l'eau. Puis, ils s’aventurent dans les mousses qui renferment de l'humidité et de la nourriture à travers des débris de végétaux et des spores. Ces myriapodes étant initialement adaptés à la vie aquatique, ils doivent évoluer. Ils se dotent d'un squelette externe et développent une manière différente de respirer. Les myriapodes sont équipés d'un système de tubes respiratoires, nommé les trachées. Chaque tube conduit au flanc de la carapace et se fractionne en un réseau de plus en plus fin qui aboutit aux organes et aux tissus pénétrant même chaque cellule afin de leur amener de l'oxygène.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:40 - Qui sont les insectes ?
- 04:07 - L’apparition des insectes et leur évolution
- 11:36 - Les ailes des insectes
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🌍 Vous êtes-vous déjà retrouvé nez à nez avec une libellule de la taille d’un faucon ?
Si vous aviez parcouru la surface de la Terre à l’époque du Carbonifère, cela aurait pu se produire. Lorsque le gigantisme est évoqué, il a tendance à faire penser aux très célèbres dinosaures qui arpentaient la terre durant le Jurassique il y a 150 millions d'années. Et pourtant, des libellules, des mille-pattes, des araignées ou même des scorpions ont atteint, il y a un temps, des tailles exceptionnelles. Une évolution surprenante qui se manifeste grâce aux contraintes imposées par les conditions du milieu de vie.
Mais comment de si petits insectes ont-ils atteint des dimensions si importantes ? Et pourquoi ont-ils été amenés à disparaître ?




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💥 La Terre à l'époque des Insectes Géants :
• Les insectes sont partout. Ils sont une des plus belles réussites de l'évolution. Les trois quarts des animaux sont des insectes. Leur nombre est exceptionnel. Autour de nous, un milliard de milliards d'insectes volent, nagent et marchent sans que nous ne les voyions. Leur masse est 300 fois supérieure à celle de l'humanité. Leur petite taille fait que nous les ignorons souvent. Il fut un temps, sur Terre, où les insectes ne passaient pas inaperçus. Une histoire très ancienne qui résulte d'un cumul d'adaptations plus surprenantes les unes que les autres. Des insectes volant de 70 centimètres d’envergure, ou encore des mille-pattes géants mesurant jusqu’à 3 mètres… Des créatures qui arpentaient réellement la surface de la Terre il y a plus de 350 millions d’années. Quand les insectes ont-ils commencé à conquérir la terre ferme ? Et comment ont-ils pu, par la suite, atteindre des tailles si exceptionnelles ?

Tous les insectes sont des arthropodes, ils possèdent une cuticule ou une carapace rigide appelée exosquelette et un corps divisé en segments. Ils possèdent chacun une paire d'appendices articulés. Au sein des arthropodes, on retrouve les insectes, les crustacés, les araignées et les mille-pattes. Le corps de ses créatures est divisé en trois parties : la tête, le thorax et l'abdomen. La tête comprend les antennes, les yeux et les éléments buccaux. Le thorax comprend trois paires de pattes et deux paires d'ailes. L'abdomen divisé en plusieurs segments est dépourvu d'appendice, et les orifices génitaux s'ouvrent à son extrémité. Les crustacés sont les premiers animaux à être sortis de l'eau. Il a fallu des adaptations multiples pour que des hexapodes divergent de ces crustacés. La plus grande et la plus importante des adaptations est celle de l'apparition des ailes.


Il y a 425 millions d’années, quelques millions d'années après que les premiers végétaux ont débuté l’invasion de la terre ferme, les premiers animaux s'aventurent également hors de l’eau.
Ces premiers curieux sont des créatures segmentées, les ancêtres de nos mille-pattes. Au début, ils restent à proximité de l'eau. Puis, ils s’aventurent dans les mousses qui renferment de l'humidité et de la nourriture à travers des débris de végétaux et des spores. Ces myriapodes étant initialement adaptés à la vie aquatique, ils doivent évoluer. Ils se dotent d'un squelette externe et développent une manière différente de respirer. Les myriapodes sont équipés d'un système de tubes respiratoires, nommé les trachées. Chaque tube conduit au flanc de la carapace et se fractionne en un réseau de plus en plus fin qui aboutit aux organes et aux tissus pénétrant même chaque cellule afin de leur amener de l'oxygène.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:40 - Qui sont les insectes ?
- 04:07 - L’apparition des insectes et leur évolution
- 11:36 - Les ailes des insectes
- 14:47 - La faune, la flore et les...

🌍 Existe-t-il une planète semblable à la Terre dans l’Univers ? Comme beaucoup de monde, tu t’es certainement déjà posé cette question. Depuis plusieurs décennies maintenant, les astronomes voient au-delà du système solaire et tentent de trouver des réponses à cette question dans d’autres systèmes stellaires. K2-18 est l’un des systèmes stellaires les plus intéressants pour les astrophysiciens en quête d’une vie extraterrestre.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 K2 18b, l'exoplanète la plus prometteuse :
• Le système stellaire K2-18 abrite au moins deux exoplanètes, K2-18 b et K2-18 c, qui gravitent autour de l’étoile K2-18. Toutes deux sont plus massives que la Terre : ce sont des superterres rocheuses, avec une masse de 7 et 8,6 fois celle de la Terre.
La planète la plus proche de l’étoile K2-18 est K2-18 c. Cette superterre chaude a été découverte en 2017 et confirmée en 2018. C’est d’ailleurs en étudiant K2-18 b, qui avait été découverte plus tôt en 2015 grâce au satellite américain Kepler, que les chercheurs ont repéré le signal de K2-18 c et ont pu découvrir cette exoplanète.
K2-18 b est en effet celle qui intéresse le plus les astronomes. C’est la plus éloignée de l’étoile K2-18. Elle fait entre 6 et 10 masses de la Terre et son rayon est 2,3 fois plus grand que celui de notre planète. Elle a une période orbitale de 33 jours et une température d’équilibre d’environ -23 °C, ce qui est très proche de la température d’équilibre de la Terre de -18°C. Pour rappel, la température d’équilibre d’une planète est la température théorique de sa surface en l’absence d’atmosphère. Les astronomes pensent que K2-18 b possède toutes les caractéristiques pour posséder de l’eau liquide à sa surface, ce qui la rendrait habitable.
Sa densité semble cependant bien trop faible pour qu’il s’agisse d’une planète rocheuse. Soit K2-18b est une planète rocheuse avec de l’eau liquide en surface, soit c’est une planète recouverte d’une épaisse couche de glace. Autrement dit, il s’agit d’une superterre de type rocheux entourée d’une petite enveloppe gazeuse ou d’une mini-Neptune de type gazeux essentiellement composée d’eau et recouverte de glace. En tous les cas, K2-18 b est constituée en grande partie de constituants dits volatiles, qui forment une enveloppe fluide, avec des éléments comme l’hydrogène moléculaire, l’hélium ou l’eau. Comme souvent dans l’observation de l’Univers, rien n’est encore certain ! Ces deux hypothèses tiennent la route et seules les observations du télescope James Webb pourront nous en dire plus.
Effectivement, le télescope est capable d’analyser l’atmosphère des exoplanètes, comme il l’a prouvé avec l’exoplanète Wasp 39-b. Je te rappelle que James Webb a démontré la présence de CO2 dans l’atmosphère de Wasp 39-b, une planète gazeuse et chaude située à 700 années-lumière de nous dans la Constellation de la Vierge. Le principe est assez simple : lorsque l’exoplanète passe devant son étoile, la lumière de l’étoile va traverser son atmosphère. Les scientifiques pourront alors étudier le spectre de la lumière, notamment les raies d’absorption, des sortes de trous qui sont causés par les gaz que la lumière a traversés avant d’arriver jusqu’à nous. Chaque gaz possède ses propres raies d’absorption. Rien qu’en étudiant le spectre de la lumière de K2-18 traversant l’atmosphère de K2-18 b, les astrophysiciens pourront ainsi déterminer quels gaz sont présents et en quelles proportions dans l’atmosphère de cette exoplanète.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:04 - Voyage de la Terre jusqu’au système stellaire K2-18
- 02:40 - Le système stellaire Alpha Centauri
- 08:40 - L’étoile Sirius
- 13:45 - Coconuts-2b, l’exo planète la plus proche photographiée directement
- 16:46 - WD...

🌍 Existe-t-il une planète semblable à la Terre dans l’Univers ? Comme beaucoup de monde, tu t’es certainement déjà posé cette question. Depuis plusieurs décennies maintenant, les astronomes voient au-delà du système solaire et tentent de trouver des réponses à cette question dans d’autres systèmes stellaires. K2-18 est l’un des systèmes stellaires les plus intéressants pour les astrophysiciens en quête d’une vie extraterrestre.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 K2 18b, l'exoplanète la plus prometteuse :
• Le système stellaire K2-18 abrite au moins deux exoplanètes, K2-18 b et K2-18 c, qui gravitent autour de l’étoile K2-18. Toutes deux sont plus massives que la Terre : ce sont des superterres rocheuses, avec une masse de 7 et 8,6 fois celle de la Terre.
La planète la plus proche de l’étoile K2-18 est K2-18 c. Cette superterre chaude a été découverte en 2017 et confirmée en 2018. C’est d’ailleurs en étudiant K2-18 b, qui avait été découverte plus tôt en 2015 grâce au satellite américain Kepler, que les chercheurs ont repéré le signal de K2-18 c et ont pu découvrir cette exoplanète.
K2-18 b est en effet celle qui intéresse le plus les astronomes. C’est la plus éloignée de l’étoile K2-18. Elle fait entre 6 et 10 masses de la Terre et son rayon est 2,3 fois plus grand que celui de notre planète. Elle a une période orbitale de 33 jours et une température d’équilibre d’environ -23 °C, ce qui est très proche de la température d’équilibre de la Terre de -18°C. Pour rappel, la température d’équilibre d’une planète est la température théorique de sa surface en l’absence d’atmosphère. Les astronomes pensent que K2-18 b possède toutes les caractéristiques pour posséder de l’eau liquide à sa surface, ce qui la rendrait habitable.
Sa densité semble cependant bien trop faible pour qu’il s’agisse d’une planète rocheuse. Soit K2-18b est une planète rocheuse avec de l’eau liquide en surface, soit c’est une planète recouverte d’une épaisse couche de glace. Autrement dit, il s’agit d’une superterre de type rocheux entourée d’une petite enveloppe gazeuse ou d’une mini-Neptune de type gazeux essentiellement composée d’eau et recouverte de glace. En tous les cas, K2-18 b est constituée en grande partie de constituants dits volatiles, qui forment une enveloppe fluide, avec des éléments comme l’hydrogène moléculaire, l’hélium ou l’eau. Comme souvent dans l’observation de l’Univers, rien n’est encore certain ! Ces deux hypothèses tiennent la route et seules les observations du télescope James Webb pourront nous en dire plus.
Effectivement, le télescope est capable d’analyser l’atmosphère des exoplanètes, comme il l’a prouvé avec l’exoplanète Wasp 39-b. Je te rappelle que James Webb a démontré la présence de CO2 dans l’atmosphère de Wasp 39-b, une planète gazeuse et chaude située à 700 années-lumière de nous dans la Constellation de la Vierge. Le principe est assez simple : lorsque l’exoplanète passe devant son étoile, la lumière de l’étoile va traverser son atmosphère. Les scientifiques pourront alors étudier le spectre de la lumière, notamment les raies d’absorption, des sortes de trous qui sont causés par les gaz que la lumière a traversés avant d’arriver jusqu’à nous. Chaque gaz possède ses propres raies d’absorption. Rien qu’en étudiant le spectre de la lumière de K2-18 traversant l’atmosphère de K2-18 b, les astrophysiciens pourront ainsi déterminer quels gaz sont présents et en quelles proportions dans l’atmosphère de cette exoplanète.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:04 - Voyage de la Terre jusqu’au système stellaire K2-18
- 02:40 - Le système stellaire Alpha Centauri
- 08:40 - L’étoile Sirius
- 13:45 - Coconuts-2b, l’exo planète la plus proche photographiée directement
- 16:46 - WD...

🌍 Existe-t-il une planète semblable à la Terre dans l’Univers ? Comme beaucoup de monde, tu t’es certainement déjà posé cette question. Depuis plusieurs décennies maintenant, les astronomes voient au-delà du système solaire et tentent de trouver des réponses à cette question dans d’autres systèmes stellaires. K2-18 est l’un des systèmes stellaires les plus intéressants pour les astrophysiciens en quête d’une vie extraterrestre.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 K2 18b, l'exoplanète la plus prometteuse :
• Le système stellaire K2-18 abrite au moins deux exoplanètes, K2-18 b et K2-18 c, qui gravitent autour de l’étoile K2-18. Toutes deux sont plus massives que la Terre : ce sont des superterres rocheuses, avec une masse de 7 et 8,6 fois celle de la Terre.
La planète la plus proche de l’étoile K2-18 est K2-18 c. Cette superterre chaude a été découverte en 2017 et confirmée en 2018. C’est d’ailleurs en étudiant K2-18 b, qui avait été découverte plus tôt en 2015 grâce au satellite américain Kepler, que les chercheurs ont repéré le signal de K2-18 c et ont pu découvrir cette exoplanète.
K2-18 b est en effet celle qui intéresse le plus les astronomes. C’est la plus éloignée de l’étoile K2-18. Elle fait entre 6 et 10 masses de la Terre et son rayon est 2,3 fois plus grand que celui de notre planète. Elle a une période orbitale de 33 jours et une température d’équilibre d’environ -23 °C, ce qui est très proche de la température d’équilibre de la Terre de -18°C. Pour rappel, la température d’équilibre d’une planète est la température théorique de sa surface en l’absence d’atmosphère. Les astronomes pensent que K2-18 b possède toutes les caractéristiques pour posséder de l’eau liquide à sa surface, ce qui la rendrait habitable.
Sa densité semble cependant bien trop faible pour qu’il s’agisse d’une planète rocheuse. Soit K2-18b est une planète rocheuse avec de l’eau liquide en surface, soit c’est une planète recouverte d’une épaisse couche de glace. Autrement dit, il s’agit d’une superterre de type rocheux entourée d’une petite enveloppe gazeuse ou d’une mini-Neptune de type gazeux essentiellement composée d’eau et recouverte de glace. En tous les cas, K2-18 b est constituée en grande partie de constituants dits volatiles, qui forment une enveloppe fluide, avec des éléments comme l’hydrogène moléculaire, l’hélium ou l’eau. Comme souvent dans l’observation de l’Univers, rien n’est encore certain ! Ces deux hypothèses tiennent la route et seules les observations du télescope James Webb pourront nous en dire plus.
Effectivement, le télescope est capable d’analyser l’atmosphère des exoplanètes, comme il l’a prouvé avec l’exoplanète Wasp 39-b. Je te rappelle que James Webb a démontré la présence de CO2 dans l’atmosphère de Wasp 39-b, une planète gazeuse et chaude située à 700 années-lumière de nous dans la Constellation de la Vierge. Le principe est assez simple : lorsque l’exoplanète passe devant son étoile, la lumière de l’étoile va traverser son atmosphère. Les scientifiques pourront alors étudier le spectre de la lumière, notamment les raies d’absorption, des sortes de trous qui sont causés par les gaz que la lumière a traversés avant d’arriver jusqu’à nous. Chaque gaz possède ses propres raies d’absorption. Rien qu’en étudiant le spectre de la lumière de K2-18 traversant l’atmosphère de K2-18 b, les astrophysiciens pourront ainsi déterminer quels gaz sont présents et en quelles proportions dans l’atmosphère de cette exoplanète.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:04 - Voyage de la Terre jusqu’au système stellaire K2-18
- 02:40 - Le système stellaire Alpha Centauri
- 08:40 - L’étoile Sirius
- 13:45 - Coconuts-2b, l’exo planète la plus proche photographiée directement
- 16:46 - WD...

🌍 Existe-t-il une planète semblable à la Terre dans l’Univers ? Comme beaucoup de monde, tu t’es certainement déjà posé cette question. Depuis plusieurs décennies maintenant, les astronomes voient au-delà du système solaire et tentent de trouver des réponses à cette question dans d’autres systèmes stellaires. K2-18 est l’un des systèmes stellaires les plus intéressants pour les astrophysiciens en quête d’une vie extraterrestre.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 K2 18b, l'exoplanète la plus prometteuse :
• Le système stellaire K2-18 abrite au moins deux exoplanètes, K2-18 b et K2-18 c, qui gravitent autour de l’étoile K2-18. Toutes deux sont plus massives que la Terre : ce sont des superterres rocheuses, avec une masse de 7 et 8,6 fois celle de la Terre.
La planète la plus proche de l’étoile K2-18 est K2-18 c. Cette superterre chaude a été découverte en 2017 et confirmée en 2018. C’est d’ailleurs en étudiant K2-18 b, qui avait été découverte plus tôt en 2015 grâce au satellite américain Kepler, que les chercheurs ont repéré le signal de K2-18 c et ont pu découvrir cette exoplanète.
K2-18 b est en effet celle qui intéresse le plus les astronomes. C’est la plus éloignée de l’étoile K2-18. Elle fait entre 6 et 10 masses de la Terre et son rayon est 2,3 fois plus grand que celui de notre planète. Elle a une période orbitale de 33 jours et une température d’équilibre d’environ -23 °C, ce qui est très proche de la température d’équilibre de la Terre de -18°C. Pour rappel, la température d’équilibre d’une planète est la température théorique de sa surface en l’absence d’atmosphère. Les astronomes pensent que K2-18 b possède toutes les caractéristiques pour posséder de l’eau liquide à sa surface, ce qui la rendrait habitable.
Sa densité semble cependant bien trop faible pour qu’il s’agisse d’une planète rocheuse. Soit K2-18b est une planète rocheuse avec de l’eau liquide en surface, soit c’est une planète recouverte d’une épaisse couche de glace. Autrement dit, il s’agit d’une superterre de type rocheux entourée d’une petite enveloppe gazeuse ou d’une mini-Neptune de type gazeux essentiellement composée d’eau et recouverte de glace. En tous les cas, K2-18 b est constituée en grande partie de constituants dits volatiles, qui forment une enveloppe fluide, avec des éléments comme l’hydrogène moléculaire, l’hélium ou l’eau. Comme souvent dans l’observation de l’Univers, rien n’est encore certain ! Ces deux hypothèses tiennent la route et seules les observations du télescope James Webb pourront nous en dire plus.
Effectivement, le télescope est capable d’analyser l’atmosphère des exoplanètes, comme il l’a prouvé avec l’exoplanète Wasp 39-b. Je te rappelle que James Webb a démontré la présence de CO2 dans l’atmosphère de Wasp 39-b, une planète gazeuse et chaude située à 700 années-lumière de nous dans la Constellation de la Vierge. Le principe est assez simple : lorsque l’exoplanète passe devant son étoile, la lumière de l’étoile va traverser son atmosphère. Les scientifiques pourront alors étudier le spectre de la lumière, notamment les raies d’absorption, des sortes de trous qui sont causés par les gaz que la lumière a traversés avant d’arriver jusqu’à nous. Chaque gaz possède ses propres raies d’absorption. Rien qu’en étudiant le spectre de la lumière de K2-18 traversant l’atmosphère de K2-18 b, les astrophysiciens pourront ainsi déterminer quels gaz sont présents et en quelles proportions dans l’atmosphère de cette exoplanète.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:04 - Voyage de la Terre jusqu’au système stellaire K2-18
- 02:40 - Le système stellaire Alpha Centauri
- 08:40 - L’étoile Sirius
- 13:45 - Coconuts-2b, l’exo planète la plus proche photographiée directement
- 16:46 - WD...

🌍 Existe-t-il une planète semblable à la Terre dans l’Univers ? Comme beaucoup de monde, tu t’es certainement déjà posé cette question. Depuis plusieurs décennies maintenant, les astronomes voient au-delà du système solaire et tentent de trouver des réponses à cette question dans d’autres systèmes stellaires. K2-18 est l’un des systèmes stellaires les plus intéressants pour les astrophysiciens en quête d’une vie extraterrestre.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 K2 18b, l'exoplanète la plus prometteuse :
• Le système stellaire K2-18 abrite au moins deux exoplanètes, K2-18 b et K2-18 c, qui gravitent autour de l’étoile K2-18. Toutes deux sont plus massives que la Terre : ce sont des superterres rocheuses, avec une masse de 7 et 8,6 fois celle de la Terre.
La planète la plus proche de l’étoile K2-18 est K2-18 c. Cette superterre chaude a été découverte en 2017 et confirmée en 2018. C’est d’ailleurs en étudiant K2-18 b, qui avait été découverte plus tôt en 2015 grâce au satellite américain Kepler, que les chercheurs ont repéré le signal de K2-18 c et ont pu découvrir cette exoplanète.
K2-18 b est en effet celle qui intéresse le plus les astronomes. C’est la plus éloignée de l’étoile K2-18. Elle fait entre 6 et 10 masses de la Terre et son rayon est 2,3 fois plus grand que celui de notre planète. Elle a une période orbitale de 33 jours et une température d’équilibre d’environ -23 °C, ce qui est très proche de la température d’équilibre de la Terre de -18°C. Pour rappel, la température d’équilibre d’une planète est la température théorique de sa surface en l’absence d’atmosphère. Les astronomes pensent que K2-18 b possède toutes les caractéristiques pour posséder de l’eau liquide à sa surface, ce qui la rendrait habitable.
Sa densité semble cependant bien trop faible pour qu’il s’agisse d’une planète rocheuse. Soit K2-18b est une planète rocheuse avec de l’eau liquide en surface, soit c’est une planète recouverte d’une épaisse couche de glace. Autrement dit, il s’agit d’une superterre de type rocheux entourée d’une petite enveloppe gazeuse ou d’une mini-Neptune de type gazeux essentiellement composée d’eau et recouverte de glace. En tous les cas, K2-18 b est constituée en grande partie de constituants dits volatiles, qui forment une enveloppe fluide, avec des éléments comme l’hydrogène moléculaire, l’hélium ou l’eau. Comme souvent dans l’observation de l’Univers, rien n’est encore certain ! Ces deux hypothèses tiennent la route et seules les observations du télescope James Webb pourront nous en dire plus.
Effectivement, le télescope est capable d’analyser l’atmosphère des exoplanètes, comme il l’a prouvé avec l’exoplanète Wasp 39-b. Je te rappelle que James Webb a démontré la présence de CO2 dans l’atmosphère de Wasp 39-b, une planète gazeuse et chaude située à 700 années-lumière de nous dans la Constellation de la Vierge. Le principe est assez simple : lorsque l’exoplanète passe devant son étoile, la lumière de l’étoile va traverser son atmosphère. Les scientifiques pourront alors étudier le spectre de la lumière, notamment les raies d’absorption, des sortes de trous qui sont causés par les gaz que la lumière a traversés avant d’arriver jusqu’à nous. Chaque gaz possède ses propres raies d’absorption. Rien qu’en étudiant le spectre de la lumière de K2-18 traversant l’atmosphère de K2-18 b, les astrophysiciens pourront ainsi déterminer quels gaz sont présents et en quelles proportions dans l’atmosphère de cette exoplanète.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:04 - Voyage de la Terre jusqu’au système stellaire K2-18
- 02:40 - Le système stellaire Alpha Centauri
- 08:40 - L’étoile Sirius
- 13:45 - Coconuts-2b, l’exo planète la plus proche photographiée directement
- 16:46 - WD...

🌍 Comment s'est formée la ceinture d'astéroïdes ? Serait-ce les restes d'une planète qui s'est effondrée, il y a des milliards d'années ?
Situé entre Mars et Jupiter, la ceinture d'astéroïdes est connue des astronomes comme l'une des plus grandes collections d'objets spatiaux du système solaire. Pour de nombreux scientifiques, elle présente un intérêt scientifique considérable.
Contrairement à l'image populaire d'un flux sans fin de rochers géants, la ceinture d'astéroïdes est en grande partie vide. Les astéroïdes de la ceinture sont si rares qu'il est presque impossible d'en toucher un par accident. Néanmoins, des dizaines de milliers d'astéroïdes sont maintenant connus et leur nombre total dans la ceinture se chiffre en millions. Environ 240 d'entre eux mesurent plus de 100 km.
La forte densité d'astéroïdes fait de la ceinture une zone très active, où les collisions entre astéroïdes se produisent souvent. À la suite des collisions, ils se fendent, s'effritent ou se collent. C’est pour cette raison que le nombre d'astéroïdes change constamment.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• La ceinture d'astéroïdes est une région du système solaire, située entre les orbites de Mars et de Jupiter, occupée par un grand nombre de corps solides de forme irrégulière et de tailles diverses, beaucoup plus petits que les huit planètes du système solaire. Ces petits corps sont appelés astéroïdes ou planète mineure pour les plus gros spécimen.
Cette région est aussi souvent nommée « la ceinture principale d'astéroïdes » ou simplement « la ceinture principale », pour la distinguer des autres populations d'astéroïdes du système solaire, telles que les astéroïdes géocroiseurs et les astéroïdes troyens et pour souligner sa différence avec d'autres régions similaires, comme la ceinture de Kuiper qui se trouve au-delà de l'orbite de Neptune, ainsi que du nuage d’Oort et des amas d'objets du disque dispersé.
L'expression « ceinture d'astéroïdes » est entrée en usage au début des années 1850 grâce à Alexander Von Humboldt qui a utilisé ce terme dans son livre « Cosmos : Essai d'une description physique du Monde ».
Vu son emplacement dans le système solaire, la ceinture d’astéroïdes sert de frontière entre les planètes rocheuses intérieures et les planètes géantes extérieures.

Il est curieux de constater que même si le terme « astéroïde » a plus de deux cents ans, il n'a pas encore été formellement défini par l'Union Astronomique Internationale ou toute autre organisation scientifique. Auparavant, le terme « planètes mineures » était utilisé comme synonyme du mot « astéroïde ».
Cependant, après que l'Union Astronomique Internationale a défini pour la première fois le terme « planète » en 2006, le terme « planète mineure » a été retiré officiellement, et il a été remplacé par la catégorie « des petits corps du système solaire », qui regroupe tous les corps de forme irrégulière qui tournent autour du soleil et qui ne sont pas des planètes, des planètes naines ou leurs lunes.
Lors de l'assemblée de l'Union Astronomique Internationale de 2006, un autre évènement important a eu lieu. Cérès a été reclassée comme planète naine. Ainsi, d'un point de vue formel, le plus gros astéroïde du système solaire est devenu Vesta.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:47 - Qu’est ce que la ceinture d’astéroïdes ?
- 03:11 - Des difficultés à classer les astéroïdes
- 06:50 - Quelles sont les caractéristiques physiques de la ceinture d’astéroïdes ?
- 08:23 - Les Orbites des astéroïdes
- 09:51 - Les lacunes de Kirkwood
- 12:03 - Les collisions dans la ceinture d'astéroide
- 14:30 - De quoi la ceinture d'astéroïdes est-elle composée ?
- 23:26 -...

🌍 Comment s'est formée la ceinture d'astéroïdes ? Serait-ce les restes d'une planète qui s'est effondrée, il y a des milliards d'années ?
Situé entre Mars et Jupiter, la ceinture d'astéroïdes est connue des astronomes comme l'une des plus grandes collections d'objets spatiaux du système solaire. Pour de nombreux scientifiques, elle présente un intérêt scientifique considérable.
Contrairement à l'image populaire d'un flux sans fin de rochers géants, la ceinture d'astéroïdes est en grande partie vide. Les astéroïdes de la ceinture sont si rares qu'il est presque impossible d'en toucher un par accident. Néanmoins, des dizaines de milliers d'astéroïdes sont maintenant connus et leur nombre total dans la ceinture se chiffre en millions. Environ 240 d'entre eux mesurent plus de 100 km.
La forte densité d'astéroïdes fait de la ceinture une zone très active, où les collisions entre astéroïdes se produisent souvent. À la suite des collisions, ils se fendent, s'effritent ou se collent. C’est pour cette raison que le nombre d'astéroïdes change constamment.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• La ceinture d'astéroïdes est une région du système solaire, située entre les orbites de Mars et de Jupiter, occupée par un grand nombre de corps solides de forme irrégulière et de tailles diverses, beaucoup plus petits que les huit planètes du système solaire. Ces petits corps sont appelés astéroïdes ou planète mineure pour les plus gros spécimen.
Cette région est aussi souvent nommée « la ceinture principale d'astéroïdes » ou simplement « la ceinture principale », pour la distinguer des autres populations d'astéroïdes du système solaire, telles que les astéroïdes géocroiseurs et les astéroïdes troyens et pour souligner sa différence avec d'autres régions similaires, comme la ceinture de Kuiper qui se trouve au-delà de l'orbite de Neptune, ainsi que du nuage d’Oort et des amas d'objets du disque dispersé.
L'expression « ceinture d'astéroïdes » est entrée en usage au début des années 1850 grâce à Alexander Von Humboldt qui a utilisé ce terme dans son livre « Cosmos : Essai d'une description physique du Monde ».
Vu son emplacement dans le système solaire, la ceinture d’astéroïdes sert de frontière entre les planètes rocheuses intérieures et les planètes géantes extérieures.

Il est curieux de constater que même si le terme « astéroïde » a plus de deux cents ans, il n'a pas encore été formellement défini par l'Union Astronomique Internationale ou toute autre organisation scientifique. Auparavant, le terme « planètes mineures » était utilisé comme synonyme du mot « astéroïde ».
Cependant, après que l'Union Astronomique Internationale a défini pour la première fois le terme « planète » en 2006, le terme « planète mineure » a été retiré officiellement, et il a été remplacé par la catégorie « des petits corps du système solaire », qui regroupe tous les corps de forme irrégulière qui tournent autour du soleil et qui ne sont pas des planètes, des planètes naines ou leurs lunes.
Lors de l'assemblée de l'Union Astronomique Internationale de 2006, un autre évènement important a eu lieu. Cérès a été reclassée comme planète naine. Ainsi, d'un point de vue formel, le plus gros astéroïde du système solaire est devenu Vesta.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:47 - Qu’est ce que la ceinture d’astéroïdes ?
- 03:11 - Des difficultés à classer les astéroïdes
- 06:50 - Quelles sont les caractéristiques physiques de la ceinture d’astéroïdes ?
- 08:23 - Les Orbites des astéroïdes
- 09:51 - Les lacunes de Kirkwood
- 12:03 - Les collisions dans la ceinture d'astéroide
- 14:30 - De quoi la ceinture d'astéroïdes est-elle composée ?
- 23:26 -...

🌍 Comment s'est formée la ceinture d'astéroïdes ? Serait-ce les restes d'une planète qui s'est effondrée, il y a des milliards d'années ?
Situé entre Mars et Jupiter, la ceinture d'astéroïdes est connue des astronomes comme l'une des plus grandes collections d'objets spatiaux du système solaire. Pour de nombreux scientifiques, elle présente un intérêt scientifique considérable.
Contrairement à l'image populaire d'un flux sans fin de rochers géants, la ceinture d'astéroïdes est en grande partie vide. Les astéroïdes de la ceinture sont si rares qu'il est presque impossible d'en toucher un par accident. Néanmoins, des dizaines de milliers d'astéroïdes sont maintenant connus et leur nombre total dans la ceinture se chiffre en millions. Environ 240 d'entre eux mesurent plus de 100 km.
La forte densité d'astéroïdes fait de la ceinture une zone très active, où les collisions entre astéroïdes se produisent souvent. À la suite des collisions, ils se fendent, s'effritent ou se collent. C’est pour cette raison que le nombre d'astéroïdes change constamment.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• La ceinture d'astéroïdes est une région du système solaire, située entre les orbites de Mars et de Jupiter, occupée par un grand nombre de corps solides de forme irrégulière et de tailles diverses, beaucoup plus petits que les huit planètes du système solaire. Ces petits corps sont appelés astéroïdes ou planète mineure pour les plus gros spécimen.
Cette région est aussi souvent nommée « la ceinture principale d'astéroïdes » ou simplement « la ceinture principale », pour la distinguer des autres populations d'astéroïdes du système solaire, telles que les astéroïdes géocroiseurs et les astéroïdes troyens et pour souligner sa différence avec d'autres régions similaires, comme la ceinture de Kuiper qui se trouve au-delà de l'orbite de Neptune, ainsi que du nuage d’Oort et des amas d'objets du disque dispersé.
L'expression « ceinture d'astéroïdes » est entrée en usage au début des années 1850 grâce à Alexander Von Humboldt qui a utilisé ce terme dans son livre « Cosmos : Essai d'une description physique du Monde ».
Vu son emplacement dans le système solaire, la ceinture d’astéroïdes sert de frontière entre les planètes rocheuses intérieures et les planètes géantes extérieures.

Il est curieux de constater que même si le terme « astéroïde » a plus de deux cents ans, il n'a pas encore été formellement défini par l'Union Astronomique Internationale ou toute autre organisation scientifique. Auparavant, le terme « planètes mineures » était utilisé comme synonyme du mot « astéroïde ».
Cependant, après que l'Union Astronomique Internationale a défini pour la première fois le terme « planète » en 2006, le terme « planète mineure » a été retiré officiellement, et il a été remplacé par la catégorie « des petits corps du système solaire », qui regroupe tous les corps de forme irrégulière qui tournent autour du soleil et qui ne sont pas des planètes, des planètes naines ou leurs lunes.
Lors de l'assemblée de l'Union Astronomique Internationale de 2006, un autre évènement important a eu lieu. Cérès a été reclassée comme planète naine. Ainsi, d'un point de vue formel, le plus gros astéroïde du système solaire est devenu Vesta.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:47 - Qu’est ce que la ceinture d’astéroïdes ?
- 03:11 - Des difficultés à classer les astéroïdes
- 06:50 - Quelles sont les caractéristiques physiques de la ceinture d’astéroïdes ?
- 08:23 - Les Orbites des astéroïdes
- 09:51 - Les lacunes de Kirkwood
- 12:03 - Les collisions dans la ceinture d'astéroide
- 14:30 - De quoi la ceinture d'astéroïdes est-elle composée ?
- 23:26 -...

🌍 Comment s'est formée la ceinture d'astéroïdes ? Serait-ce les restes d'une planète qui s'est effondrée, il y a des milliards d'années ?
Situé entre Mars et Jupiter, la ceinture d'astéroïdes est connue des astronomes comme l'une des plus grandes collections d'objets spatiaux du système solaire. Pour de nombreux scientifiques, elle présente un intérêt scientifique considérable.
Contrairement à l'image populaire d'un flux sans fin de rochers géants, la ceinture d'astéroïdes est en grande partie vide. Les astéroïdes de la ceinture sont si rares qu'il est presque impossible d'en toucher un par accident. Néanmoins, des dizaines de milliers d'astéroïdes sont maintenant connus et leur nombre total dans la ceinture se chiffre en millions. Environ 240 d'entre eux mesurent plus de 100 km.
La forte densité d'astéroïdes fait de la ceinture une zone très active, où les collisions entre astéroïdes se produisent souvent. À la suite des collisions, ils se fendent, s'effritent ou se collent. C’est pour cette raison que le nombre d'astéroïdes change constamment.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• La ceinture d'astéroïdes est une région du système solaire, située entre les orbites de Mars et de Jupiter, occupée par un grand nombre de corps solides de forme irrégulière et de tailles diverses, beaucoup plus petits que les huit planètes du système solaire. Ces petits corps sont appelés astéroïdes ou planète mineure pour les plus gros spécimen.
Cette région est aussi souvent nommée « la ceinture principale d'astéroïdes » ou simplement « la ceinture principale », pour la distinguer des autres populations d'astéroïdes du système solaire, telles que les astéroïdes géocroiseurs et les astéroïdes troyens et pour souligner sa différence avec d'autres régions similaires, comme la ceinture de Kuiper qui se trouve au-delà de l'orbite de Neptune, ainsi que du nuage d’Oort et des amas d'objets du disque dispersé.
L'expression « ceinture d'astéroïdes » est entrée en usage au début des années 1850 grâce à Alexander Von Humboldt qui a utilisé ce terme dans son livre « Cosmos : Essai d'une description physique du Monde ».
Vu son emplacement dans le système solaire, la ceinture d’astéroïdes sert de frontière entre les planètes rocheuses intérieures et les planètes géantes extérieures.

Il est curieux de constater que même si le terme « astéroïde » a plus de deux cents ans, il n'a pas encore été formellement défini par l'Union Astronomique Internationale ou toute autre organisation scientifique. Auparavant, le terme « planètes mineures » était utilisé comme synonyme du mot « astéroïde ».
Cependant, après que l'Union Astronomique Internationale a défini pour la première fois le terme « planète » en 2006, le terme « planète mineure » a été retiré officiellement, et il a été remplacé par la catégorie « des petits corps du système solaire », qui regroupe tous les corps de forme irrégulière qui tournent autour du soleil et qui ne sont pas des planètes, des planètes naines ou leurs lunes.
Lors de l'assemblée de l'Union Astronomique Internationale de 2006, un autre évènement important a eu lieu. Cérès a été reclassée comme planète naine. Ainsi, d'un point de vue formel, le plus gros astéroïde du système solaire est devenu Vesta.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:47 - Qu’est ce que la ceinture d’astéroïdes ?
- 03:11 - Des difficultés à classer les astéroïdes
- 06:50 - Quelles sont les caractéristiques physiques de la ceinture d’astéroïdes ?
- 08:23 - Les Orbites des astéroïdes
- 09:51 - Les lacunes de Kirkwood
- 12:03 - Les collisions dans la ceinture d'astéroide
- 14:30 - De quoi la ceinture d'astéroïdes est-elle composée ?
- 23:26 -...

🌍 Comment s'est formée la ceinture d'astéroïdes ? Serait-ce les restes d'une planète qui s'est effondrée, il y a des milliards d'années ?
Situé entre Mars et Jupiter, la ceinture d'astéroïdes est connue des astronomes comme l'une des plus grandes collections d'objets spatiaux du système solaire. Pour de nombreux scientifiques, elle présente un intérêt scientifique considérable.
Contrairement à l'image populaire d'un flux sans fin de rochers géants, la ceinture d'astéroïdes est en grande partie vide. Les astéroïdes de la ceinture sont si rares qu'il est presque impossible d'en toucher un par accident. Néanmoins, des dizaines de milliers d'astéroïdes sont maintenant connus et leur nombre total dans la ceinture se chiffre en millions. Environ 240 d'entre eux mesurent plus de 100 km.
La forte densité d'astéroïdes fait de la ceinture une zone très active, où les collisions entre astéroïdes se produisent souvent. À la suite des collisions, ils se fendent, s'effritent ou se collent. C’est pour cette raison que le nombre d'astéroïdes change constamment.



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• La ceinture d'astéroïdes est une région du système solaire, située entre les orbites de Mars et de Jupiter, occupée par un grand nombre de corps solides de forme irrégulière et de tailles diverses, beaucoup plus petits que les huit planètes du système solaire. Ces petits corps sont appelés astéroïdes ou planète mineure pour les plus gros spécimen.
Cette région est aussi souvent nommée « la ceinture principale d'astéroïdes » ou simplement « la ceinture principale », pour la distinguer des autres populations d'astéroïdes du système solaire, telles que les astéroïdes géocroiseurs et les astéroïdes troyens et pour souligner sa différence avec d'autres régions similaires, comme la ceinture de Kuiper qui se trouve au-delà de l'orbite de Neptune, ainsi que du nuage d’Oort et des amas d'objets du disque dispersé.
L'expression « ceinture d'astéroïdes » est entrée en usage au début des années 1850 grâce à Alexander Von Humboldt qui a utilisé ce terme dans son livre « Cosmos : Essai d'une description physique du Monde ».
Vu son emplacement dans le système solaire, la ceinture d’astéroïdes sert de frontière entre les planètes rocheuses intérieures et les planètes géantes extérieures.

Il est curieux de constater que même si le terme « astéroïde » a plus de deux cents ans, il n'a pas encore été formellement défini par l'Union Astronomique Internationale ou toute autre organisation scientifique. Auparavant, le terme « planètes mineures » était utilisé comme synonyme du mot « astéroïde ».
Cependant, après que l'Union Astronomique Internationale a défini pour la première fois le terme « planète » en 2006, le terme « planète mineure » a été retiré officiellement, et il a été remplacé par la catégorie « des petits corps du système solaire », qui regroupe tous les corps de forme irrégulière qui tournent autour du soleil et qui ne sont pas des planètes, des planètes naines ou leurs lunes.
Lors de l'assemblée de l'Union Astronomique Internationale de 2006, un autre évènement important a eu lieu. Cérès a été reclassée comme planète naine. Ainsi, d'un point de vue formel, le plus gros astéroïde du système solaire est devenu Vesta.




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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:47 - Qu’est ce que la ceinture d’astéroïdes ?
- 03:11 - Des difficultés à classer les astéroïdes
- 06:50 - Quelles sont les caractéristiques physiques de la ceinture d’astéroïdes ?
- 08:23 - Les Orbites des astéroïdes
- 09:51 - Les lacunes de Kirkwood
- 12:03 - Les collisions dans la ceinture d'astéroide
- 14:30 - De quoi la ceinture d'astéroïdes est-elle composée ?
- 23:26 -...

🌍 A quoi ressemble les autres galaxies de l’univers ? Sont-elles si différentes de la nôtre ?
Et si nous partions explorer les galaxies les plus proches de la Voie Lactée, plus particulièrement celles qui font partie du Groupe Local.
Des galaxies lointaines à notre échelle, et pourtant si proches de la nôtre, telles que la galaxie d’Andromède, la galaxie de Triangle ou encore la galaxie de la Grande Nuée de Magellan. Mais tant d’autres objets galactiques, qui, bien que de taille très modeste, jouent un rôle fondamental dans notre compréhension de l’Univers.
Quelle est la composition de ces galaxies ? Quelle est leur histoire ou encore leur évolution future ?



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage à la découverte des autres galaxies :
• La Galaxie d’Andromède, avec ses 1000 milliards d’étoiles, est souvent considérée comme la sœur jumelle de notre Voie Lactée. Mesurant 220 000 années-lumière de diamètre, Messier 31 est un immense objet céleste, le plus éloigné de la Terre qui puisse être observé à l’œil nu sous un ciel clément, même s’il est distant de 2,5 millions d’années-lumière. Les premières observations de cette tache lumineuse remontent à la nuit des temps, mais les premiers écrits les rapportant datent de 964 ; on les doit à Al-Soufi un astronome perse.
On reconnaît facilement la galaxie d’Andromède, située dans la constellation de même nom, à sa forme ovale et diffuse avec son cœur brillant. Ce dernier, de couleur jaune, contraste avec les bandes de poussières sombres et les larges bras qui tracent leur chemin tout autour. Voici une galaxie de type spirale, la plus proche de notre Galaxie, qui nous offre un spectacle époustouflant. Dans ses méandres, on peut apercevoir des amas d’étoiles bleues, mais également des nébuleuses de couleur rougeâtre. La masse totale de la Galaxie d’Andromède, estimée à 1 230 milliards de masses solaires, contre 1 900 milliards de masses solaires pour la Voie Lactée, ne l’empêche pourtant pas de contenir un nombre considérable d’étoiles en plus. Elle abrite au cœur de ses entrailles un trou noir supermassif estimé à 140 millions de masses solaires, qui se veut bien plus important que celui de notre Galaxie qui lui est estimé à, si l’on peut dire, seulement 4 millions de masses solaires.

Commençons par observer le Grand Nuage de Magellan qui est une galaxie naine de type spirale barrée. Il est situé dans les constellations de la Dorade et de la Table. Sa forme en disque se caractérise par la présence d’un bras spiral unique et d’une grande barre qui ont été découverts longtemps après la galaxie elle-même, ce qui explique qu’elle a été cataloguée en premier lieu comme une galaxie irrégulière. Le Grand Nuage de Magellan est distant de 163 000 années-lumière de notre système solaire, mais surtout, il occupe la 4ᵉ position dans le Groupe Local en termes de masse, après la galaxie d’Andromède, la Voie Lactée et la galaxie du Triangle. Plusieurs centaines de milliers d’étoiles géantes et supergéantes y sont recensées, ainsi que 60 amas globulaires, 400 nébuleuses planétaires et 700 amas ouverts…


-------------------------


🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:50 - Les principaux membres du Groupe Local
- 02:15 - Le Trio M31, M32 et M110
- 06:30 - Les galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe d’Andromède
- 08:58 - Les Nuages de Magellan
- 15:09 - La Galaxie du Triangle - M33
- 18:43 - NGC 185 et NGC 147
- 21:30 - La Galaxie de Barnard - NGC 6822
- 22:53 - IC 1613
- 24:46 - Les Galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe de la Voie lactée
- 25:08 - Antlia 2
- 28:02 - La galaxie naine du Sagittaire
- 30:06 - La Galaxie naine du Dragon - UGC 10822
- 32:20 - La galaxie Petite Ourse - UGC 9749
- 33:39 - La Galaxie naine du...

🌍 A quoi ressemble les autres galaxies de l’univers ? Sont-elles si différentes de la nôtre ?
Et si nous partions explorer les galaxies les plus proches de la Voie Lactée, plus particulièrement celles qui font partie du Groupe Local.
Des galaxies lointaines à notre échelle, et pourtant si proches de la nôtre, telles que la galaxie d’Andromède, la galaxie de Triangle ou encore la galaxie de la Grande Nuée de Magellan. Mais tant d’autres objets galactiques, qui, bien que de taille très modeste, jouent un rôle fondamental dans notre compréhension de l’Univers.
Quelle est la composition de ces galaxies ? Quelle est leur histoire ou encore leur évolution future ?



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage à la découverte des autres galaxies :
• La Galaxie d’Andromède, avec ses 1000 milliards d’étoiles, est souvent considérée comme la sœur jumelle de notre Voie Lactée. Mesurant 220 000 années-lumière de diamètre, Messier 31 est un immense objet céleste, le plus éloigné de la Terre qui puisse être observé à l’œil nu sous un ciel clément, même s’il est distant de 2,5 millions d’années-lumière. Les premières observations de cette tache lumineuse remontent à la nuit des temps, mais les premiers écrits les rapportant datent de 964 ; on les doit à Al-Soufi un astronome perse.
On reconnaît facilement la galaxie d’Andromède, située dans la constellation de même nom, à sa forme ovale et diffuse avec son cœur brillant. Ce dernier, de couleur jaune, contraste avec les bandes de poussières sombres et les larges bras qui tracent leur chemin tout autour. Voici une galaxie de type spirale, la plus proche de notre Galaxie, qui nous offre un spectacle époustouflant. Dans ses méandres, on peut apercevoir des amas d’étoiles bleues, mais également des nébuleuses de couleur rougeâtre. La masse totale de la Galaxie d’Andromède, estimée à 1 230 milliards de masses solaires, contre 1 900 milliards de masses solaires pour la Voie Lactée, ne l’empêche pourtant pas de contenir un nombre considérable d’étoiles en plus. Elle abrite au cœur de ses entrailles un trou noir supermassif estimé à 140 millions de masses solaires, qui se veut bien plus important que celui de notre Galaxie qui lui est estimé à, si l’on peut dire, seulement 4 millions de masses solaires.

Commençons par observer le Grand Nuage de Magellan qui est une galaxie naine de type spirale barrée. Il est situé dans les constellations de la Dorade et de la Table. Sa forme en disque se caractérise par la présence d’un bras spiral unique et d’une grande barre qui ont été découverts longtemps après la galaxie elle-même, ce qui explique qu’elle a été cataloguée en premier lieu comme une galaxie irrégulière. Le Grand Nuage de Magellan est distant de 163 000 années-lumière de notre système solaire, mais surtout, il occupe la 4ᵉ position dans le Groupe Local en termes de masse, après la galaxie d’Andromède, la Voie Lactée et la galaxie du Triangle. Plusieurs centaines de milliers d’étoiles géantes et supergéantes y sont recensées, ainsi que 60 amas globulaires, 400 nébuleuses planétaires et 700 amas ouverts…


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🎬 Au programme aujourd'hui:
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- 01:50 - Les principaux membres du Groupe Local
- 02:15 - Le Trio M31, M32 et M110
- 06:30 - Les galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe d’Andromède
- 08:58 - Les Nuages de Magellan
- 15:09 - La Galaxie du Triangle - M33
- 18:43 - NGC 185 et NGC 147
- 21:30 - La Galaxie de Barnard - NGC 6822
- 22:53 - IC 1613
- 24:46 - Les Galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe de la Voie lactée
- 25:08 - Antlia 2
- 28:02 - La galaxie naine du Sagittaire
- 30:06 - La Galaxie naine du Dragon - UGC 10822
- 32:20 - La galaxie Petite Ourse - UGC 9749
- 33:39 - La Galaxie naine du...

🌍 A quoi ressemble les autres galaxies de l’univers ? Sont-elles si différentes de la nôtre ?
Et si nous partions explorer les galaxies les plus proches de la Voie Lactée, plus particulièrement celles qui font partie du Groupe Local.
Des galaxies lointaines à notre échelle, et pourtant si proches de la nôtre, telles que la galaxie d’Andromède, la galaxie de Triangle ou encore la galaxie de la Grande Nuée de Magellan. Mais tant d’autres objets galactiques, qui, bien que de taille très modeste, jouent un rôle fondamental dans notre compréhension de l’Univers.
Quelle est la composition de ces galaxies ? Quelle est leur histoire ou encore leur évolution future ?



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage à la découverte des autres galaxies :
• La Galaxie d’Andromède, avec ses 1000 milliards d’étoiles, est souvent considérée comme la sœur jumelle de notre Voie Lactée. Mesurant 220 000 années-lumière de diamètre, Messier 31 est un immense objet céleste, le plus éloigné de la Terre qui puisse être observé à l’œil nu sous un ciel clément, même s’il est distant de 2,5 millions d’années-lumière. Les premières observations de cette tache lumineuse remontent à la nuit des temps, mais les premiers écrits les rapportant datent de 964 ; on les doit à Al-Soufi un astronome perse.
On reconnaît facilement la galaxie d’Andromède, située dans la constellation de même nom, à sa forme ovale et diffuse avec son cœur brillant. Ce dernier, de couleur jaune, contraste avec les bandes de poussières sombres et les larges bras qui tracent leur chemin tout autour. Voici une galaxie de type spirale, la plus proche de notre Galaxie, qui nous offre un spectacle époustouflant. Dans ses méandres, on peut apercevoir des amas d’étoiles bleues, mais également des nébuleuses de couleur rougeâtre. La masse totale de la Galaxie d’Andromède, estimée à 1 230 milliards de masses solaires, contre 1 900 milliards de masses solaires pour la Voie Lactée, ne l’empêche pourtant pas de contenir un nombre considérable d’étoiles en plus. Elle abrite au cœur de ses entrailles un trou noir supermassif estimé à 140 millions de masses solaires, qui se veut bien plus important que celui de notre Galaxie qui lui est estimé à, si l’on peut dire, seulement 4 millions de masses solaires.

Commençons par observer le Grand Nuage de Magellan qui est une galaxie naine de type spirale barrée. Il est situé dans les constellations de la Dorade et de la Table. Sa forme en disque se caractérise par la présence d’un bras spiral unique et d’une grande barre qui ont été découverts longtemps après la galaxie elle-même, ce qui explique qu’elle a été cataloguée en premier lieu comme une galaxie irrégulière. Le Grand Nuage de Magellan est distant de 163 000 années-lumière de notre système solaire, mais surtout, il occupe la 4ᵉ position dans le Groupe Local en termes de masse, après la galaxie d’Andromède, la Voie Lactée et la galaxie du Triangle. Plusieurs centaines de milliers d’étoiles géantes et supergéantes y sont recensées, ainsi que 60 amas globulaires, 400 nébuleuses planétaires et 700 amas ouverts…


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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:50 - Les principaux membres du Groupe Local
- 02:15 - Le Trio M31, M32 et M110
- 06:30 - Les galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe d’Andromède
- 08:58 - Les Nuages de Magellan
- 15:09 - La Galaxie du Triangle - M33
- 18:43 - NGC 185 et NGC 147
- 21:30 - La Galaxie de Barnard - NGC 6822
- 22:53 - IC 1613
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🌍 A quoi ressemble les autres galaxies de l’univers ? Sont-elles si différentes de la nôtre ?
Et si nous partions explorer les galaxies les plus proches de la Voie Lactée, plus particulièrement celles qui font partie du Groupe Local.
Des galaxies lointaines à notre échelle, et pourtant si proches de la nôtre, telles que la galaxie d’Andromède, la galaxie de Triangle ou encore la galaxie de la Grande Nuée de Magellan. Mais tant d’autres objets galactiques, qui, bien que de taille très modeste, jouent un rôle fondamental dans notre compréhension de l’Univers.
Quelle est la composition de ces galaxies ? Quelle est leur histoire ou encore leur évolution future ?



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage à la découverte des autres galaxies :
• La Galaxie d’Andromède, avec ses 1000 milliards d’étoiles, est souvent considérée comme la sœur jumelle de notre Voie Lactée. Mesurant 220 000 années-lumière de diamètre, Messier 31 est un immense objet céleste, le plus éloigné de la Terre qui puisse être observé à l’œil nu sous un ciel clément, même s’il est distant de 2,5 millions d’années-lumière. Les premières observations de cette tache lumineuse remontent à la nuit des temps, mais les premiers écrits les rapportant datent de 964 ; on les doit à Al-Soufi un astronome perse.
On reconnaît facilement la galaxie d’Andromède, située dans la constellation de même nom, à sa forme ovale et diffuse avec son cœur brillant. Ce dernier, de couleur jaune, contraste avec les bandes de poussières sombres et les larges bras qui tracent leur chemin tout autour. Voici une galaxie de type spirale, la plus proche de notre Galaxie, qui nous offre un spectacle époustouflant. Dans ses méandres, on peut apercevoir des amas d’étoiles bleues, mais également des nébuleuses de couleur rougeâtre. La masse totale de la Galaxie d’Andromède, estimée à 1 230 milliards de masses solaires, contre 1 900 milliards de masses solaires pour la Voie Lactée, ne l’empêche pourtant pas de contenir un nombre considérable d’étoiles en plus. Elle abrite au cœur de ses entrailles un trou noir supermassif estimé à 140 millions de masses solaires, qui se veut bien plus important que celui de notre Galaxie qui lui est estimé à, si l’on peut dire, seulement 4 millions de masses solaires.

Commençons par observer le Grand Nuage de Magellan qui est une galaxie naine de type spirale barrée. Il est situé dans les constellations de la Dorade et de la Table. Sa forme en disque se caractérise par la présence d’un bras spiral unique et d’une grande barre qui ont été découverts longtemps après la galaxie elle-même, ce qui explique qu’elle a été cataloguée en premier lieu comme une galaxie irrégulière. Le Grand Nuage de Magellan est distant de 163 000 années-lumière de notre système solaire, mais surtout, il occupe la 4ᵉ position dans le Groupe Local en termes de masse, après la galaxie d’Andromède, la Voie Lactée et la galaxie du Triangle. Plusieurs centaines de milliers d’étoiles géantes et supergéantes y sont recensées, ainsi que 60 amas globulaires, 400 nébuleuses planétaires et 700 amas ouverts…


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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:50 - Les principaux membres du Groupe Local
- 02:15 - Le Trio M31, M32 et M110
- 06:30 - Les galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe d’Andromède
- 08:58 - Les Nuages de Magellan
- 15:09 - La Galaxie du Triangle - M33
- 18:43 - NGC 185 et NGC 147
- 21:30 - La Galaxie de Barnard - NGC 6822
- 22:53 - IC 1613
- 24:46 - Les Galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe de la Voie lactée
- 25:08 - Antlia 2
- 28:02 - La galaxie naine du Sagittaire
- 30:06 - La Galaxie naine du Dragon - UGC 10822
- 32:20 - La galaxie Petite Ourse - UGC 9749
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🌍 A quoi ressemble les autres galaxies de l’univers ? Sont-elles si différentes de la nôtre ?
Et si nous partions explorer les galaxies les plus proches de la Voie Lactée, plus particulièrement celles qui font partie du Groupe Local.
Des galaxies lointaines à notre échelle, et pourtant si proches de la nôtre, telles que la galaxie d’Andromède, la galaxie de Triangle ou encore la galaxie de la Grande Nuée de Magellan. Mais tant d’autres objets galactiques, qui, bien que de taille très modeste, jouent un rôle fondamental dans notre compréhension de l’Univers.
Quelle est la composition de ces galaxies ? Quelle est leur histoire ou encore leur évolution future ?



🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage à la découverte des autres galaxies :
• La Galaxie d’Andromède, avec ses 1000 milliards d’étoiles, est souvent considérée comme la sœur jumelle de notre Voie Lactée. Mesurant 220 000 années-lumière de diamètre, Messier 31 est un immense objet céleste, le plus éloigné de la Terre qui puisse être observé à l’œil nu sous un ciel clément, même s’il est distant de 2,5 millions d’années-lumière. Les premières observations de cette tache lumineuse remontent à la nuit des temps, mais les premiers écrits les rapportant datent de 964 ; on les doit à Al-Soufi un astronome perse.
On reconnaît facilement la galaxie d’Andromède, située dans la constellation de même nom, à sa forme ovale et diffuse avec son cœur brillant. Ce dernier, de couleur jaune, contraste avec les bandes de poussières sombres et les larges bras qui tracent leur chemin tout autour. Voici une galaxie de type spirale, la plus proche de notre Galaxie, qui nous offre un spectacle époustouflant. Dans ses méandres, on peut apercevoir des amas d’étoiles bleues, mais également des nébuleuses de couleur rougeâtre. La masse totale de la Galaxie d’Andromède, estimée à 1 230 milliards de masses solaires, contre 1 900 milliards de masses solaires pour la Voie Lactée, ne l’empêche pourtant pas de contenir un nombre considérable d’étoiles en plus. Elle abrite au cœur de ses entrailles un trou noir supermassif estimé à 140 millions de masses solaires, qui se veut bien plus important que celui de notre Galaxie qui lui est estimé à, si l’on peut dire, seulement 4 millions de masses solaires.

Commençons par observer le Grand Nuage de Magellan qui est une galaxie naine de type spirale barrée. Il est situé dans les constellations de la Dorade et de la Table. Sa forme en disque se caractérise par la présence d’un bras spiral unique et d’une grande barre qui ont été découverts longtemps après la galaxie elle-même, ce qui explique qu’elle a été cataloguée en premier lieu comme une galaxie irrégulière. Le Grand Nuage de Magellan est distant de 163 000 années-lumière de notre système solaire, mais surtout, il occupe la 4ᵉ position dans le Groupe Local en termes de masse, après la galaxie d’Andromède, la Voie Lactée et la galaxie du Triangle. Plusieurs centaines de milliers d’étoiles géantes et supergéantes y sont recensées, ainsi que 60 amas globulaires, 400 nébuleuses planétaires et 700 amas ouverts…


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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:50 - Les principaux membres du Groupe Local
- 02:15 - Le Trio M31, M32 et M110
- 06:30 - Les galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe d’Andromède
- 08:58 - Les Nuages de Magellan
- 15:09 - La Galaxie du Triangle - M33
- 18:43 - NGC 185 et NGC 147
- 21:30 - La Galaxie de Barnard - NGC 6822
- 22:53 - IC 1613
- 24:46 - Les Galaxies naines sphéroïdales du sous-groupe de la Voie lactée
- 25:08 - Antlia 2
- 28:02 - La galaxie naine du Sagittaire
- 30:06 - La Galaxie naine du Dragon - UGC 10822
- 32:20 - La galaxie Petite Ourse - UGC 9749
- 33:39 - La Galaxie naine du...

🌍 D'où venons -nous ?
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Moteurs de réflexion puissants, ces questions répondent à un besoin viscéral de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure.
Notre planète, la Terre, est une planète semblable aux autres. Comme les autres elle est unique. Les planètes partagent une partie de leur histoire mais ont ensuite évoluer différemment développant des individualités propres. La Terre est la seule planète connue à abriter la vie. Parmi tous les organismes qui s'y sont succédés, l'un d'eux à démontrer qu'il avait une forte capacité à maîtriser son environnement et à l'adapter à ses besoins : l'Homme.

L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur ces questions dans le but de comprendre la Terre. Mais peut-on réellement prétendre connaître la Terre alors que tant d'interprétations et d'incertitudes entrent en jeu ? L'Homme étudie le sujet, au début à travers la philosophie, puis par la géologie. L'étude de la lithosphère révèle une quantité d'informations étonnantes nous permettant de remonter jusqu'à sa formation. Aujourd'hui, une histoire de la Terre depuis sa naissance est écrite, mais le scénario n'est pas figé et continuera d'évoluer au fil des découvertes. Son apparence n'a pas toujours été celle de la belle planète bleue calme et paisible. Sa naissance et sa « petite enfance » se déroulent dans le chaos, un enfer sans précédent dans lequel règne une chaleur inimaginable.
Comment a-t-elle évolué jusqu'à devenir la Terre comme nous la connaissons aujourd'hui ?
A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ?

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


-------------------------

💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ? :
• La Terre a jusque-là offert un paysage désolé. Les coulées de lave des volcans ont dévalé ses flancs. Désormais immobiles, elles craquent encore mais se figent lentement. Des lacs de boue de couleur jaune, bleue ou encore grise bouillonnent. La chaleur qui vient des entrailles de la Terre éclate à la surface de ces boues en bulles épaisses. Lorsque les premiers volcans apparaissent à la surface de la Terre, ils se contractent en des éruptions extraordinairement violentes avant de se refroidir et d'édifier des montagnes gigantesques faites de cendres et de lave. Au fil des ans, ces roches évoluent en boue et en argile sous l'action du vent et de la pluie. Les débris sont entraînés par des torrents et acheminés vers la mer, puis s'accumulent et forment des schistes et des grès. Dans le même temps, les continents, continuellement en mouvement, se déplacent. Lorsqu'ils se rencontrent, les sédiments aux alentours sont entraînés et comprimés jusqu'à dresser de nouvelles chaînes de montagnes. Au fur et à mesure des cycles géologiques, les volcans entrent en éruption, puis s'éteignent et la vie prolifère alors dans les fonds marins. La Terre ferme quant à elle demeurait stérile. Jusqu'au jour où...

Quatre grands continents demeurent : Laurentia, Baltica, Sibéria et le Gondwana. Ils sont en phase de dérive. Faisant face à Laurentia, la marge du Gondwana commence à s'émietter en plusieurs petits continents, dont le premier individualisé est Avalonia. Son éloignement diminue l'océan Iapetus et ouvre l'océan Rhéique. C'est le début de l'orogenèse calédonienne.


-------------------------


🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:45 - La Terre il y a 500 millions d'années
- 03:48 - Les premières colonies sur la terre ferme
- 08:26 - Le visage de la Terre il y a 460 millions d'années
- 16:23 - La première grande crise du vivant : l'extinction Ordovicien-Silurien
- 24:55 - L'apparition des insectes il y a 425 millions d'années
- 26:48 - Fin de l'orogenèse calédonienne
- 27:16 - Des innovations dans...

🌍 D'où venons -nous ?
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Moteurs de réflexion puissants, ces questions répondent à un besoin viscéral de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure.
Notre planète, la Terre, est une planète semblable aux autres. Comme les autres elle est unique. Les planètes partagent une partie de leur histoire mais ont ensuite évoluer différemment développant des individualités propres. La Terre est la seule planète connue à abriter la vie. Parmi tous les organismes qui s'y sont succédés, l'un d'eux à démontrer qu'il avait une forte capacité à maîtriser son environnement et à l'adapter à ses besoins : l'Homme.

L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur ces questions dans le but de comprendre la Terre. Mais peut-on réellement prétendre connaître la Terre alors que tant d'interprétations et d'incertitudes entrent en jeu ? L'Homme étudie le sujet, au début à travers la philosophie, puis par la géologie. L'étude de la lithosphère révèle une quantité d'informations étonnantes nous permettant de remonter jusqu'à sa formation. Aujourd'hui, une histoire de la Terre depuis sa naissance est écrite, mais le scénario n'est pas figé et continuera d'évoluer au fil des découvertes. Son apparence n'a pas toujours été celle de la belle planète bleue calme et paisible. Sa naissance et sa « petite enfance » se déroulent dans le chaos, un enfer sans précédent dans lequel règne une chaleur inimaginable.
Comment a-t-elle évolué jusqu'à devenir la Terre comme nous la connaissons aujourd'hui ?
A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ?

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ? :
• La Terre a jusque-là offert un paysage désolé. Les coulées de lave des volcans ont dévalé ses flancs. Désormais immobiles, elles craquent encore mais se figent lentement. Des lacs de boue de couleur jaune, bleue ou encore grise bouillonnent. La chaleur qui vient des entrailles de la Terre éclate à la surface de ces boues en bulles épaisses. Lorsque les premiers volcans apparaissent à la surface de la Terre, ils se contractent en des éruptions extraordinairement violentes avant de se refroidir et d'édifier des montagnes gigantesques faites de cendres et de lave. Au fil des ans, ces roches évoluent en boue et en argile sous l'action du vent et de la pluie. Les débris sont entraînés par des torrents et acheminés vers la mer, puis s'accumulent et forment des schistes et des grès. Dans le même temps, les continents, continuellement en mouvement, se déplacent. Lorsqu'ils se rencontrent, les sédiments aux alentours sont entraînés et comprimés jusqu'à dresser de nouvelles chaînes de montagnes. Au fur et à mesure des cycles géologiques, les volcans entrent en éruption, puis s'éteignent et la vie prolifère alors dans les fonds marins. La Terre ferme quant à elle demeurait stérile. Jusqu'au jour où...

Quatre grands continents demeurent : Laurentia, Baltica, Sibéria et le Gondwana. Ils sont en phase de dérive. Faisant face à Laurentia, la marge du Gondwana commence à s'émietter en plusieurs petits continents, dont le premier individualisé est Avalonia. Son éloignement diminue l'océan Iapetus et ouvre l'océan Rhéique. C'est le début de l'orogenèse calédonienne.


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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:45 - La Terre il y a 500 millions d'années
- 03:48 - Les premières colonies sur la terre ferme
- 08:26 - Le visage de la Terre il y a 460 millions d'années
- 16:23 - La première grande crise du vivant : l'extinction Ordovicien-Silurien
- 24:55 - L'apparition des insectes il y a 425 millions d'années
- 26:48 - Fin de l'orogenèse calédonienne
- 27:16 - Des innovations dans...

🌍 D'où venons -nous ?
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Moteurs de réflexion puissants, ces questions répondent à un besoin viscéral de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure.
Notre planète, la Terre, est une planète semblable aux autres. Comme les autres elle est unique. Les planètes partagent une partie de leur histoire mais ont ensuite évoluer différemment développant des individualités propres. La Terre est la seule planète connue à abriter la vie. Parmi tous les organismes qui s'y sont succédés, l'un d'eux à démontrer qu'il avait une forte capacité à maîtriser son environnement et à l'adapter à ses besoins : l'Homme.

L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur ces questions dans le but de comprendre la Terre. Mais peut-on réellement prétendre connaître la Terre alors que tant d'interprétations et d'incertitudes entrent en jeu ? L'Homme étudie le sujet, au début à travers la philosophie, puis par la géologie. L'étude de la lithosphère révèle une quantité d'informations étonnantes nous permettant de remonter jusqu'à sa formation. Aujourd'hui, une histoire de la Terre depuis sa naissance est écrite, mais le scénario n'est pas figé et continuera d'évoluer au fil des découvertes. Son apparence n'a pas toujours été celle de la belle planète bleue calme et paisible. Sa naissance et sa « petite enfance » se déroulent dans le chaos, un enfer sans précédent dans lequel règne une chaleur inimaginable.
Comment a-t-elle évolué jusqu'à devenir la Terre comme nous la connaissons aujourd'hui ?
A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ?

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ? :
• La Terre a jusque-là offert un paysage désolé. Les coulées de lave des volcans ont dévalé ses flancs. Désormais immobiles, elles craquent encore mais se figent lentement. Des lacs de boue de couleur jaune, bleue ou encore grise bouillonnent. La chaleur qui vient des entrailles de la Terre éclate à la surface de ces boues en bulles épaisses. Lorsque les premiers volcans apparaissent à la surface de la Terre, ils se contractent en des éruptions extraordinairement violentes avant de se refroidir et d'édifier des montagnes gigantesques faites de cendres et de lave. Au fil des ans, ces roches évoluent en boue et en argile sous l'action du vent et de la pluie. Les débris sont entraînés par des torrents et acheminés vers la mer, puis s'accumulent et forment des schistes et des grès. Dans le même temps, les continents, continuellement en mouvement, se déplacent. Lorsqu'ils se rencontrent, les sédiments aux alentours sont entraînés et comprimés jusqu'à dresser de nouvelles chaînes de montagnes. Au fur et à mesure des cycles géologiques, les volcans entrent en éruption, puis s'éteignent et la vie prolifère alors dans les fonds marins. La Terre ferme quant à elle demeurait stérile. Jusqu'au jour où...

Quatre grands continents demeurent : Laurentia, Baltica, Sibéria et le Gondwana. Ils sont en phase de dérive. Faisant face à Laurentia, la marge du Gondwana commence à s'émietter en plusieurs petits continents, dont le premier individualisé est Avalonia. Son éloignement diminue l'océan Iapetus et ouvre l'océan Rhéique. C'est le début de l'orogenèse calédonienne.


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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:45 - La Terre il y a 500 millions d'années
- 03:48 - Les premières colonies sur la terre ferme
- 08:26 - Le visage de la Terre il y a 460 millions d'années
- 16:23 - La première grande crise du vivant : l'extinction Ordovicien-Silurien
- 24:55 - L'apparition des insectes il y a 425 millions d'années
- 26:48 - Fin de l'orogenèse calédonienne
- 27:16 - Des innovations dans...

🌍 D'où venons -nous ?
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Moteurs de réflexion puissants, ces questions répondent à un besoin viscéral de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure.
Notre planète, la Terre, est une planète semblable aux autres. Comme les autres elle est unique. Les planètes partagent une partie de leur histoire mais ont ensuite évoluer différemment développant des individualités propres. La Terre est la seule planète connue à abriter la vie. Parmi tous les organismes qui s'y sont succédés, l'un d'eux à démontrer qu'il avait une forte capacité à maîtriser son environnement et à l'adapter à ses besoins : l'Homme.

L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur ces questions dans le but de comprendre la Terre. Mais peut-on réellement prétendre connaître la Terre alors que tant d'interprétations et d'incertitudes entrent en jeu ? L'Homme étudie le sujet, au début à travers la philosophie, puis par la géologie. L'étude de la lithosphère révèle une quantité d'informations étonnantes nous permettant de remonter jusqu'à sa formation. Aujourd'hui, une histoire de la Terre depuis sa naissance est écrite, mais le scénario n'est pas figé et continuera d'évoluer au fil des découvertes. Son apparence n'a pas toujours été celle de la belle planète bleue calme et paisible. Sa naissance et sa « petite enfance » se déroulent dans le chaos, un enfer sans précédent dans lequel règne une chaleur inimaginable.
Comment a-t-elle évolué jusqu'à devenir la Terre comme nous la connaissons aujourd'hui ?
A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ?

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ? :
• La Terre a jusque-là offert un paysage désolé. Les coulées de lave des volcans ont dévalé ses flancs. Désormais immobiles, elles craquent encore mais se figent lentement. Des lacs de boue de couleur jaune, bleue ou encore grise bouillonnent. La chaleur qui vient des entrailles de la Terre éclate à la surface de ces boues en bulles épaisses. Lorsque les premiers volcans apparaissent à la surface de la Terre, ils se contractent en des éruptions extraordinairement violentes avant de se refroidir et d'édifier des montagnes gigantesques faites de cendres et de lave. Au fil des ans, ces roches évoluent en boue et en argile sous l'action du vent et de la pluie. Les débris sont entraînés par des torrents et acheminés vers la mer, puis s'accumulent et forment des schistes et des grès. Dans le même temps, les continents, continuellement en mouvement, se déplacent. Lorsqu'ils se rencontrent, les sédiments aux alentours sont entraînés et comprimés jusqu'à dresser de nouvelles chaînes de montagnes. Au fur et à mesure des cycles géologiques, les volcans entrent en éruption, puis s'éteignent et la vie prolifère alors dans les fonds marins. La Terre ferme quant à elle demeurait stérile. Jusqu'au jour où...

Quatre grands continents demeurent : Laurentia, Baltica, Sibéria et le Gondwana. Ils sont en phase de dérive. Faisant face à Laurentia, la marge du Gondwana commence à s'émietter en plusieurs petits continents, dont le premier individualisé est Avalonia. Son éloignement diminue l'océan Iapetus et ouvre l'océan Rhéique. C'est le début de l'orogenèse calédonienne.


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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:45 - La Terre il y a 500 millions d'années
- 03:48 - Les premières colonies sur la terre ferme
- 08:26 - Le visage de la Terre il y a 460 millions d'années
- 16:23 - La première grande crise du vivant : l'extinction Ordovicien-Silurien
- 24:55 - L'apparition des insectes il y a 425 millions d'années
- 26:48 - Fin de l'orogenèse calédonienne
- 27:16 - Des innovations dans...

🌍 D'où venons -nous ?
Comment s'est formé le monde qui nous entoure ?
Moteurs de réflexion puissants, ces questions répondent à un besoin viscéral de connaître nos origines, notre appartenance et de comprendre ce monde qui nous entoure.
Notre planète, la Terre, est une planète semblable aux autres. Comme les autres elle est unique. Les planètes partagent une partie de leur histoire mais ont ensuite évoluer différemment développant des individualités propres. La Terre est la seule planète connue à abriter la vie. Parmi tous les organismes qui s'y sont succédés, l'un d'eux à démontrer qu'il avait une forte capacité à maîtriser son environnement et à l'adapter à ses besoins : l'Homme.

L'Homme déteste l'ignorance. Il se penche donc très tôt sur ces questions dans le but de comprendre la Terre. Mais peut-on réellement prétendre connaître la Terre alors que tant d'interprétations et d'incertitudes entrent en jeu ? L'Homme étudie le sujet, au début à travers la philosophie, puis par la géologie. L'étude de la lithosphère révèle une quantité d'informations étonnantes nous permettant de remonter jusqu'à sa formation. Aujourd'hui, une histoire de la Terre depuis sa naissance est écrite, mais le scénario n'est pas figé et continuera d'évoluer au fil des découvertes. Son apparence n'a pas toujours été celle de la belle planète bleue calme et paisible. Sa naissance et sa « petite enfance » se déroulent dans le chaos, un enfer sans précédent dans lequel règne une chaleur inimaginable.
Comment a-t-elle évolué jusqu'à devenir la Terre comme nous la connaissons aujourd'hui ?
A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ?

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemblait la Terre il y a 500 millions d'années ? :
• La Terre a jusque-là offert un paysage désolé. Les coulées de lave des volcans ont dévalé ses flancs. Désormais immobiles, elles craquent encore mais se figent lentement. Des lacs de boue de couleur jaune, bleue ou encore grise bouillonnent. La chaleur qui vient des entrailles de la Terre éclate à la surface de ces boues en bulles épaisses. Lorsque les premiers volcans apparaissent à la surface de la Terre, ils se contractent en des éruptions extraordinairement violentes avant de se refroidir et d'édifier des montagnes gigantesques faites de cendres et de lave. Au fil des ans, ces roches évoluent en boue et en argile sous l'action du vent et de la pluie. Les débris sont entraînés par des torrents et acheminés vers la mer, puis s'accumulent et forment des schistes et des grès. Dans le même temps, les continents, continuellement en mouvement, se déplacent. Lorsqu'ils se rencontrent, les sédiments aux alentours sont entraînés et comprimés jusqu'à dresser de nouvelles chaînes de montagnes. Au fur et à mesure des cycles géologiques, les volcans entrent en éruption, puis s'éteignent et la vie prolifère alors dans les fonds marins. La Terre ferme quant à elle demeurait stérile. Jusqu'au jour où...

Quatre grands continents demeurent : Laurentia, Baltica, Sibéria et le Gondwana. Ils sont en phase de dérive. Faisant face à Laurentia, la marge du Gondwana commence à s'émietter en plusieurs petits continents, dont le premier individualisé est Avalonia. Son éloignement diminue l'océan Iapetus et ouvre l'océan Rhéique. C'est le début de l'orogenèse calédonienne.


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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:45 - La Terre il y a 500 millions d'années
- 03:48 - Les premières colonies sur la terre ferme
- 08:26 - Le visage de la Terre il y a 460 millions d'années
- 16:23 - La première grande crise du vivant : l'extinction Ordovicien-Silurien
- 24:55 - L'apparition des insectes il y a 425 millions d'années
- 26:48 - Fin de l'orogenèse calédonienne
- 27:16 - Des innovations dans...

🌍 Vous est-il déjà arrivé de contempler le ciel étoilé par une nuit d’été ?
En levant la tête vers le cosmos, des questions existentielles se bousculent dans notre esprit. Sommes-nous seuls parmi les étoiles ? Jusqu’où s’étend notre univers ? Quels mystères peut-il bien abriter ? Que se cache-t-il aux confins de ce que nous pouvons observer ?
Ces interrogations, aussi terrifiantes que fascinantes, dépassent nos capacités de compréhension. Et malheureusement, il est probable que nous ne trouvions jamais toutes les réponses… Mais les découvertes scientifiques et les avancées technologiques de ces dernières décennies nous ont tout de même permis d’ouvrir les yeux !
Notre vision et notre compréhension de l’univers sont limitées et ce dernier nous réserve son lot de surprises.
Trous noirs, exoplanètes, étoiles-vampires, supernova, comètes, nébuleuses, matière noire…
Oui, l’espace regorge de curiosités toutes plus surprenantes les unes que les autres !


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage dans notre Univers :
• Si notre univers est vieux d’environ 14 milliards d’années, il faut savoir que notre Voie lactée est née presque en même temps que lui.
En effet, les recherches scientifiques ont permis d’estimer son âge en observant les corps les plus anciens qu’elle abrite.
C’est notamment le cas de l’étoile HE 1523-0901, l’une des plus anciennes de notre galaxie.
Âgée de 13,2 milliards d’années, cette géante rouge est située à 7500 années-lumière de la Terre. Une nouvelle qui avait alors surpris les scientifiques, dont l’astronome Anna Frebel et son équipe, à l’origine de sa découverte en 2007.
Or, seulement 6 années après, ce fut au tour de l’étoile HD 140283 de lui voler la vedette. Les estimations ne permettent pas de savoir précisément quel est son âge.
Les mesures réalisées avec le satellite Hubble menaient à la conclusion qu’elle pourrait bien avoir 14,5 milliards d’années, ce qui est plus que l’univers observable…
Mais la prise en compte de l’incertitude des résultats et les nouvelles mesures ramènent cette estimation entre 13,2 et 13,7 milliards d’années.

Proxima du Centaure, appelée encore Proxima Centauri, est l’étoile la plus proche de notre soleil jamais découverte.
Mais attention, avec les technologies dont nous disposons actuellement, il nous est impossible de l’atteindre.
Imaginons que vous soyez au volant d’une navette spatiale allant à la vitesse de 100 km/h.
Pour vous rendre jusqu’à Proxima, il vous faudrait 60 millions d’années…
Maintenant, si vous aviez la possibilité de voyager à la vitesse de la lumière, la durée du trajet serait plus acceptable.
Un peu plus de 4 ans seulement !
Située à près de 40 000 milliards de kilomètres du soleil, il s’agit d’un astre peu massif et peu lumineux en comparaison du nôtre.
Proxima serait environ 8 fois moins massive et 20 000 fois moins brillante que le soleil.
Quant à sa taille, on estime qu’elle serait 7 fois moins volumineuse.
Elle appartient à la catégorie des naines rouges.
Les naines rouges sont les étoiles les plus répandues dans notre galaxie.
Elles représentent environ 80 % des étoiles qui la composent, soit un total de 240 milliards sur les 300 milliards d’étoiles que compte notre galaxie la Voie Lactée.
Ces planètes sont respectivement nommées Proxima B, C et D.
Malheureusement, ces Nouveaux Mondes ne semblent pas être des candidats idéaux pour l’émergence de la vie telle que nous la connaissons.
En raison de son champ magnétique puissant et instable, les éruptions solaires sont fréquentes sur Proxima Centauri.
Ainsi, bien que Proxima B se situe dans la zone habitable de son étoile, les chances qu’elle abrite des formes de vie restent minces…
Ces étoiles doubles sont désignées sous le nom d’Alpha Centauri A et B...

🌍 Vous est-il déjà arrivé de contempler le ciel étoilé par une nuit d’été ?
En levant la tête vers le cosmos, des questions existentielles se bousculent dans notre esprit. Sommes-nous seuls parmi les étoiles ? Jusqu’où s’étend notre univers ? Quels mystères peut-il bien abriter ? Que se cache-t-il aux confins de ce que nous pouvons observer ?
Ces interrogations, aussi terrifiantes que fascinantes, dépassent nos capacités de compréhension. Et malheureusement, il est probable que nous ne trouvions jamais toutes les réponses… Mais les découvertes scientifiques et les avancées technologiques de ces dernières décennies nous ont tout de même permis d’ouvrir les yeux !
Notre vision et notre compréhension de l’univers sont limitées et ce dernier nous réserve son lot de surprises.
Trous noirs, exoplanètes, étoiles-vampires, supernova, comètes, nébuleuses, matière noire…
Oui, l’espace regorge de curiosités toutes plus surprenantes les unes que les autres !


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage dans notre Univers :
• Si notre univers est vieux d’environ 14 milliards d’années, il faut savoir que notre Voie lactée est née presque en même temps que lui.
En effet, les recherches scientifiques ont permis d’estimer son âge en observant les corps les plus anciens qu’elle abrite.
C’est notamment le cas de l’étoile HE 1523-0901, l’une des plus anciennes de notre galaxie.
Âgée de 13,2 milliards d’années, cette géante rouge est située à 7500 années-lumière de la Terre. Une nouvelle qui avait alors surpris les scientifiques, dont l’astronome Anna Frebel et son équipe, à l’origine de sa découverte en 2007.
Or, seulement 6 années après, ce fut au tour de l’étoile HD 140283 de lui voler la vedette. Les estimations ne permettent pas de savoir précisément quel est son âge.
Les mesures réalisées avec le satellite Hubble menaient à la conclusion qu’elle pourrait bien avoir 14,5 milliards d’années, ce qui est plus que l’univers observable…
Mais la prise en compte de l’incertitude des résultats et les nouvelles mesures ramènent cette estimation entre 13,2 et 13,7 milliards d’années.

Proxima du Centaure, appelée encore Proxima Centauri, est l’étoile la plus proche de notre soleil jamais découverte.
Mais attention, avec les technologies dont nous disposons actuellement, il nous est impossible de l’atteindre.
Imaginons que vous soyez au volant d’une navette spatiale allant à la vitesse de 100 km/h.
Pour vous rendre jusqu’à Proxima, il vous faudrait 60 millions d’années…
Maintenant, si vous aviez la possibilité de voyager à la vitesse de la lumière, la durée du trajet serait plus acceptable.
Un peu plus de 4 ans seulement !
Située à près de 40 000 milliards de kilomètres du soleil, il s’agit d’un astre peu massif et peu lumineux en comparaison du nôtre.
Proxima serait environ 8 fois moins massive et 20 000 fois moins brillante que le soleil.
Quant à sa taille, on estime qu’elle serait 7 fois moins volumineuse.
Elle appartient à la catégorie des naines rouges.
Les naines rouges sont les étoiles les plus répandues dans notre galaxie.
Elles représentent environ 80 % des étoiles qui la composent, soit un total de 240 milliards sur les 300 milliards d’étoiles que compte notre galaxie la Voie Lactée.
Ces planètes sont respectivement nommées Proxima B, C et D.
Malheureusement, ces Nouveaux Mondes ne semblent pas être des candidats idéaux pour l’émergence de la vie telle que nous la connaissons.
En raison de son champ magnétique puissant et instable, les éruptions solaires sont fréquentes sur Proxima Centauri.
Ainsi, bien que Proxima B se situe dans la zone habitable de son étoile, les chances qu’elle abrite des formes de vie restent minces…
Ces étoiles doubles sont désignées sous le nom d’Alpha Centauri A et B...

🌍 Vous est-il déjà arrivé de contempler le ciel étoilé par une nuit d’été ?
En levant la tête vers le cosmos, des questions existentielles se bousculent dans notre esprit. Sommes-nous seuls parmi les étoiles ? Jusqu’où s’étend notre univers ? Quels mystères peut-il bien abriter ? Que se cache-t-il aux confins de ce que nous pouvons observer ?
Ces interrogations, aussi terrifiantes que fascinantes, dépassent nos capacités de compréhension. Et malheureusement, il est probable que nous ne trouvions jamais toutes les réponses… Mais les découvertes scientifiques et les avancées technologiques de ces dernières décennies nous ont tout de même permis d’ouvrir les yeux !
Notre vision et notre compréhension de l’univers sont limitées et ce dernier nous réserve son lot de surprises.
Trous noirs, exoplanètes, étoiles-vampires, supernova, comètes, nébuleuses, matière noire…
Oui, l’espace regorge de curiosités toutes plus surprenantes les unes que les autres !


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage dans notre Univers :
• Si notre univers est vieux d’environ 14 milliards d’années, il faut savoir que notre Voie lactée est née presque en même temps que lui.
En effet, les recherches scientifiques ont permis d’estimer son âge en observant les corps les plus anciens qu’elle abrite.
C’est notamment le cas de l’étoile HE 1523-0901, l’une des plus anciennes de notre galaxie.
Âgée de 13,2 milliards d’années, cette géante rouge est située à 7500 années-lumière de la Terre. Une nouvelle qui avait alors surpris les scientifiques, dont l’astronome Anna Frebel et son équipe, à l’origine de sa découverte en 2007.
Or, seulement 6 années après, ce fut au tour de l’étoile HD 140283 de lui voler la vedette. Les estimations ne permettent pas de savoir précisément quel est son âge.
Les mesures réalisées avec le satellite Hubble menaient à la conclusion qu’elle pourrait bien avoir 14,5 milliards d’années, ce qui est plus que l’univers observable…
Mais la prise en compte de l’incertitude des résultats et les nouvelles mesures ramènent cette estimation entre 13,2 et 13,7 milliards d’années.

Proxima du Centaure, appelée encore Proxima Centauri, est l’étoile la plus proche de notre soleil jamais découverte.
Mais attention, avec les technologies dont nous disposons actuellement, il nous est impossible de l’atteindre.
Imaginons que vous soyez au volant d’une navette spatiale allant à la vitesse de 100 km/h.
Pour vous rendre jusqu’à Proxima, il vous faudrait 60 millions d’années…
Maintenant, si vous aviez la possibilité de voyager à la vitesse de la lumière, la durée du trajet serait plus acceptable.
Un peu plus de 4 ans seulement !
Située à près de 40 000 milliards de kilomètres du soleil, il s’agit d’un astre peu massif et peu lumineux en comparaison du nôtre.
Proxima serait environ 8 fois moins massive et 20 000 fois moins brillante que le soleil.
Quant à sa taille, on estime qu’elle serait 7 fois moins volumineuse.
Elle appartient à la catégorie des naines rouges.
Les naines rouges sont les étoiles les plus répandues dans notre galaxie.
Elles représentent environ 80 % des étoiles qui la composent, soit un total de 240 milliards sur les 300 milliards d’étoiles que compte notre galaxie la Voie Lactée.
Ces planètes sont respectivement nommées Proxima B, C et D.
Malheureusement, ces Nouveaux Mondes ne semblent pas être des candidats idéaux pour l’émergence de la vie telle que nous la connaissons.
En raison de son champ magnétique puissant et instable, les éruptions solaires sont fréquentes sur Proxima Centauri.
Ainsi, bien que Proxima B se situe dans la zone habitable de son étoile, les chances qu’elle abrite des formes de vie restent minces…
Ces étoiles doubles sont désignées sous le nom d’Alpha Centauri A et B...

🌍 Vous est-il déjà arrivé de contempler le ciel étoilé par une nuit d’été ?
En levant la tête vers le cosmos, des questions existentielles se bousculent dans notre esprit. Sommes-nous seuls parmi les étoiles ? Jusqu’où s’étend notre univers ? Quels mystères peut-il bien abriter ? Que se cache-t-il aux confins de ce que nous pouvons observer ?
Ces interrogations, aussi terrifiantes que fascinantes, dépassent nos capacités de compréhension. Et malheureusement, il est probable que nous ne trouvions jamais toutes les réponses… Mais les découvertes scientifiques et les avancées technologiques de ces dernières décennies nous ont tout de même permis d’ouvrir les yeux !
Notre vision et notre compréhension de l’univers sont limitées et ce dernier nous réserve son lot de surprises.
Trous noirs, exoplanètes, étoiles-vampires, supernova, comètes, nébuleuses, matière noire…
Oui, l’espace regorge de curiosités toutes plus surprenantes les unes que les autres !


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage dans notre Univers :
• Si notre univers est vieux d’environ 14 milliards d’années, il faut savoir que notre Voie lactée est née presque en même temps que lui.
En effet, les recherches scientifiques ont permis d’estimer son âge en observant les corps les plus anciens qu’elle abrite.
C’est notamment le cas de l’étoile HE 1523-0901, l’une des plus anciennes de notre galaxie.
Âgée de 13,2 milliards d’années, cette géante rouge est située à 7500 années-lumière de la Terre. Une nouvelle qui avait alors surpris les scientifiques, dont l’astronome Anna Frebel et son équipe, à l’origine de sa découverte en 2007.
Or, seulement 6 années après, ce fut au tour de l’étoile HD 140283 de lui voler la vedette. Les estimations ne permettent pas de savoir précisément quel est son âge.
Les mesures réalisées avec le satellite Hubble menaient à la conclusion qu’elle pourrait bien avoir 14,5 milliards d’années, ce qui est plus que l’univers observable…
Mais la prise en compte de l’incertitude des résultats et les nouvelles mesures ramènent cette estimation entre 13,2 et 13,7 milliards d’années.

Proxima du Centaure, appelée encore Proxima Centauri, est l’étoile la plus proche de notre soleil jamais découverte.
Mais attention, avec les technologies dont nous disposons actuellement, il nous est impossible de l’atteindre.
Imaginons que vous soyez au volant d’une navette spatiale allant à la vitesse de 100 km/h.
Pour vous rendre jusqu’à Proxima, il vous faudrait 60 millions d’années…
Maintenant, si vous aviez la possibilité de voyager à la vitesse de la lumière, la durée du trajet serait plus acceptable.
Un peu plus de 4 ans seulement !
Située à près de 40 000 milliards de kilomètres du soleil, il s’agit d’un astre peu massif et peu lumineux en comparaison du nôtre.
Proxima serait environ 8 fois moins massive et 20 000 fois moins brillante que le soleil.
Quant à sa taille, on estime qu’elle serait 7 fois moins volumineuse.
Elle appartient à la catégorie des naines rouges.
Les naines rouges sont les étoiles les plus répandues dans notre galaxie.
Elles représentent environ 80 % des étoiles qui la composent, soit un total de 240 milliards sur les 300 milliards d’étoiles que compte notre galaxie la Voie Lactée.
Ces planètes sont respectivement nommées Proxima B, C et D.
Malheureusement, ces Nouveaux Mondes ne semblent pas être des candidats idéaux pour l’émergence de la vie telle que nous la connaissons.
En raison de son champ magnétique puissant et instable, les éruptions solaires sont fréquentes sur Proxima Centauri.
Ainsi, bien que Proxima B se situe dans la zone habitable de son étoile, les chances qu’elle abrite des formes de vie restent minces…
Ces étoiles doubles sont désignées sous le nom d’Alpha Centauri A et B...

🌍 Vous est-il déjà arrivé de contempler le ciel étoilé par une nuit d’été ?
En levant la tête vers le cosmos, des questions existentielles se bousculent dans notre esprit. Sommes-nous seuls parmi les étoiles ? Jusqu’où s’étend notre univers ? Quels mystères peut-il bien abriter ? Que se cache-t-il aux confins de ce que nous pouvons observer ?
Ces interrogations, aussi terrifiantes que fascinantes, dépassent nos capacités de compréhension. Et malheureusement, il est probable que nous ne trouvions jamais toutes les réponses… Mais les découvertes scientifiques et les avancées technologiques de ces dernières décennies nous ont tout de même permis d’ouvrir les yeux !
Notre vision et notre compréhension de l’univers sont limitées et ce dernier nous réserve son lot de surprises.
Trous noirs, exoplanètes, étoiles-vampires, supernova, comètes, nébuleuses, matière noire…
Oui, l’espace regorge de curiosités toutes plus surprenantes les unes que les autres !


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Voyage dans notre Univers :
• Si notre univers est vieux d’environ 14 milliards d’années, il faut savoir que notre Voie lactée est née presque en même temps que lui.
En effet, les recherches scientifiques ont permis d’estimer son âge en observant les corps les plus anciens qu’elle abrite.
C’est notamment le cas de l’étoile HE 1523-0901, l’une des plus anciennes de notre galaxie.
Âgée de 13,2 milliards d’années, cette géante rouge est située à 7500 années-lumière de la Terre. Une nouvelle qui avait alors surpris les scientifiques, dont l’astronome Anna Frebel et son équipe, à l’origine de sa découverte en 2007.
Or, seulement 6 années après, ce fut au tour de l’étoile HD 140283 de lui voler la vedette. Les estimations ne permettent pas de savoir précisément quel est son âge.
Les mesures réalisées avec le satellite Hubble menaient à la conclusion qu’elle pourrait bien avoir 14,5 milliards d’années, ce qui est plus que l’univers observable…
Mais la prise en compte de l’incertitude des résultats et les nouvelles mesures ramènent cette estimation entre 13,2 et 13,7 milliards d’années.

Proxima du Centaure, appelée encore Proxima Centauri, est l’étoile la plus proche de notre soleil jamais découverte.
Mais attention, avec les technologies dont nous disposons actuellement, il nous est impossible de l’atteindre.
Imaginons que vous soyez au volant d’une navette spatiale allant à la vitesse de 100 km/h.
Pour vous rendre jusqu’à Proxima, il vous faudrait 60 millions d’années…
Maintenant, si vous aviez la possibilité de voyager à la vitesse de la lumière, la durée du trajet serait plus acceptable.
Un peu plus de 4 ans seulement !
Située à près de 40 000 milliards de kilomètres du soleil, il s’agit d’un astre peu massif et peu lumineux en comparaison du nôtre.
Proxima serait environ 8 fois moins massive et 20 000 fois moins brillante que le soleil.
Quant à sa taille, on estime qu’elle serait 7 fois moins volumineuse.
Elle appartient à la catégorie des naines rouges.
Les naines rouges sont les étoiles les plus répandues dans notre galaxie.
Elles représentent environ 80 % des étoiles qui la composent, soit un total de 240 milliards sur les 300 milliards d’étoiles que compte notre galaxie la Voie Lactée.
Ces planètes sont respectivement nommées Proxima B, C et D.
Malheureusement, ces Nouveaux Mondes ne semblent pas être des candidats idéaux pour l’émergence de la vie telle que nous la connaissons.
En raison de son champ magnétique puissant et instable, les éruptions solaires sont fréquentes sur Proxima Centauri.
Ainsi, bien que Proxima B se situe dans la zone habitable de son étoile, les chances qu’elle abrite des formes de vie restent minces…
Ces étoiles doubles sont désignées sous le nom d’Alpha Centauri A et B...

🌍 Récemment, les astronomes ont fêté un anniversaire très important… celui du télescope James-Webb. Un anniversaire qui méritait d’être fêté, car il ne s’agit pas d’un télescope comme les autres ! Développé par la NASA, avec la participation de l’Agence spatiale européenne et de l’Agence spatiale canadienne, le James-Webb n’est ni plus ni moins que le plus grand et le plus onéreux télescope à la date de son lancement. Le lancement du James-Webb a eu lieu le 25 décembre 2021. En un mois, le télescope a atteint son orbite, à 1,5 millions de km de la Terre. Après une première image publiée en juillet 2022, le James-Webb a révélé des images toutes plus impressionnantes les unes que les autres, qui ont permis aux astronomes de faire de belles découvertes.

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Les MEILLEURES Découvertes du JAMES WEBB :
• Le lancement du télescope James-Webb répond à de nombreux objectifs. Au cours de sa mission, le James-Webb va se tourner vers les premières galaxies, celles qui sont apparues juste après le Big Bang, afin d’observer leur diversité et de comprendre leur formation. Il étudiera également les exoplanètes et leur atmosphère, à la recherche de biosignatures pouvant indiquer une vie extraterrestre. Il observera aussi le trou noir Sagittarius A*, situé au centre de la Voie Lactée, afin de compléter les images produites par un réseau de télescopes en mai 2022.

Un peu plus d’un an après son lancement, le télescope James-Webb a déjà dépassé toutes les attentes ! Il a dévoilé des images inédites de nébuleuses, pour la première fois visibles avec une telle qualité, de galaxies très lointaines et d’étoiles. Il a aussi fourni des images inédites de planètes de notre système solaire, comme Jupiter et Neptune qui n’avaient jamais été photographiées avec autant de précision ! Les astronomes sont agréablement surpris : le James-Webb n’a rencontré aucun problème technique et ses instruments sont encore plus efficaces que ce que l’on avait espéré !

La première image du télescope James-Webb a été dévoilée le 12 juillet 2022. Il s’agit d’une photographie de l’amas de galaxies SMACS 0723 tel qu’il était il y a 4,6 milliards d’années. Décrite par la NASA comme « l’image infrarouge la plus profonde et la plus nette de l’Univers lointain à ce jour », cette image est historique. Pourtant, ce n’est pas vraiment l’image la plus profonde jamais obtenue puisque le satellite Planck a photographié le fond diffus cosmologique, c’est-à-dire les plus vieux photons de l’Univers, en 2013.
Pour en revenir à la première image du James-Webb, SMACS 0723 est un amas compact de galaxies situé à plus de 4 milliards d’années lumières de la Terre. La zone photographiée n’est en fait pas plus grande qu’un grain de sable ! Étonnant, non ? Cette image est impressionnante par sa précision (on y observe 19 galaxies au lieu des 5 observées par Hubble) mais pas seulement : elle illustre aussi un effet de relativité générale décrite par Albert Einstein, la lentille gravitationnelle. L’effet de lentille gravitationnelle est la déviation de la lumière par une masse (planète, galaxie ou amas de galaxie). Plus concrètement, lorsqu’un corps céleste très massif se trouve entre un observateur et une source lumineuse lointaine, la lentille gravitationnelle fait dévier les rayons lumineux qui passent près d’elle et déforme les images que l’observateur reçoit.
Cette première image de James-Webb, parce qu’elle est plus nette et plus détaillée que toutes les images fournies par Hubble, pourra aider les scientifiques à mesurer les âges et les masses des amas d’étoiles au sein des galaxies lointaines afin de construire des modèles plus précis des galaxies qui existaient au « printemps cosmique »



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:35 -...

🌍 Récemment, les astronomes ont fêté un anniversaire très important… celui du télescope James-Webb. Un anniversaire qui méritait d’être fêté, car il ne s’agit pas d’un télescope comme les autres ! Développé par la NASA, avec la participation de l’Agence spatiale européenne et de l’Agence spatiale canadienne, le James-Webb n’est ni plus ni moins que le plus grand et le plus onéreux télescope à la date de son lancement. Le lancement du James-Webb a eu lieu le 25 décembre 2021. En un mois, le télescope a atteint son orbite, à 1,5 millions de km de la Terre. Après une première image publiée en juillet 2022, le James-Webb a révélé des images toutes plus impressionnantes les unes que les autres, qui ont permis aux astronomes de faire de belles découvertes.

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Les MEILLEURES Découvertes du JAMES WEBB :
• Le lancement du télescope James-Webb répond à de nombreux objectifs. Au cours de sa mission, le James-Webb va se tourner vers les premières galaxies, celles qui sont apparues juste après le Big Bang, afin d’observer leur diversité et de comprendre leur formation. Il étudiera également les exoplanètes et leur atmosphère, à la recherche de biosignatures pouvant indiquer une vie extraterrestre. Il observera aussi le trou noir Sagittarius A*, situé au centre de la Voie Lactée, afin de compléter les images produites par un réseau de télescopes en mai 2022.

Un peu plus d’un an après son lancement, le télescope James-Webb a déjà dépassé toutes les attentes ! Il a dévoilé des images inédites de nébuleuses, pour la première fois visibles avec une telle qualité, de galaxies très lointaines et d’étoiles. Il a aussi fourni des images inédites de planètes de notre système solaire, comme Jupiter et Neptune qui n’avaient jamais été photographiées avec autant de précision ! Les astronomes sont agréablement surpris : le James-Webb n’a rencontré aucun problème technique et ses instruments sont encore plus efficaces que ce que l’on avait espéré !

La première image du télescope James-Webb a été dévoilée le 12 juillet 2022. Il s’agit d’une photographie de l’amas de galaxies SMACS 0723 tel qu’il était il y a 4,6 milliards d’années. Décrite par la NASA comme « l’image infrarouge la plus profonde et la plus nette de l’Univers lointain à ce jour », cette image est historique. Pourtant, ce n’est pas vraiment l’image la plus profonde jamais obtenue puisque le satellite Planck a photographié le fond diffus cosmologique, c’est-à-dire les plus vieux photons de l’Univers, en 2013.
Pour en revenir à la première image du James-Webb, SMACS 0723 est un amas compact de galaxies situé à plus de 4 milliards d’années lumières de la Terre. La zone photographiée n’est en fait pas plus grande qu’un grain de sable ! Étonnant, non ? Cette image est impressionnante par sa précision (on y observe 19 galaxies au lieu des 5 observées par Hubble) mais pas seulement : elle illustre aussi un effet de relativité générale décrite par Albert Einstein, la lentille gravitationnelle. L’effet de lentille gravitationnelle est la déviation de la lumière par une masse (planète, galaxie ou amas de galaxie). Plus concrètement, lorsqu’un corps céleste très massif se trouve entre un observateur et une source lumineuse lointaine, la lentille gravitationnelle fait dévier les rayons lumineux qui passent près d’elle et déforme les images que l’observateur reçoit.
Cette première image de James-Webb, parce qu’elle est plus nette et plus détaillée que toutes les images fournies par Hubble, pourra aider les scientifiques à mesurer les âges et les masses des amas d’étoiles au sein des galaxies lointaines afin de construire des modèles plus précis des galaxies qui existaient au « printemps cosmique »



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🌍 Récemment, les astronomes ont fêté un anniversaire très important… celui du télescope James-Webb. Un anniversaire qui méritait d’être fêté, car il ne s’agit pas d’un télescope comme les autres ! Développé par la NASA, avec la participation de l’Agence spatiale européenne et de l’Agence spatiale canadienne, le James-Webb n’est ni plus ni moins que le plus grand et le plus onéreux télescope à la date de son lancement. Le lancement du James-Webb a eu lieu le 25 décembre 2021. En un mois, le télescope a atteint son orbite, à 1,5 millions de km de la Terre. Après une première image publiée en juillet 2022, le James-Webb a révélé des images toutes plus impressionnantes les unes que les autres, qui ont permis aux astronomes de faire de belles découvertes.

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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• Le lancement du télescope James-Webb répond à de nombreux objectifs. Au cours de sa mission, le James-Webb va se tourner vers les premières galaxies, celles qui sont apparues juste après le Big Bang, afin d’observer leur diversité et de comprendre leur formation. Il étudiera également les exoplanètes et leur atmosphère, à la recherche de biosignatures pouvant indiquer une vie extraterrestre. Il observera aussi le trou noir Sagittarius A*, situé au centre de la Voie Lactée, afin de compléter les images produites par un réseau de télescopes en mai 2022.

Un peu plus d’un an après son lancement, le télescope James-Webb a déjà dépassé toutes les attentes ! Il a dévoilé des images inédites de nébuleuses, pour la première fois visibles avec une telle qualité, de galaxies très lointaines et d’étoiles. Il a aussi fourni des images inédites de planètes de notre système solaire, comme Jupiter et Neptune qui n’avaient jamais été photographiées avec autant de précision ! Les astronomes sont agréablement surpris : le James-Webb n’a rencontré aucun problème technique et ses instruments sont encore plus efficaces que ce que l’on avait espéré !

La première image du télescope James-Webb a été dévoilée le 12 juillet 2022. Il s’agit d’une photographie de l’amas de galaxies SMACS 0723 tel qu’il était il y a 4,6 milliards d’années. Décrite par la NASA comme « l’image infrarouge la plus profonde et la plus nette de l’Univers lointain à ce jour », cette image est historique. Pourtant, ce n’est pas vraiment l’image la plus profonde jamais obtenue puisque le satellite Planck a photographié le fond diffus cosmologique, c’est-à-dire les plus vieux photons de l’Univers, en 2013.
Pour en revenir à la première image du James-Webb, SMACS 0723 est un amas compact de galaxies situé à plus de 4 milliards d’années lumières de la Terre. La zone photographiée n’est en fait pas plus grande qu’un grain de sable ! Étonnant, non ? Cette image est impressionnante par sa précision (on y observe 19 galaxies au lieu des 5 observées par Hubble) mais pas seulement : elle illustre aussi un effet de relativité générale décrite par Albert Einstein, la lentille gravitationnelle. L’effet de lentille gravitationnelle est la déviation de la lumière par une masse (planète, galaxie ou amas de galaxie). Plus concrètement, lorsqu’un corps céleste très massif se trouve entre un observateur et une source lumineuse lointaine, la lentille gravitationnelle fait dévier les rayons lumineux qui passent près d’elle et déforme les images que l’observateur reçoit.
Cette première image de James-Webb, parce qu’elle est plus nette et plus détaillée que toutes les images fournies par Hubble, pourra aider les scientifiques à mesurer les âges et les masses des amas d’étoiles au sein des galaxies lointaines afin de construire des modèles plus précis des galaxies qui existaient au « printemps cosmique »



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🌍 Récemment, les astronomes ont fêté un anniversaire très important… celui du télescope James-Webb. Un anniversaire qui méritait d’être fêté, car il ne s’agit pas d’un télescope comme les autres ! Développé par la NASA, avec la participation de l’Agence spatiale européenne et de l’Agence spatiale canadienne, le James-Webb n’est ni plus ni moins que le plus grand et le plus onéreux télescope à la date de son lancement. Le lancement du James-Webb a eu lieu le 25 décembre 2021. En un mois, le télescope a atteint son orbite, à 1,5 millions de km de la Terre. Après une première image publiée en juillet 2022, le James-Webb a révélé des images toutes plus impressionnantes les unes que les autres, qui ont permis aux astronomes de faire de belles découvertes.

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• Le lancement du télescope James-Webb répond à de nombreux objectifs. Au cours de sa mission, le James-Webb va se tourner vers les premières galaxies, celles qui sont apparues juste après le Big Bang, afin d’observer leur diversité et de comprendre leur formation. Il étudiera également les exoplanètes et leur atmosphère, à la recherche de biosignatures pouvant indiquer une vie extraterrestre. Il observera aussi le trou noir Sagittarius A*, situé au centre de la Voie Lactée, afin de compléter les images produites par un réseau de télescopes en mai 2022.

Un peu plus d’un an après son lancement, le télescope James-Webb a déjà dépassé toutes les attentes ! Il a dévoilé des images inédites de nébuleuses, pour la première fois visibles avec une telle qualité, de galaxies très lointaines et d’étoiles. Il a aussi fourni des images inédites de planètes de notre système solaire, comme Jupiter et Neptune qui n’avaient jamais été photographiées avec autant de précision ! Les astronomes sont agréablement surpris : le James-Webb n’a rencontré aucun problème technique et ses instruments sont encore plus efficaces que ce que l’on avait espéré !

La première image du télescope James-Webb a été dévoilée le 12 juillet 2022. Il s’agit d’une photographie de l’amas de galaxies SMACS 0723 tel qu’il était il y a 4,6 milliards d’années. Décrite par la NASA comme « l’image infrarouge la plus profonde et la plus nette de l’Univers lointain à ce jour », cette image est historique. Pourtant, ce n’est pas vraiment l’image la plus profonde jamais obtenue puisque le satellite Planck a photographié le fond diffus cosmologique, c’est-à-dire les plus vieux photons de l’Univers, en 2013.
Pour en revenir à la première image du James-Webb, SMACS 0723 est un amas compact de galaxies situé à plus de 4 milliards d’années lumières de la Terre. La zone photographiée n’est en fait pas plus grande qu’un grain de sable ! Étonnant, non ? Cette image est impressionnante par sa précision (on y observe 19 galaxies au lieu des 5 observées par Hubble) mais pas seulement : elle illustre aussi un effet de relativité générale décrite par Albert Einstein, la lentille gravitationnelle. L’effet de lentille gravitationnelle est la déviation de la lumière par une masse (planète, galaxie ou amas de galaxie). Plus concrètement, lorsqu’un corps céleste très massif se trouve entre un observateur et une source lumineuse lointaine, la lentille gravitationnelle fait dévier les rayons lumineux qui passent près d’elle et déforme les images que l’observateur reçoit.
Cette première image de James-Webb, parce qu’elle est plus nette et plus détaillée que toutes les images fournies par Hubble, pourra aider les scientifiques à mesurer les âges et les masses des amas d’étoiles au sein des galaxies lointaines afin de construire des modèles plus précis des galaxies qui existaient au « printemps cosmique »



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🎬 Au programme aujourd'hui:
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🌍 Récemment, les astronomes ont fêté un anniversaire très important… celui du télescope James-Webb. Un anniversaire qui méritait d’être fêté, car il ne s’agit pas d’un télescope comme les autres ! Développé par la NASA, avec la participation de l’Agence spatiale européenne et de l’Agence spatiale canadienne, le James-Webb n’est ni plus ni moins que le plus grand et le plus onéreux télescope à la date de son lancement. Le lancement du James-Webb a eu lieu le 25 décembre 2021. En un mois, le télescope a atteint son orbite, à 1,5 millions de km de la Terre. Après une première image publiée en juillet 2022, le James-Webb a révélé des images toutes plus impressionnantes les unes que les autres, qui ont permis aux astronomes de faire de belles découvertes.

🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 Les MEILLEURES Découvertes du JAMES WEBB :
• Le lancement du télescope James-Webb répond à de nombreux objectifs. Au cours de sa mission, le James-Webb va se tourner vers les premières galaxies, celles qui sont apparues juste après le Big Bang, afin d’observer leur diversité et de comprendre leur formation. Il étudiera également les exoplanètes et leur atmosphère, à la recherche de biosignatures pouvant indiquer une vie extraterrestre. Il observera aussi le trou noir Sagittarius A*, situé au centre de la Voie Lactée, afin de compléter les images produites par un réseau de télescopes en mai 2022.

Un peu plus d’un an après son lancement, le télescope James-Webb a déjà dépassé toutes les attentes ! Il a dévoilé des images inédites de nébuleuses, pour la première fois visibles avec une telle qualité, de galaxies très lointaines et d’étoiles. Il a aussi fourni des images inédites de planètes de notre système solaire, comme Jupiter et Neptune qui n’avaient jamais été photographiées avec autant de précision ! Les astronomes sont agréablement surpris : le James-Webb n’a rencontré aucun problème technique et ses instruments sont encore plus efficaces que ce que l’on avait espéré !

La première image du télescope James-Webb a été dévoilée le 12 juillet 2022. Il s’agit d’une photographie de l’amas de galaxies SMACS 0723 tel qu’il était il y a 4,6 milliards d’années. Décrite par la NASA comme « l’image infrarouge la plus profonde et la plus nette de l’Univers lointain à ce jour », cette image est historique. Pourtant, ce n’est pas vraiment l’image la plus profonde jamais obtenue puisque le satellite Planck a photographié le fond diffus cosmologique, c’est-à-dire les plus vieux photons de l’Univers, en 2013.
Pour en revenir à la première image du James-Webb, SMACS 0723 est un amas compact de galaxies situé à plus de 4 milliards d’années lumières de la Terre. La zone photographiée n’est en fait pas plus grande qu’un grain de sable ! Étonnant, non ? Cette image est impressionnante par sa précision (on y observe 19 galaxies au lieu des 5 observées par Hubble) mais pas seulement : elle illustre aussi un effet de relativité générale décrite par Albert Einstein, la lentille gravitationnelle. L’effet de lentille gravitationnelle est la déviation de la lumière par une masse (planète, galaxie ou amas de galaxie). Plus concrètement, lorsqu’un corps céleste très massif se trouve entre un observateur et une source lumineuse lointaine, la lentille gravitationnelle fait dévier les rayons lumineux qui passent près d’elle et déforme les images que l’observateur reçoit.
Cette première image de James-Webb, parce qu’elle est plus nette et plus détaillée que toutes les images fournies par Hubble, pourra aider les scientifiques à mesurer les âges et les masses des amas d’étoiles au sein des galaxies lointaines afin de construire des modèles plus précis des galaxies qui existaient au « printemps cosmique »



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 01:35 -...

🌍 Pluton, l'un des objets les plus controversés du système solaire, minuscule corps céleste froid situé 40 fois plus loin du Soleil que la Terre, est restée longtemps complètement inexplorée. Ce monde lointain et mystérieux a longtemps été considéré comme la neuvième planète du système solaire, jusqu'à ce que l'Union astronomique internationale ait établi de nouveaux critères pour le concept de « planète » et privé ce corps céleste du droit d'être appelé « planète » et l'ait transféré dans la catégorie des planètes naines, tel un petit corps du système solaire.
Mais pourquoi Pluton n'est-elle plus la neuvième planète du système solaire ?
Bien que Pluton ne soit plus considérée comme une planète majeure, elle présente un grand intérêt pour la communauté astronomique internationale. Grâce à la connaissance de l'existence de Pluton, de grandes explorations ont permis la découvertes de plusieurs objets transneptuniens, comparables en taille et en masse à Pluton.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


-------------------------

💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• Les dimensions de Pluton ont été mesurées à moins de 3 kilomètres. Le diamètre de la planète est de 2376 km. C'est bien moins que le diamètre de n'importe quelle planète du système solaire, y compris Mercure, et nettement moins que le diamètre de notre lune !
Pluton est plus de 5 fois plus petite que la Terre.
Dès le début du 20e siècle, les astronomes avaient prédit qu'un objet stellaire au-delà de Neptune, avec une masse supérieure à celle de la Terre, était présente. Lorsque Pluton a été découverte, il s'est avéré qu'elle était trop minuscule pour avoir une telle influence. Entre 1930 et 1978, l'estimation de la masse de Pluton a progressivement diminué de 1 masse terrestre à 1/10e de la masse de notre planète.
Cependant, en 1978, la découverte de Charon, la lune de Pluton a immédiatement permis de déterminer avec précision la masse de la planète naine. Il s'est avéré que Pluton est plus de 5 fois plus légère que notre Lune et représente le cinq centième de la masse terrestre !
Le volume de la planète naine est presque de 7 milliards de kilomètres cube. C'est environ 152 fois plus petit que le volume de notre planète. Cela signifie que jusqu'à 152 Pluton pourraient tenir à l'intérieur de la Terre !
Si nous divisons la masse d’une planète par son volume, nous obtenons la densité moyenne. La densité moyenne peut indiquer la composition de la planète. Ainsi, la densité de Mercure et de la Terre est supérieure à 5 g par cm³. Cela suggère que la composition de ces planètes est dominée par des métaux et des roches. La densité de Jupiter et de Saturne n'est que d'environ 1 g par cm³ car ce sont des planètes gazeuses.
La densité moyenne de Pluton est de 1,88 g par cm³. C'est une valeur intermédiaire entre les planètes gazeuses comme Jupiter et les planètes rocheuses comme la Terre. Diverses glaces jouent un rôle important dans la composition de Pluton. Chimiquement, Pluton semble être composée à 70 % de roches basaltiques et à 30 % d'eau.

Pluton se déplace autour du Soleil sur une orbite différente des orbites des principales planètes du système solaire. Toutes les planètes majeures tournent autour du Soleil sur approximativement le même plan, qui est le plan de l'écliptique, et l'orbite de Pluton est inclinée vers lui de 17 degrés. De plus, l'orbite de Pluton est allongée, plus comme un ovale qu'un cercle.
En raison de l'allongement de l'orbite très elliptique, Pluton s'éloigne du Soleil jusqu’à 49 unités astronomiques, puis se rapproche à une distance de 30 UA. Il convient de rappeler qu’une unité astronomique est la distance moyenne de la Terre au Soleil, environ 150 millions de km.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:33 - Informations générales sur...

🌍 Pluton, l'un des objets les plus controversés du système solaire, minuscule corps céleste froid situé 40 fois plus loin du Soleil que la Terre, est restée longtemps complètement inexplorée. Ce monde lointain et mystérieux a longtemps été considéré comme la neuvième planète du système solaire, jusqu'à ce que l'Union astronomique internationale ait établi de nouveaux critères pour le concept de « planète » et privé ce corps céleste du droit d'être appelé « planète » et l'ait transféré dans la catégorie des planètes naines, tel un petit corps du système solaire.
Mais pourquoi Pluton n'est-elle plus la neuvième planète du système solaire ?
Bien que Pluton ne soit plus considérée comme une planète majeure, elle présente un grand intérêt pour la communauté astronomique internationale. Grâce à la connaissance de l'existence de Pluton, de grandes explorations ont permis la découvertes de plusieurs objets transneptuniens, comparables en taille et en masse à Pluton.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• Les dimensions de Pluton ont été mesurées à moins de 3 kilomètres. Le diamètre de la planète est de 2376 km. C'est bien moins que le diamètre de n'importe quelle planète du système solaire, y compris Mercure, et nettement moins que le diamètre de notre lune !
Pluton est plus de 5 fois plus petite que la Terre.
Dès le début du 20e siècle, les astronomes avaient prédit qu'un objet stellaire au-delà de Neptune, avec une masse supérieure à celle de la Terre, était présente. Lorsque Pluton a été découverte, il s'est avéré qu'elle était trop minuscule pour avoir une telle influence. Entre 1930 et 1978, l'estimation de la masse de Pluton a progressivement diminué de 1 masse terrestre à 1/10e de la masse de notre planète.
Cependant, en 1978, la découverte de Charon, la lune de Pluton a immédiatement permis de déterminer avec précision la masse de la planète naine. Il s'est avéré que Pluton est plus de 5 fois plus légère que notre Lune et représente le cinq centième de la masse terrestre !
Le volume de la planète naine est presque de 7 milliards de kilomètres cube. C'est environ 152 fois plus petit que le volume de notre planète. Cela signifie que jusqu'à 152 Pluton pourraient tenir à l'intérieur de la Terre !
Si nous divisons la masse d’une planète par son volume, nous obtenons la densité moyenne. La densité moyenne peut indiquer la composition de la planète. Ainsi, la densité de Mercure et de la Terre est supérieure à 5 g par cm³. Cela suggère que la composition de ces planètes est dominée par des métaux et des roches. La densité de Jupiter et de Saturne n'est que d'environ 1 g par cm³ car ce sont des planètes gazeuses.
La densité moyenne de Pluton est de 1,88 g par cm³. C'est une valeur intermédiaire entre les planètes gazeuses comme Jupiter et les planètes rocheuses comme la Terre. Diverses glaces jouent un rôle important dans la composition de Pluton. Chimiquement, Pluton semble être composée à 70 % de roches basaltiques et à 30 % d'eau.

Pluton se déplace autour du Soleil sur une orbite différente des orbites des principales planètes du système solaire. Toutes les planètes majeures tournent autour du Soleil sur approximativement le même plan, qui est le plan de l'écliptique, et l'orbite de Pluton est inclinée vers lui de 17 degrés. De plus, l'orbite de Pluton est allongée, plus comme un ovale qu'un cercle.
En raison de l'allongement de l'orbite très elliptique, Pluton s'éloigne du Soleil jusqu’à 49 unités astronomiques, puis se rapproche à une distance de 30 UA. Il convient de rappeler qu’une unité astronomique est la distance moyenne de la Terre au Soleil, environ 150 millions de km.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
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🌍 Pluton, l'un des objets les plus controversés du système solaire, minuscule corps céleste froid situé 40 fois plus loin du Soleil que la Terre, est restée longtemps complètement inexplorée. Ce monde lointain et mystérieux a longtemps été considéré comme la neuvième planète du système solaire, jusqu'à ce que l'Union astronomique internationale ait établi de nouveaux critères pour le concept de « planète » et privé ce corps céleste du droit d'être appelé « planète » et l'ait transféré dans la catégorie des planètes naines, tel un petit corps du système solaire.
Mais pourquoi Pluton n'est-elle plus la neuvième planète du système solaire ?
Bien que Pluton ne soit plus considérée comme une planète majeure, elle présente un grand intérêt pour la communauté astronomique internationale. Grâce à la connaissance de l'existence de Pluton, de grandes explorations ont permis la découvertes de plusieurs objets transneptuniens, comparables en taille et en masse à Pluton.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• Les dimensions de Pluton ont été mesurées à moins de 3 kilomètres. Le diamètre de la planète est de 2376 km. C'est bien moins que le diamètre de n'importe quelle planète du système solaire, y compris Mercure, et nettement moins que le diamètre de notre lune !
Pluton est plus de 5 fois plus petite que la Terre.
Dès le début du 20e siècle, les astronomes avaient prédit qu'un objet stellaire au-delà de Neptune, avec une masse supérieure à celle de la Terre, était présente. Lorsque Pluton a été découverte, il s'est avéré qu'elle était trop minuscule pour avoir une telle influence. Entre 1930 et 1978, l'estimation de la masse de Pluton a progressivement diminué de 1 masse terrestre à 1/10e de la masse de notre planète.
Cependant, en 1978, la découverte de Charon, la lune de Pluton a immédiatement permis de déterminer avec précision la masse de la planète naine. Il s'est avéré que Pluton est plus de 5 fois plus légère que notre Lune et représente le cinq centième de la masse terrestre !
Le volume de la planète naine est presque de 7 milliards de kilomètres cube. C'est environ 152 fois plus petit que le volume de notre planète. Cela signifie que jusqu'à 152 Pluton pourraient tenir à l'intérieur de la Terre !
Si nous divisons la masse d’une planète par son volume, nous obtenons la densité moyenne. La densité moyenne peut indiquer la composition de la planète. Ainsi, la densité de Mercure et de la Terre est supérieure à 5 g par cm³. Cela suggère que la composition de ces planètes est dominée par des métaux et des roches. La densité de Jupiter et de Saturne n'est que d'environ 1 g par cm³ car ce sont des planètes gazeuses.
La densité moyenne de Pluton est de 1,88 g par cm³. C'est une valeur intermédiaire entre les planètes gazeuses comme Jupiter et les planètes rocheuses comme la Terre. Diverses glaces jouent un rôle important dans la composition de Pluton. Chimiquement, Pluton semble être composée à 70 % de roches basaltiques et à 30 % d'eau.

Pluton se déplace autour du Soleil sur une orbite différente des orbites des principales planètes du système solaire. Toutes les planètes majeures tournent autour du Soleil sur approximativement le même plan, qui est le plan de l'écliptique, et l'orbite de Pluton est inclinée vers lui de 17 degrés. De plus, l'orbite de Pluton est allongée, plus comme un ovale qu'un cercle.
En raison de l'allongement de l'orbite très elliptique, Pluton s'éloigne du Soleil jusqu’à 49 unités astronomiques, puis se rapproche à une distance de 30 UA. Il convient de rappeler qu’une unité astronomique est la distance moyenne de la Terre au Soleil, environ 150 millions de km.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:33 - Informations générales sur...

🌍 Pluton, l'un des objets les plus controversés du système solaire, minuscule corps céleste froid situé 40 fois plus loin du Soleil que la Terre, est restée longtemps complètement inexplorée. Ce monde lointain et mystérieux a longtemps été considéré comme la neuvième planète du système solaire, jusqu'à ce que l'Union astronomique internationale ait établi de nouveaux critères pour le concept de « planète » et privé ce corps céleste du droit d'être appelé « planète » et l'ait transféré dans la catégorie des planètes naines, tel un petit corps du système solaire.
Mais pourquoi Pluton n'est-elle plus la neuvième planète du système solaire ?
Bien que Pluton ne soit plus considérée comme une planète majeure, elle présente un grand intérêt pour la communauté astronomique internationale. Grâce à la connaissance de l'existence de Pluton, de grandes explorations ont permis la découvertes de plusieurs objets transneptuniens, comparables en taille et en masse à Pluton.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• Les dimensions de Pluton ont été mesurées à moins de 3 kilomètres. Le diamètre de la planète est de 2376 km. C'est bien moins que le diamètre de n'importe quelle planète du système solaire, y compris Mercure, et nettement moins que le diamètre de notre lune !
Pluton est plus de 5 fois plus petite que la Terre.
Dès le début du 20e siècle, les astronomes avaient prédit qu'un objet stellaire au-delà de Neptune, avec une masse supérieure à celle de la Terre, était présente. Lorsque Pluton a été découverte, il s'est avéré qu'elle était trop minuscule pour avoir une telle influence. Entre 1930 et 1978, l'estimation de la masse de Pluton a progressivement diminué de 1 masse terrestre à 1/10e de la masse de notre planète.
Cependant, en 1978, la découverte de Charon, la lune de Pluton a immédiatement permis de déterminer avec précision la masse de la planète naine. Il s'est avéré que Pluton est plus de 5 fois plus légère que notre Lune et représente le cinq centième de la masse terrestre !
Le volume de la planète naine est presque de 7 milliards de kilomètres cube. C'est environ 152 fois plus petit que le volume de notre planète. Cela signifie que jusqu'à 152 Pluton pourraient tenir à l'intérieur de la Terre !
Si nous divisons la masse d’une planète par son volume, nous obtenons la densité moyenne. La densité moyenne peut indiquer la composition de la planète. Ainsi, la densité de Mercure et de la Terre est supérieure à 5 g par cm³. Cela suggère que la composition de ces planètes est dominée par des métaux et des roches. La densité de Jupiter et de Saturne n'est que d'environ 1 g par cm³ car ce sont des planètes gazeuses.
La densité moyenne de Pluton est de 1,88 g par cm³. C'est une valeur intermédiaire entre les planètes gazeuses comme Jupiter et les planètes rocheuses comme la Terre. Diverses glaces jouent un rôle important dans la composition de Pluton. Chimiquement, Pluton semble être composée à 70 % de roches basaltiques et à 30 % d'eau.

Pluton se déplace autour du Soleil sur une orbite différente des orbites des principales planètes du système solaire. Toutes les planètes majeures tournent autour du Soleil sur approximativement le même plan, qui est le plan de l'écliptique, et l'orbite de Pluton est inclinée vers lui de 17 degrés. De plus, l'orbite de Pluton est allongée, plus comme un ovale qu'un cercle.
En raison de l'allongement de l'orbite très elliptique, Pluton s'éloigne du Soleil jusqu’à 49 unités astronomiques, puis se rapproche à une distance de 30 UA. Il convient de rappeler qu’une unité astronomique est la distance moyenne de la Terre au Soleil, environ 150 millions de km.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:33 - Informations générales sur...

🌍 Pluton, l'un des objets les plus controversés du système solaire, minuscule corps céleste froid situé 40 fois plus loin du Soleil que la Terre, est restée longtemps complètement inexplorée. Ce monde lointain et mystérieux a longtemps été considéré comme la neuvième planète du système solaire, jusqu'à ce que l'Union astronomique internationale ait établi de nouveaux critères pour le concept de « planète » et privé ce corps céleste du droit d'être appelé « planète » et l'ait transféré dans la catégorie des planètes naines, tel un petit corps du système solaire.
Mais pourquoi Pluton n'est-elle plus la neuvième planète du système solaire ?
Bien que Pluton ne soit plus considérée comme une planète majeure, elle présente un grand intérêt pour la communauté astronomique internationale. Grâce à la connaissance de l'existence de Pluton, de grandes explorations ont permis la découvertes de plusieurs objets transneptuniens, comparables en taille et en masse à Pluton.


🔥 Pour rappel, les vidéos sont publiées les DIMANCHES à 18H00.


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💥 A quoi ressemble Pluton ? :
• Les dimensions de Pluton ont été mesurées à moins de 3 kilomètres. Le diamètre de la planète est de 2376 km. C'est bien moins que le diamètre de n'importe quelle planète du système solaire, y compris Mercure, et nettement moins que le diamètre de notre lune !
Pluton est plus de 5 fois plus petite que la Terre.
Dès le début du 20e siècle, les astronomes avaient prédit qu'un objet stellaire au-delà de Neptune, avec une masse supérieure à celle de la Terre, était présente. Lorsque Pluton a été découverte, il s'est avéré qu'elle était trop minuscule pour avoir une telle influence. Entre 1930 et 1978, l'estimation de la masse de Pluton a progressivement diminué de 1 masse terrestre à 1/10e de la masse de notre planète.
Cependant, en 1978, la découverte de Charon, la lune de Pluton a immédiatement permis de déterminer avec précision la masse de la planète naine. Il s'est avéré que Pluton est plus de 5 fois plus légère que notre Lune et représente le cinq centième de la masse terrestre !
Le volume de la planète naine est presque de 7 milliards de kilomètres cube. C'est environ 152 fois plus petit que le volume de notre planète. Cela signifie que jusqu'à 152 Pluton pourraient tenir à l'intérieur de la Terre !
Si nous divisons la masse d’une planète par son volume, nous obtenons la densité moyenne. La densité moyenne peut indiquer la composition de la planète. Ainsi, la densité de Mercure et de la Terre est supérieure à 5 g par cm³. Cela suggère que la composition de ces planètes est dominée par des métaux et des roches. La densité de Jupiter et de Saturne n'est que d'environ 1 g par cm³ car ce sont des planètes gazeuses.
La densité moyenne de Pluton est de 1,88 g par cm³. C'est une valeur intermédiaire entre les planètes gazeuses comme Jupiter et les planètes rocheuses comme la Terre. Diverses glaces jouent un rôle important dans la composition de Pluton. Chimiquement, Pluton semble être composée à 70 % de roches basaltiques et à 30 % d'eau.

Pluton se déplace autour du Soleil sur une orbite différente des orbites des principales planètes du système solaire. Toutes les planètes majeures tournent autour du Soleil sur approximativement le même plan, qui est le plan de l'écliptique, et l'orbite de Pluton est inclinée vers lui de 17 degrés. De plus, l'orbite de Pluton est allongée, plus comme un ovale qu'un cercle.
En raison de l'allongement de l'orbite très elliptique, Pluton s'éloigne du Soleil jusqu’à 49 unités astronomiques, puis se rapproche à une distance de 30 UA. Il convient de rappeler qu’une unité astronomique est la distance moyenne de la Terre au Soleil, environ 150 millions de km.



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🎬 Au programme aujourd'hui:
- 00:00 - Introduction
- 02:33 - Informations générales sur...