Internationales

L’avocate tchadienne Jacqueline Moudeina est l'invitée d'INTERNATIONALES.

Elle a connu la guerre civile et les horreurs du régime Hissène Habré, lutté 25 ans pour qu’il soit jugé. Principale avocate des victimes au procès de Dakar, Jacqueline Moudeina continue de se battre pour obtenir les réparations promises, deux ans après sa condamnation à perpétuité. Au Tchad, les anciens agents tortionnaires de la DDS (la Direction de la documentation et du renseignement), condamnés il y a quatre ans, ont tous retrouvé la liberté. Indemnités non versées, peines non exécutées, les anciennes victimes du régime en sont encore à demander réparation.
À la tête de l’Association tchadienne pour la promotion et la défense des droits de l’homme (ATPDDH), Jacqueline Moudeina œuvre également aux côtés des acteurs de la société civile, de plus en plus malmenés, au Tchad, dans un contexte marqué par les restrictions de liberté.

Jacqueline Moudeina est interrogée par Sophie Malibeaux (RFI), Cyril Bensimon (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

François Molins est l’invité d’INTERNATIONALES, ce dimanche 9 juin 2019.

Procureur général près la Cour de cassation, le juge François Molins s’est fait connaître du grand public par ses interventions médiatiques, lors de la vague d’attentats terroristes qui ont touché la France à partir de 2012.

Nous revenons avec lui sur les conséquences de cette période noire, sur le traitement judiciaire réservé aux auteurs des attentats en France et en Irak.

François Molins est interrogé par Sophie Malibeaux (RFI), Jean-Baptiste Jacquin (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

Marguerite Barankitse est l’invitée d’Internationales.

Octobre 1993 au Burundi, en pleine guerre civile, Maggy Barankitse assiste au massacre de 72 personnes dans sa ville natale de Ruyigi, et sauve 25 enfants de ces tueries interethniques. Elle décide alors de fonder la Maison Shalom pour aider les enfants indépendamment de leurs origines ethniques. Elle parvient ensuite à créer un vaste complexe d’écoles, hôpitaux, cinéma et autres installations visant à réhabiliter les victimes. Ils seront des dizaines de milliers à pouvoir y trouver refuge. Mais, en 2015, tous ces efforts sont réduits à néant. La crise politique au Burundi la contraint à l’exil.

Réfugiée au Rwanda, elle reprend ses activités. Menacée de mort et poursuivie par le régime Nkurunziza, elle témoigne des dérives du président burundais contre son propre peuple, et dénonce la faiblesse des réactions en Afrique et à l’international.

Marguerite Barankitse répond aux questions de Sophie Malibeaux (RFI), Marilyne Baumard (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

Brendan Berne, l’ambassadeur d’Australie en France, est l’invité d’Internationales ce dimanche 26 mai 2019.

Devenu figure médiatique, à l’occasion de la demande en mariage de son compagnon, dès l’adoption de la loi sur le mariage pour tous en Australie, Brendan Berne évoque les dernières tendances observées en Australie, où un Premier ministre conservateur vient d’obtenir une victoire électorale inattendue. Faut-il y voir un échec des campagnes de lutte contre le réchauffement climatique dans ce pays premier producteur mondial de charbon ?

Féru d’économie, Brendan Berne nous parle de la guerre économique et technologique entre les États-Unis et la Chine. Comment ce dossier risque-t-il d’affecter la croissance mondiale ? Comment l’Australie réagit-elle face au grand voisin chinois, dont elle est le premier partenaire commercial ? La conclusion d’un traité de libre-échange avec l’Europe en sera-t-elle favorisée ?

Nous abordons également les relations de l’Australie avec la France et, bien sûr, l’Europe, dont les citoyens sont appelés aux urnes, ce dimanche 26 mai 2019.

L’ambassadeur Brendan Berne est interrogé par Sophie Malibeaux (RFI), Marc Semo (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

Le docteur Denis Mukwege est l’invité d’Internationales.

Médecin gynécologue, il a reçu le Prix nobel de la paix 2018, aux côtés de la jeune femme yézidie Nadia Murad, pour le combat qu’ils mènent contre le viol, utilisé comme arme de destruction massive dans les conflits.

Le docteur Mukwege est connu pour son action à l’Hôpital de Panzi sur les hauteurs de Bukavu, dans l’est de la RDC, où il continue de soigner les victimes de viols d’une particulière cruauté, touchant les femmes, parfois les hommes, et aussi les enfants.

Il dénonce aujourd’hui le manque de volonté politique pour mettre fin à cette pratique, en appelle à la justice, nécessaire pour que les survivants aient une chance de se reconstruire.

Il pointe du doigt les responsables, notamment ceux qui profitent du trafic de minerais extraits par des populations réduites en esclavage.

Il évoque également ses craintes face à la propagation du virus Ebola, toujours dans l’est de la RDC, une région où l’insécurité empêche la mise en place d’une riposte efficace.

Denis Mukwege est interrogé par Sophie Malibeaux (RFI), Marilyne Baumard (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

Depuis les élections communales d’octobre 2018, il est à la tête d’une majorité « progressiste » autour de son parti le PS, avec les écologistes. Nous évoquons avec lui la façon dont il aborde les prochaines échéances électorales, alors que les Belges se rendront aux urnes, le 26 mai 2019, non seulement pour les européennes, mais aussi pour des législatives au niveau fédéral, ainsi que pour l’élection de leurs représentants régionaux. Quel enjeu pour Bruxelles dans un contexte -de plus en plus marqué- de clivages entre le nord et le sud du pays ?

Nous abordons les questions qui font la Une de l’actualité, s’agissant de l’accueil des migrants, de la sécurité et du cadre de vie, avec une importante mobilisation en faveur de la défense de l’environnement.

La capitale belge est-elle sur le point de devenir le « laboratoire d’une vague Verte » à l’échelle du continent ?

Comment le maire socialiste de Bruxelles envisage-t-il de concilier agenda social et environnemental ? Comment ses administrés perçoivent-ils les clivages européens, entre progressistes et populistes ?

Philippe Close est interrogé par Sophie Malibeaux (RFI), Jean-Pierre Stroobants (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

L'invité d’Internationales, ce dimanche 5 mai 2019, est Yann Laurans, directeur du programme biodiversité à l’IDDRI (Institut du développement durable et des relations internationales).

À l’issue d’une semaine de discussions cruciales, qui rassemblait à Paris les délégations de 130 pays au sujet de la biodiversité, nous interrogeons Yann Laurans sur l’impact économique et social d’une disparition accélérée de nombreuses espèces, phénomène en lien avec le réchauffement climatique.

Quelles sont les solutions, avec quels moyens et pour quels résultats ? Faut-il se lancer dans un processus tel que la Cop21, malgré la volonté de certains pays pollueurs de se tenir à l’écart de toute démarche multilatérale ? Comment agir à l’échelle de la planète, quand les gouvernements brésilien ou américain refusent de s’engager ?

Yann Laurans est interrogé par Sophie Malibeaux (RFI), Françoise Joly (TV5 Monde) et Martine Valo (Le Monde).

Invitée d’Internationales : Hala Wardé, architecte franco-libanaise, élève puis partenaire de Jean Nouvel.
C’est elle qui a piloté la construction du Louvre des Sables aux Émirats Arabes Unis.
Elle nous livre son point de vue d’architecte sur la reconstruction de Notre-Dame de Paris, après l’incendie qui a ravagé la cathédrale, le 15 avril 2019. L’idée d’un projet soumis à un concours d’architecture international fait débat. De même que la part de création associée à la restauration du monument. Nous l’interrogeons sur les enjeux liés à la préservation du patrimoine mondial, en France et ailleurs dans le monde.
Comment l’architecte influe sur notre environnement, quelles contraintes fait aujourd’hui peser le réchauffement climatique sur les constructions nouvelles ?
Lauréate du concours pour le Beirut Museum of Art, son projet a été écarté sans explication. Elle s’est lancée depuis dans la conception de la tour Mirabeau sur le front de mer à Marseille.

Hala Wardé est interrogée par Sophie Malibeaux (RFI), Isabelle Regnier du journal Le Monde et Françoise Joly (TV5-Monde).

Il était arrivé à la tête d’un gouvernement de technocrates à l’automne 2015, après l’incendie meurtrier d’une discothèque jetant une lumière crue sur les pratiques de corruption ancrées dans le pays. Il venait alors de la Commission européenne où les questions agricoles le tenaient occupé depuis 4 ans. Aujourd’hui, son engagement pro-européen ne se dément pas. Il vient de fonder un nouveau mouvement politique baptisé « +Plus », comme plus d’Europe notamment, mais aussi PLUS, Parti de la liberté, l’unité et la solidarité. A ce stade, mouvement politique de centre droit encore difficile à classer, certains l’assimilent plus ou moins à la République En Marche d’Emmanuel Macron. Avec Dacian Ciolos, nous évoquons les attentes des Roumains en amont des élections européennes prévues dans un peu plus d’un mois. Le pays reste le plus pauvre d’Europe, toujours en proie aux scandales de corruption et désormais tentés par le populisme. Avec qui entend-il mener la bataille pour les Européennes ? Quels sont ses alliés en Roumanie et à l’extérieur ? Que faut-il changer dans l’Union européenne sous le feu des critiques ?

Dacian Ciolos répond aux questions de Sophie Malibeaux (RFI), Alain Salles (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

INTERNATIONALES reçoit Adama Dieng, conseiller spécial du secrétaire général de l’ONU pour la prévention des génocides.

On a souvent entendu « plus jamais ça », depuis le génocide perpétré par les Nazis, mais il y a eu ensuite le Cambodge, le Rwanda, Srebrenica et aujourd’hui l’on parle des Rohingyas en Birmanie, nous abordons le sujet avec Adama Dieng, conseiller spécial du secrétaire général des Nations unies pour la prévention des génocides.

Adama Dieng répond aux questions de Sophie Malibeaux (RFI), de Marc Semo (le journal Le Monde) et de Françoise Joly (TV5-Monde).

INTERNATIONALES reçoit Marlène Schiappa, secrétaire d'État auprès du Premier ministre, chargée de l'égalité entre les femmes et les hommes, et de la lutte contre les discriminations.
Alors que le « grand débat national » a pris fin, les «gilets jaunes» ont appelé à manifester pour un 21ème samedi consécutif. Dans son livre « Une et indivisible » (éditions de l'Aube), Marlène Schiappa évoque les nouveaux clivages qui attaquent la République. Nous évoquons avec elle les revendications et la réponse des autorités.
Nous l'interrogeons sur la lutte contre les discriminations en France, mais aussi sur la politique étrangère de la France, sur ses relations avec des pays bafouant les droits humains, et particulièrement ceux des femmes.

Marlène Schiappa est interrogée par Sophie Malibeaux (RFI), Angéline Montoya (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

INTERNATIONALES reçoit Sofia Djama, réalisatrice algérienne.

Quelle que soit l’issue de la crise en Algérie, la contestation populaire a provoqué des changements irréversibles dans le système politique algérien et au-delà.
La cinéaste Sofia Djama, plusieurs fois primée pour son film « Les Bienheureux », vient commenter les derniers événements, et nous livrer sa vision de la société algérienne et de ses aspirations.

Sofia Djama est interrogée par Sophie Malibeaux (RFI), Philippe Ricard (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

INTERNATIONALES reçoit l’avocate pénaliste Marie Dosé.
On la présente souvent comme une soprano du Barreau. Elle se dit avocate engagée et femme de gauche. Contrairement à certains ténors, elle ne court pas après la médiatisation, bien que les dossiers dont elle a la charge fassent la Une de l’actualité. Aujourd’hui, ce sont les enfants «revenants» de Syrie, qui mobilisent toute son énergie. Au-delà des mineurs, pour elle, le retour en France des jihadistes est inéluctable.
Après un 19ème samedi de manifestations des «gilets jaunes», avec la prise de mesures extraordinaires impliquant le recours à la force armée «Sentinelle» et une nouvelle loi anti-casseurs, nous évoquons ses inquiétudes face au respect de l’état de droit en France.

Marie Dosé est interrogée par Sophie Malibeaux (RFI), Hélène Sallon (le journal Le Monde) et Françoise Joly (TV5-Monde).

Enregistrée le 9 mars, la présidente éthiopienne Sahle-Work Zewde est l'invitée d'Internationales en exclusivité, à Addis-Abeba. Sa parole se fait rare depuis son arrivée à la présidence de l'Ethiopie, en octobre 2018, Sahle-Work Zewde a accepté de répondre - en français - aux questions de RFI, TV5 et du journal Le Monde, au palais présidentiel d'Addis-Abeba, à quelques jours de la venue dans la capitale éthiopienne du président Macron.

Si le Premier ministre Abiy Ahmed est le véritable chef de l'exécutif, la nomination de cette femme d'influence, diplomate émérite est un symbole fort pour les femmes, mais pas seulement. Au-delà d'un rôle purement cérémonial, madame Sahle-Work entend imprimer sa marque à ce poste, qu'elle est la première femme à occuper. Nous l'interrogeons sur la place des femmes dans la société éthiopienne, sur les « coutumes nocives » - telle l'excision - que dénonce la Constitution éthiopienne, et qui perdurent malgré tout.

Nous évoquons également le tournant que connaît ce pays de 104 millions d'habitants, dans ses relations avec ses voisins. Une véritable dynamique de paix semble enclenchée, notamment avec l'Erythrée après des décennies de guerre. Au-delà des discours et des promesses, jusqu'où va le rapprochement ?
Si le contexte régional semble favorable grâce à l'intense activité diplomatique du Premier ministre Abiy, qu'en est-il des tensions internes dans cet Etat qui promeut le fédéralisme ethnique ? L'ouverture démocratique est-elle irréversible ? Quel équilibre se dessine entre le centre et les régions ? L'échéance des élections en 2020 est-elle tenable ?

La présidente Sahle-Work Zewde répond aux questions de Sophie Malibeaux(RFI), Emeline Wuilberq (le journal Le Monde) et Françoise Joly(TV5-Monde).

INTERNATIONALES reçoit Frédéric Potier, délégué interministériel à la lutte contre le racisme, l’antisémitisme et la haine anti-LGBT (DILCRAH).
Avec un arsenal législatif pourtant imposant et une succession de plans de lutte, la France, où vit la plus grande communauté juive d’Europe, peine à contrer la résurgence des actes antisémites. Quels peuvent être les nouveaux moyens d’action, notamment sur les réseaux sociaux ? Quel contenu donner aujourd’hui à l’antiracisme ? Comment accueillir la parole des victimes ? Comment, plus généralement, répondre à la montée de la xénophobie et de l’homophobie qui se manifeste aussi en Europe et ailleurs dans le monde ?

Frédéric Potier répond aux questions de Françoise Joly (TV5-Monde), Alain Salles (le journal Le Monde) et Anissa El Jabri (RFI).

INTERNATIONALES reçoit l’écrivain Alain Mabanckou.

Originaire de Pointe-Noire, l’auteur franco-congolais évoque son parcours, d’un continent à l’autre : Afrique, Europe, Etats-Unis où il séjourne désormais.
Connu pour ses prises de position politiques, en 2018, il repousse l’invitation d’Emmanuel Macron à partager la réflexion autour de la langue française et de la francophonie.
Dans une lettre ouverte, il appelle notamment à plus d'ouverture pour dépasser les origines coloniales du concept de francophonie, et où il dénonce également l'indulgence de la francophonie « institutionnelle » envers « les régimes autocratiques, les élections truquées, le manque de liberté d’expression ».
Son dernier livre « Les cigognes sont immortelles » (Seuil) aborde ces thématiques, partant de son univers familial et de l’histoire du Congo des années 70.

Alain Mabanckou répond aux questions de Françoise Joly (TV5 Monde), de Marilyne Baumard (le journal Le Monde) et de Sophie Malibeaux (RFI).

Comment le Ghana tire son épingle du jeu dans un contexte marqué par les tensions régionales ? Attaques terroristes au Burkina, crise politique au Togo, incertitudes en Côte d'Ivoire...
Quelles relations ce pays anglophone entretient-il avec ses voisins francophones ?
Le président ghanéen évoque son intérêt pour la francophonie, car il a joué un rôle majeur dans l’accession du pays au statut de membre associé de l’OIF. Mais au fond, pour quoi faire ?
Que penser des difficultés de la démocratie dans de nombreuses anciennes colonies françaises ? L’alternance et la démocratie au Ghana sont-elles acquises ? Que dire des violences politiques avant et après les scrutins électoraux ?
Où en est la promesse de faire reculer la corruption, source d’inégalités ?
Comment sortir l’économie ghanéenne de la dépendance du FMI et des bailleurs internationaux ? La Chine est-elle un partenaire idéal ?

Le président Nana Akufo Addorépond aux questions deFrançoise Joly (TV5-Monde), Marilyne Baumard (le journal Le Monde)etSophie Malibeaux (RFI).

Une longue carrière diplomatique -de 1975 à 2013- a fait de Bernard Bajolet, un témoin privilégié des évolutions du Moyen-Orient et du monde arabo-musulman ainsi que de la politique étrangère de la France. Ses fonctions le conduisent successivement à Alger, Rome, Damas, Amman, Sarajevo, Bagdad, Alger de nouveau, puis Kaboul. Jusqu’en 2017, il a eu à travailler avec quatre présidents français : Mitterrand, Chirac, Sarkozy et Hollande. Sous Sarkozy, il a occupé le poste nouvellement créé de « coordonateur national du renseignement », en 2008, avant d’être nommé en 2013 par François Hollande à la tête de la DGSE.
Se présentant lui-même comme un « ambassadeur peu diplomate », expression utilisée en sous-titre de son livre « Le soleil ne se lève plus à l’est », il vient nous livrer sa vision de la politique étrangère française dans un monde en pleins bouleversements.

Bernard Bajolet est interrogé par Françoise Joly (TV5 Monde), Alain Sales (le journal Le Monde) et Sophie Malibeaux (RFI).

INTERNATIONALES reçoit Franziska Brantner, député au Bundestag, membre du parti allemand les Verts.
Nous faisons avec elle le point sur la relation franco-allemande, sur les tensions qui affectent l’Europe sur les fronts de l’écologie et des migrations, et sur la montée des populismes en Europe.
A quoi tient le succès des Verts en Allemagne ? Quelles différences et points communs avec les écologistes français ?
Le discours sur la refondation de l’Europe prononcé par Emmanuel Macron à son arrivée au pouvoir avait été perçu comme une main tendue à l’Allemagne, qu’en est-il aujourd’hui ?
D’où vient la défiance des opinions à l’égard de l’UE ?
Comment cette ancienne députée du Parlement européen aborde-t-elle l’échéance électorale de mai 2019 ?

Franziska Brantner répond aux questions de Françoise Joly (TV5 Monde), de Philippe Ricard (le journal Le Monde) et de Sophie Malibeaux (RFI).

INTERNATIONALES reçoit Jean-Baptiste Lemoyne, secrétaire d'Etat auprès du ministre de l'Europe et des Affaires étrangères.
«Européens et Africains, nos destins sont liés», martèle Jean-Baptiste Lemoyne. Il était à Marrakech pour la signature du pacte de l'ONU sur les migrations. Il réagit aux tensions entre la France et l'Italie sur le dossier des migrants... mais pas que. Il répond aux critiques formulées à l'encontre du nouveau traité franco-allemand, et revient sur le pénible cheminement vers le Brexit. A quatre mois des législatives, nous l'interrogeons aussi sur la stratégie du gouvernement français face à cette échéance cruciale.

Jean-Baptiste Lemoyne est interrogé par Françoise Joly (TV5 Monde), Alain Salles (le journal Le Monde) et Sophie Malibeaux (RFI).

INTERNATIONALES reçoit Vanessa Moungar, membre du Conseil présidentiel pour l’Afrique.
Elle a grandi entre la France et le Tchad, et officie aujourd’hui à la Banque africaine de développement, où elle s’occupe tout particulièrement de la place des femmes dans l’économie et la société.
De retour des camps de réfugiés au Niger, en route pour le Forum économique de Davos, Vanessa Moungar fait escale à Paris et vient nous confier ses rêves pour l’Afrique de demain.

Vanessa Moungar est interrogée par Françoise Joly (TV5-Monde), Maryline Baumar (le journal Le Monde) et Sophie Malibeaux (RFI).

INTERNATIONALES reçoit le Wallon Paul Magnette, future tête de liste du parti socialiste belge aux élections européennes, et actuel bourgmestre de Charleroi.
Nous évoquons la crise politique qui affecte le gouvernement belge depuis que la droite conservatrice du N-VA a refusé de signer l’accord de l’ONU sur les migrations.
Comment « le pacte de Marrakech » a-t-il pu avoir raison du gouvernement belge ?
La question migratoire risque-t-elle de monopoliser le débat lors des prochaines échéances électorales de mai ? Sur le plan intérieur comme à l’échelle de l’Europe ?
Nous évoquons les questions commerciales, après que Paul Magnette se soit très fortement opposé au CETA, le traité de libre-échange entre l’UE et le Canada.
Nous interrogeons également Paul Magnette sur les derniers développements en RDC, ancienne colonie belge, où les résultats des élections sont contestés par une partie de l’opposition.

Paul Magnette est interrogé par Françoise Joly (TV5-Monde), Jean-Pierre Stroobants (le journal Le Monde) et Sophie Malibeaux(RFI).

Le médecin malien Mamadou Bocary Diarra est l’Invité d’Internationales, ce dimanche 16 décembre 2018, pour évoquer l’ouverture récente au Mali d’un Centre de chirurgie cardio-pédiatrique qui fait désormais référence dans la sous-région. Cette réalisation qui couronne des décennies d’efforts de la part du Professeur Diarra et de ses équipes peut-elle avoir un effet d’entraînement pour tout le secteur de la santé dans ce pays ? Nous évoquons la première opération à cœur ouvert qui a eu lieu le 10 septembre 2018, mais aussi les retombées de ces avancées médicales sur l’ensemble du secteur de la santé au Mali et dans la région.

Le professeur Diarraest interrogé parFrançoise Joly (TV5 Monde), Maryline Baumard(le journal Le Monde)et Sophie Malibeaux (RFI).