Culture d'entreprise.

La marque Arcadie se scinde en deux groupes : le côté « Cook » et le côté « herbier ». Au quotidien, ils fabriquent des épices et des plantes médicinales. Mais si leur raison d’être est engagée pour l’environnement, Matthieu Brunet veut aller plus loin : partager son mode de fonctionnementet inspirer.

C’est l’une des raisons pour lesquelles il travaille actuellement à la création d’un voilier qui ira jusqu’à Madagascar pour importer lui-même ses produits.

Un autre de ses objectifs est de mettre l’entreprise au service de l’humain. Pour cela, depuis 2017, l’holacratie est une valeur première. « Cela empêchele micro-management, où on nous donne des projets mais où on nous fait constamment des reproches cachés derrière des conseils. »

Journaliste : Grace Leplat / Réalisateur : Thomas Rouvillain /

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Carbo est une entreprise qui se charge de calculer le bilan carbone des sociétés afin de leur proposer des solutions pour réduire leur consommation et devenir plus verte. « Cette raison d’être est centrale et influence notre culture. Comme elle existe depuis le début, ce sont nos modes de fonctionnement communs qui viennent la servir. »

Anouk Jugla est la première responsable des ressources humaines de l’entreprise. Mais ce n’est pas le seul cercle dans lequel elle travaille. Car Carbo est en fait une holacratie - un système d’organisation par cercles. Ce fonctionnement invite les collaborateurs à dépasser les logiques et les biais de domination afin de redonner de l’autonomie aux équipes.

« Cela demande d’adopter des postures nouvelles. Dans des organisations plus traditionnelles, on a tendance à se baser sur autrui pour valider la décision. Là, cela oblige àêtre d’accord pour ne pas être d’accord avec les autres.»

Pour davantage de renseignements sur cette initiative citoyenne, rendez vous sur le site : https://www.hellocarbo.com

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"Chance, c’est avant tout une communauté qui construit et animeune méthode d’orientation professionnelle pour aider des personnes à trouver leur placeet du sens dans le monde du travail”.

Quelles sont les attentes des salariés ? Quels sont leurs besoins ? Vers quoi s'oriente la quête de sens ? Engagée depuis plus de 12 ans sur les notions de transformation des organisations et sur l’employabilité des individus, Sophie Cohendet est maintenant vice-présidente de l’entreprise Chance, en particulier dans l’équipe entreprise. Un défi quotidien au vu du changement du monde des RH à venir : « Tu ne traites pas une masse, tu descends à l’échelle individuelle ettu essaies de personnaliser la façon dont tu traites la personne en face.».

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« ChâteauForm estune société à mission», celle de créer des séminaires qui vont au-delà de la simple salle de réunion, offrant une expérience plus intense qu'un simple week-end entre collègues. Pour atteindre cet objectif, Magaly Gaudin, Responsable du talent, de la culture et des ressources humaines, met tout en œuvre. « Nous sommes là pour apporterune chaleur ajoutéeà nos collaborateurs, c'est dansnotre ADN d'être contributif». Ce processus semble fonctionner à merveille, car depuis 1996, ChâteauForm n'a cessé de doubler tous les cinq ans.

« Le fait dene pas manager selon les règles mais selon les valeurs donne la liberté de vivre une expérience. »

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Passer en cinq ans d’une entreprise de 50 personnes à 300, ça demande une bonne dose de communication ! Chez Morning, c’est le rôle de Agathe Fouache depuis plusieurs années. La mission de l’entreprise est claire : “créer des espaces pour que chacun passe une bonne journée de travail”. Mais comme le dit si bien la responsable com' : « Charité bien ordonnée commence par soi-même » ! C’est pour cela qu’Agathe Fouache met l’accent sur trois valeurs : la confiance, le droit à l’erreur et « à bas les masques ». Et loin d’être des mots en l’air, elle les applique via des actions managériales précises : l’offboarding, la demi-journée off, ou encore une équipe impact.

Bonne écoute !

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Laura Le Hebel est People Partner chez Shine. Dans l’entreprise, elle cultive les valeurs qui lui sont importantes pour créer un fil conducteur au travail. Parentalité, entrepreneuriat, télétravail, "il faut que la culture me parle. Je trouve que sur des postes en RH, ce que l’on fait va forcémentavoir un lien avec les valeurs. Donc, s'il n'y a pas cet alignement, c’est compliqué".

Dans l'application de compte professionnel tout-en-un pour les entreprises et les indépendants, le collaborateur est un pilier. "Sinous avons des valeurs qui sont fortesmais que nos collaborateurs ne sont pas les premiers à les porter, elles perdent de leur sens.Elles évoluent tout au long d'une vie et nous n'hésitons pas à les re-challengerparce qu’il faut que nous nous assurions qu'elles sont toujours pertinentes, en ouvrant la porte à ce que certaines changent".

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L’application Figures accompagne les entreprises dans leur engagement pour une rémunération plus équitable en promouvant la transparence des grilles de salaires. La transparence diminue les biais, au regard du genre, de l’ancienneté, du parcours universitaire…

Chez Figures, il s’agit alors d'harmoniser les politiques internes pour être aligné avec son message. Dans ce nouvel épisode de Culture d’entreprise, nous accueillons Agnès Chauvigny, la DRH de Figures.

« Bientôt, la charge de la preuve va basculer : les employeurs devront démontrer qu'ils n'ont pas fait preuve de discrimination, alors qu'auparavant, c'était à l'employé de prouver qu'il avait été victime de discrimination. En d'autres termes,nous renversons complètement la situation. »

Ce revirement majeur exige de la bienveillance, un feedback constructif et une organisation solide... « L'aspectéducatifque nous intégrons dans la gestion de la rémunération est absolument essentiel » explique Agnès.

Bonne écoute !

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Derrière l’application Petit Bambou et ce moine "qui ne se prend pas au sérieux" se trouve Ludo Dujardin, son co-fondateur. Après un passage dans la Silicon Valley, Ludo revient dans le nord de la France, à Tourcoing, et lance Petit Bambou, l’application de méditation à 11 millions d’utilisateurs dans 190 pays.

"S’autoriser la liberté de faire exactement comme on veut, c’est notre culture.Une entreprise se crée à partir de ce que sont les gens et pas à partir d’un dogme". Chez Petit Bambou, chacun doit fonctionner avec authenticité, afin que chacun trouve sa place, avec le plus de transparence. Depuis 10 ans, Ludo Dujardin se donne comme défi quotidien d’amener le bien-être au travail. "Quand on a du plaisir à apprendre, on apprend forcément beaucoup plus vite. Je pense qu’on pourrait parler de cette culture là chez Petit Bambou. Il y atrès peu de management, très peu d’assignation de tâches".

Bonne écoute !

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Juliette Raimbault est « People Lead » chez Alan, une assurance santé pour les employés. Il ne s'agit pas d'un terme hiérarchique ni d'une indication de son importance dans l'entreprise, mais simplement d'un descriptif de sa fonction : « On ne veut pas perdre de temps à parler de sujets qui ne produisent pas de valeur » explique t-elle.

Alan est un exemple lorsqu'on parle de culture d'entreprise. En témoigne la page “Culture d’entreprise” de leur site internet : ils prennent le temps d’y présenter l’ensemble des postes, ainsi que la culture selon qu’on soit sales ou RH, la culture de l’écrit, l’absence de management, la politique des salaires et la transparence radicale.

Depuis quatre ans, Juliette Raimbault travaille dans le département des ressources humaines. Quotidiennement, elle œuvre pour replacer la flexibilité au centre du travail, à travers les plannings, l'environnement et la réduction du nombre de réunions.

« C'estune culture d'entreprise qui favorise un environnement où la personne est responsable et autonome. Ce n'est pas fait pour tout le monde » conclut-elle.

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D'abord une association avant de devenir une entreprise, Vendredi est une plateforme de mobilisation RSE. Au quotidien, elle pousse à l'engagement des entreprises afin de mobiliser leurs collaborateurs sur les enjeux sociaux et environnementaux. Héloïse Arnold est la responsable communication et RSE.

Arrivée en 2019, elle organise son temps autour de plusieurs objectifs : marier performance et engagement, donner à son équipe des modèles d'identification ou encore incarner des valeurs communes. Tous ces axes se résument en un terme : l'impact.

« Pour nous, l'efficacité n'a pas de sens si elle n'existe pas pour nourrir l'impact ».

Bonne écoute !

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Production : natif.

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DRH, expert en digital learning, auteur, Pierre Monclos est l'invité de notre épisode de Culture d'Entreprise. Depuis 10 ans, il travaille chez Unow, une entreprise de formation à distance.

Si les RH sont une science humaine, elles ne cessent d'évoluer, et se tenir à la page des nouveautés nécessite un réel engagement. Pour notre invité, la réussite se crée en mélangeant humain et performance.

La liberté horaire totale, la transparence radicale en interne, et la culture du partage sont autant d’outils qu’il teste et développe chez Unow. « L'équipe, c'est ce qui va faire toute la réussite de la boîte, pas le business first ».

Bonne écoute !

Journaliste : Grace Leplat / Réalisateur : Thomas Rouvillain / Production : natif.

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Dans ce nouvel épisode, Elina Badetz raconte les services tertiaires d’EDF, une culture guidée par la confiance et la collaboration, et inspirée des entreprises libérées.

Portée par son expérience de danseuse classique de haut niveau, et les valeurs de rigueur, humilité et souplesse, Elina a mené une transition managériale à la fois réussie et humaine.

Un podcast à partager au plus grand nombre !

Bonne écoute !

Journaliste : Grace Leplat / Réalisateur : Thomas Rouvillain / Production : natif.

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Pour ce nouvel épisode, nous retrouvons derrière le micro non pas un, mais cinq invités. Il s’agit de l’ensemble de l’équipe de natif., qui s’est réunie pour vous partager l’envers du décor.

Chacun leur tour, ou plutôt tous ensemble, Laurent Stock, Thomas Rouvillain, César Defoort, Louise Deswarte et Aglaé Girard, nous parlerons de la culture d’entreprise dans le monde de l’audio.

Culture de l’écoute, confiance, transparence, communication… Sur quels piliers s’appuie natif. et comment est-ce amené à évoluer ?

Bonne écoute !

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Laurent Gontard est l’invité de ce nouvel épisode de Culture d’entreprise. Depuis les rachat effectués par le groupe Stelliant, il fait face (dans son rôle de Directeur du Développement RH) à de nouvelles problématiques. 

Comment harmoniser les différentes cultures d’entreprises sans en écraser aucune ?
Comment donner un sens en faisant cohabiter l’ensemble des collaborateurs ?

Pour notre invité, donner des points de repère, sans imposer une ligne de conduite est l’objectif. Il s’emploie à donner un sens au travail de chacun et défend une vision novatrice de l'entreprise : l'entreprise-école.Le regard qu'il pose sur l'évolution du rapport au travail l'amène à considérer que l'entreprise doit penser à former ses salariés, pour elle, dans un premier temps, mais dans une plus large échelle, pour leur carrière et leurs futures entreprises. Intéressant !

Bonne écoute !

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“On se rend compte que même quand on est une entreprise connue, on n’attire pas forcément des candidats”. Laetitia Sylvestre est Responsable Marque Employeur et Communication RH chez Saint-Gobain Distribution Bâtiment France. Ses problématiques : faire découvrir les différents métiers Saint Gobain et impliquer les collaborateurs. Laetitia travaille au quotidien pour aligner les pratiques externes et internes, faire entendre la parole corporate et toucher les nouvelles générations.

Chez Saint Gobain Distribution Bâtiment France, ça se traduit par trois concepts : la symétrie des attentions, le collaborateur-influenceur et la mobilité interne. Laetitia s’appuie sur les réseaux sociaux pour valoriser la culture d’entreprise de SGDB France et les valeurs du collaboratif, l’esprit de famille et d’innovation qui le caractérise.

En 2023, Saint-Gobain est certifié pour la 8ème année consécutive « Top Employer Global ».

Bonne écoute !

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Dans ce nouvel épisode, nous recevons Julien Aguiar, directeur communication de MSD France. Il nous explique comment ce laboratoire pharmaceutique a pris la décision de mettre ses collaborateurs au centre, pour une meilleure efficacité. Dans cette entreprise, l’épanouissement des uns contribue à la réussite des autres.

Diversité, confiance, dynamisme sont les maîtres mots de MSD France. L’entreprise, leader mondial, est portée par quatre valeurs : la patient d’abord, l’éthique et l’intégrité, l’humain au coeur et l’esprit pionnier. Julien Aguiar raconte combien avoir une ligne éditoriale claire est important pour que chacun se sente concerné et s’engage.

Bonne écoute !

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Dans ce nouvel épisode, je reçois Hervé Rémy. Hervé est directeur de la performance organisationnelle de l'association Kipsely, une association fondée en 1959 par des parents d'enfants handicapés.

Il raconte comment, en arrivant à la tête d'un des ESAT de l'association, il a apporté une vision managériale basée sur la confiance et l'écoute active, tout en assumant ne pas être sachant dans le domaine medico-social. Cette humilité et ce regard positif sur les autres lui permettent de donner une voix à chaque individu, et de favoriser la réussite de tous.

Hervé Rémy défend un management horizontal, l'écoute active et l'expérimentation en collaboration. J'ai été touchée par le discours de Hervé qui s'engage auprès des adultes en situation de handicap, pour les rendre visibles et les valoriser par le travail. 

Bonne écoute ! 

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Kevin Bourgeois, co-fondateur de Supermood, est l’invité de ce nouvel épisode de Culture d’entreprise.

Pour lui, l'écoute et le dialogue sont des enjeux humanistes, nécessaires pour changer notre rapport au travail, engager les collaborateurs et gagner en productivité et en compétitivité. Supermood, c'est une boussole pour les dirigeants et les managers.

“ Les entreprise avancent de le noir, mais c’est impossible d’avoir une stratégie humaine si on ne mesure pas, si on ouvre pas la parole”explique t-il.

Comment bien manager et surtout écouter ses équipes, c’est ce que Kevin peut vous apprendre, alors bonne écoute !

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L’aménagement des bureaux en dit long sur l’ADN de votre entreprise. C’est en tout cas ce que défend Marie Vaillant, co-fondatrice de Yemanja.

Dans cet épisode, elle nous raconte comment les bureaux d’entreprise s’adaptent à la culture et la renforcent. Mais chez Yemanja, la culture d’entreprise est bien plus qu’une affaire de meubles. Marie a voulu une entreprise libérée, responsabilisante et humaine. 

Une aventure surprenante, qui se traduit notamment par des congés payés illimités. À ne pas rater.

Bonne écoute !

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Dans ce nouvel épisode, Elina Badetz raconte les services tertiaires d’EDF, une culture guidée par la confiance et la collaboration, et inspirée des entreprises libérées.

Portée par son expérience de danseuse classique de haut niveau, et les valeurs de rigueur, humilité et souplesse, Elina a mené une transition managériale à la fois réussie et humaine.

Un podcast à partager au plus grand nombre !

Bonne écoute !

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Dans ce nouvel épisode, Laurent Jaladeau raconte comment il a transformé le paradigme traditionnel du management. À la CPAM de l’Aude puis à Carsat Bretagne, il a introduit un modèle de management participatif inspiré des entreprises libérées, favorisant une culture de confiance et de collaboration.

Une vision régulièrement confrontée aux défis liés à la hiérarchie et à l’inertie, mais Laurent Jaladeau se compare à un “jardinier des compétences”. Un métier où patience est vertu.

Laurent partage son parcours avec une grande humilité, et est le premier dans ce podcast à parler de la difficulté de copier une méthode de "libération" d'entreprise. Encore aujourd'hui, il doit rester à l’écoute de ses collaborateurs, se questionner, prendre du recul... 

Pour Culture d'entreprise, il partage en toute transparence ses réussites, ses échecs et ses difficultés.

Bonne écoute !

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Dans ce nouvel épisode de Culture d'entreprise, Nicolas Cordier, Social Business Impact à Leroy Merlin raconte le business à impact.

Depuis 11 ans, chez Leroy Merlin, Nicolas développe un écosystème d'acteurs engagés contre le mal logement. Il est convaincu que c'est en s'entourant des associations et autres acteurs de terrain que Leroy Merlin peut réaliser efficacement et durablement sa mission : "aider chaque habitant à construire sa maison et à la rénover".

Concrètement, les magasins Leroy Merlin s'associent avec des associations comme "Lazare" ou "stop à l'exclusion énergétique". Pour Nicolas c'est en allant sur le terrain qu'on apporte "une contribution nouvelle et véritablement utile aux habitants".

Il nous raconte comment il a découvert l'intrapreneuriat social et le business impact social. Un voyage au Chili, des rencontres et la volonté farouche d'être un acteur du changement. Pour Nicolas, l'entreprise de demain sera sociale ou ne sera pas.

Bonne écoute,

Grace

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Le mardi midi, une fée passe dans mes bureaux 🧚‍♀️. Elle se fait toute petite, lave nos tables, vide nos poubelles et passe l’aspirateur. Cette fée s’appelle Isabelle. Elle travaille ici depuis 15 ans et est agent de propreté chez Clinitex.

Je n’avais jamais entendu parler de Clinitex avant de la rencontrer, ou peut-être n’y avais-je pas prêté attention. Depuis j’ai interviewé son président, Edouard Pick, et j’ai découvert une entreprise atypique, humaine et engagée 🎙️🎤

Ecoutez Edouard Pick, le fils de Thierry Pick, laveur de carreaux devenu entrepreneur il y a 40 ans. Edouard ne devait pas hériter. D'ailleurs il a racheté. C'est différent. C'est important. Aujourd’hui il dirige l’entreprise selon desprincipes inspirés de Maria Montessori et de Pierre Rabhi : frugalité, autonomie, responsabilité, audace… 

Son credo : “Un collaborateur heureux pour un client satisfait”. 

Ce que j’aime chez Clinitex, c’est que l’entreprise se développe au rythme des projets des collaborateurs (intrapreneuriat, évolution interne, projet personnel…) et développe des produits zéro déchets, zéro carbone, zéro produits toxiques 🛁🌲

Clinitex dépoussière le management et la propreté, 

Passionnant !

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Cette semaine, Christophe Famechon,Directeur de la Relation ClientchezFNAC DARTY, revient sur son combat : revaloriser les métiers des call centers.

Christophe a été élu Personnalité Client 2021 par ses pairs. Après 25 ans d'expérience dans le service client, Christophe veut aujourd'hui mettre en valeur ses métiers trop souvent dévalorisés.

Il développe ainsi des call centers "agiles", où les conseillers clients gagnent en autonomie, leadership et responsabilités. Ainsi réduit-il le nombre de niveaux hiérarchiques pour que les conseillers puissent traiter la demande du client de A à Z : faire des gestes commerciaux, négocier avec le directeur de plateforme de livraison ou du magasin sans passer... Le but : l'efficacité, et une monter en compétences du métier.

Un défi qu'il nous explique dans ce nouvel épisode.

Bonne écoute !

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Cette semaine, Christophe Famechon,Directeur de la Relation Client, retrace l’histoire de FNAC et Darty. Deux entreprises aux cultures d'entreprise fortes, fondées à la fin des années 50. 

FNAC : Culture pour tous

Darty : Entreprise familiale et contrat de confiance

Les deux entreprises se marient pourtant en 2016. Comment lier ces deux entreprises sans détruire leur culture ? Christophe, arrivé chez Darty en 2008, raconte ce mariage et les défis que FNAC et Darty ont relevé, ensemble.

Exceptionnellement cette interview est divisée en deux épisodes. Dans la deuxième partie, Christophe Famechon raconte son parcours et comment il a transformé les centres d'appels. Ses objectifs : changer le regard sur ces métiers et offrir plus de liberté, d'agilité et de responsabilité aux collaborateurs.

Abonnez-vous pour ne pas rater la suite !

Bonne écoute !

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Dans ce nouvel épisode, Émilie Guibert nous explique comment elle accompagne les chefs d’entreprise, en soutenant « l’humain derrière le dirigeant ».

Comment gérer ses émotions en tant que leader ? En tant que collaborateur ? Comment accepter et valoriser la différence ? Émilie, elle-même “zèbre”, partage sa vision du monde de l’entreprise et sa lecture des attentes des nouvelles générations.

Retrouvez les articles sur https://www.natif.io/podcast-culture-entreprise/ 

Abonnez-vous et contactez-moi sur Linkedin si vous connaissez des entreprises avec une forte Culture d'entreprise !

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« Bats des ailes et un jour tu voleras. »

Pour Frédéric Amariutei, directeur gérant, là est la culture d'entreprise de Gore. Chez Gore, les associés sont libres de se développer et de s’épanouir, encore faut-il se lancer. Alors oui, ils vont essayer, peut-être échouer, mais cette passion, cette envie, va finir par payer. 

L'entreprise met un point d'honneur à accompagner le développement professionnel des collaborateurs [tous associés] : quelles sont leurs motivations ? Leurs compétences et domaines de prédilections ? Quels sont les besoins de l'entreprise ? Au croisement de ces trois points : le sweet point, le point à atteindre pour que associé et entreprise s'épanouissent ensemble.

Il y a aussi les quatre principes défendus par Gore : honnêteté, liberté de se développer dans l’entreprise, engagement dans son rôle et Water Line. Water... Quoi ? Je vous laissé le découvrir dans le nouvel épisode de Culture d'entreprise.

Bonne écoute ! 

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Est-ce que diriger c'est forcément ordonner ? 

Ce qui m'a beaucoup surprise avec Laurent Bizien, c'est que c'est son refus de recevoir des ordres qui l'a poussé à prendre des postes de direction. Depuis tout petit Laurent a besoin de comprendre avant de faire.

Cette quête de sens l'amène rapidement à réfléchir : quel est le rôle du manager ? Il en est convaincu, le manager n'a pas d'ordres à donner. Il apporte le sens, explique le "pourquoi". Mais le "comment", c'est la responsabilité du collaborateur.

C'est cette entente, cette écoute, entre le collaborateur et le dirigeant qui consolide la culture d'entreprise. L'un n'est rien sans l'autre. Alors Laurent s'engage à accompagner les collaborateurs dans leur connaissance de soi pour mieux comprendre les autres et "être en entreprise". Une formation de leadership ouverte à tous qui a fait ses preuves et la fierté de Laurent.

Un épisode formidable et riche que j'ai beaucoup aimé enregistrer.

Bonne écoute !

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Dans ce nouvel épisode, Céline Lallemang nous partage son parcours vers la construction ou la reconstruction de la culture d’entreprise de Booksy.

Booksy France est né de la fusion de deux entreprises et d'un rachat. Des événements qui ont bousculé profondément les collaborateurs et laissé des cicatrices profondes. Quand Céline Lallemang arrive en tant que Head of People, 20% des collaborateurs sont partis. Elle doit redévelopper un socle de valeurs communes, une cohésion et une vision. En d'autres termes, elle doit reconstruite la culture d'entreprise de Booksy.

Par quoi commencer ? Comment mesurer les efforts engagés ? Ca prend combien de temps ? 

Céline nous partage en toute transparence ce parcours semé d'embûches et son combat pour constuire le Booksy de demain.

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Ikigaï, Nomikaï, Karōshi… ça vous dit quelque chose ?

Samuel Durand, auteur et conférencier, a traversé plus d’une dizaine de pays afin de comprendre « le travail de demain. » Cette semaine, il nous amène au Japon pour découvrir une culture d’entreprise aux antipodes de la nôtre.

Lors de la réalisation de son documentaire Time to Work, Samuel s’est intéressé au temps de travail. Rapidement son regard se tourne vers le Japon, et aidé d’un sociologue nippon, il tente de déceler les rouages de cette société du travail.

« C’est une société plus collectiviste, et l'attachement à l’entreprise prend parfois une tournure identitaire. » La hiérarchie est donc un élément central et avantageux de la culture d’entreprise japonaise. « Ils ont une puissante force d’exécution et d’organisation. » Néanmoins, au pays du soleil levant, interdit de quitter le bureau avant le patron. Et attention à ne pas manquer le Nomikaï, « une sorte d’after work obligatoire. »

Un rythme de vie intense, qui laisse peu de place pour la vie personnelle ou familiale. « Beaucoup de Japonais sont célibataires et les femmes travaillent souvent peu, ou pas, pour garder les enfants. »  Samuel nous explique que le phénomène d’épuisement professionnel est intrinsèquement lié au fonctionnement de la société nippone : « Il existe un mot en japonais pour en parler, le Karōshi, la mort par excès de travail. »

Un témoignage enrichissant pour nous faire voyager autour de la perception du travail.

Bonne écoute !

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"Rendez-vous lundi à 17h à l'Elysée"

Un mail, et tout bouscule : Wilfried Granier est invité à l'Elysée ! Dans ce nouvel épisode de Culture d'entreprise, il nous raconte comment il a créé l'entreprise de ses rêves : mettre en relation des superprofs et des élèves désireux d'approfondir leurs connaissances. Et comment son travail et sa réussite l'a mené à recevoir les félicitations du Président de la République.

Wilfried n'a jamais fait de levée de fonds. Il a su créer une atmosphère de camaraderie et de confiance au sein de son entreprise, malgré presque 200 collaborateurs de 37 nationalités différentes. Ses bureaux sont une véritable tour de Babel ! 

Bonne écoute ! 

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"Avec Lazare, je m'en suis sortie, j'ai gagné 1,5 cm, je n'en croyais pas mes yeux". Tum Tuum est une ancienne coloc Lazare. Elle a vécu dans la rue pendant 10 ans. 

Quand elle découvre Lazare , elle découvre une colocation de jeunes actifs et d'anciens sans-abris. A Nantes, ils sont alors une vingtaine, partagent des diners solidaires et des moments de vie. "C'est comme dans une famille" explique Tum Tuum, "il y a des moments extraordinaires et des moments où ça vrille un peu. Il faut créer un lien."

Le constat, pour Aliénor de Sentenac, responsable de la communication de Lazare et ancienne coloc, c'est que "ceux qui sortent de la rue ont besoin d'un toit, mais surtout de relations sociales". Lazare leur offre "un contexte bienveillant et familial". Grâce à l'association, Tum Tuum a embrassé le Pape, est montée sur le mât d'un bateau et s'est fait des amies pour la vie.

Un témoignage touchant, passionnant et un peu différent des épisodes précédents, que je vous invite à découvrir dans cet épisode spécial Podcasthon  ! 

Bonne écoute ! 

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Barbara Delesalle Brabant travaille depuis 11 ans chez Tape à l’oeil. 

En 11 ans, elle a vu l’entreprise grandir, se transformer et s’adapter à la société.

Barbara est dynamique, déterminée et convaincue. Elle nous partage sa vision de la culture d’entreprise, du rôle de l’employeur et de celui du salarié dans son évolution professionnelle. 

Pour elle, l’entreprise n’est pas propriétaire de ses talents. Elle doit accompagner le collaborateur dans sa montée en compétence, et lui, doit être pro-actif et prendre en main sa carrière.

Tape à l’oeil développe aussi le concept de “symétrie des attentions” : et si le marketing et les RH s’inspiraient l’un l’autre dans leur rapport au client et au collaborateur ? Une aventure réussie, qu’elle nous partage dans ce nouvel épisode.

Bonne écoute !

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"Notre pari c’est qu’on peut évoluer dans l’entreprise ailleurs que dans une évolution statutaire." explique Matthieu Fouquet, secrétaire général et partner RH chez onepoint. 

Onepoint a construit ses bureaux, son organisation et sa hiérarchie avec ses collaborateurs. Une écoute constante, qui lui permet de garder ses talents, d'attirer des experts et d'inventer une autre manière d'être en entreprise. Chez onepoint, il n'y a que deux niveaux hiérarchiques et de multiples manières d'évoluer. Non, devenir manager n'est pas un passage obligé. Il peut préférer renforcer son expertise et évoluer ainsi dans l'entreprise.

Matthieu m'accueille dans un magnifique bureau à quelques mètres de la Tour Eiffel. On aurait pu rester des heures à discuter de leur culture d'entreprise si atypique, construite avec les collaborateurs et où chacun est "capitaine de son bateau", maître de sa carrière.

Une formidable rencontre et une très belle découverte ! 

Bonne écoute !

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En maternelle déjà, le petit Laurent de la Clergerie voulait devenir entrepreneur ! Pourquoi ? Pour être indépendant, mais aussi parce que Laurent aime sortir du cadre, faire les choses autrement.

Pour preuve, alors que ses projets le menaient tout droit vers une école de commerce, il décide de faire une école d'ingénieur et sera diplômé de sciences économiques et d'ingénieur en électronique.

En 1996, au début d'internet, il crée son site. Un petit site internet qu'il a fait lui-même et qui a pour objectif de "créer des logiciels pour les autres". 

Depuis, poussé par sa soif d'apprendre et d'entreprendre, Laurent de la Clergerie a fait de LDLC, le leader de la vente de matériel électronique en France, et une pépinière d'innovations managériales, fondées sur l'autonomie et la confiance. 

A la recherche perpétuelle du bien-être de ses salariés, il découvre et met en place la semaine de 4 jours. C'est une telle révélation qu'il consacre désormais 2 jours de sa semaine a en assurer la promotion.

Son ambition : "que la boule de neige devienne une avalanche" et que la semaine de 4 jours change non seulement notre rapport au travail, mais aussi nos sociétés.

Un épisode que j'ai adoré enregistrer tant la passion de Laurent est communicative. 

Bonne écoute ! 

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Dans ce nouvel épisode de Culture d'entreprise, Nicolas Cordier, Social Business Impact à Leroy Merlin raconte le business à impact.

Depuis 11 ans, chez Leroy Merlin, Nicolas développe un écosystème d'acteurs engagés contre le mal logement. Il est convaincu que c'est en s'entourant des associations et autres acteurs de terrain que Leroy Merlin peut réaliser efficacement et durablement sa mission : "aider chaque habitant à construire sa maison et à la rénover".

Concrètement, les magasins Leroy Merlin s'associent avec des associations comme "Lazare" ou "stop à l'exclusion énergétique". Pour Nicolas c'est en allant sur le terrain qu'on apporte "une contribution nouvelle et véritablement utile aux habitants".

Il nous raconte comment il a découvert l'intrapreneuriat social et le business impact social. Un voyage au Chili, des rencontres et la volonté farouche d'être un acteur du changement. Pour Nicolas, l'entreprise de demain sera sociale ou ne sera pas.

Bonne écoute,

Grace

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“On est à la proue d’un bateau mais on prend tous les embruns”, Laurent Choain a le sens de la formule. Il explique que les Mazariens sont jeunes : ils commencent leur carrière chez Mazars avant de voguer vers d’autres horizons.
Résultat, le groupe est aux premières loges pour ce qui est évolution du rapport au travail.

Alors Laurent dépoussière le contrat de travail et invente le management de demain. Passionné par le leadership (qu’il fonde sur la gentillesse, la gratuité et la générosité), Laurent veut transmettre. DRH, docteur en sciences de gestion, professeur, directeur d’universités… Il sait que les jeunes Mazariens travailleront dans d’autres entreprises. 

Son but : qu’avec eux ils emmènent cette notion fondamentale d’amitié professionnelle, la bienveillance et l’envie d’innover.

Innover, pour “aller vers une bonne vie”. Il conclut avec un extrait du Discours à la Jeunesse de Jean-Jaurès (30 juillet 1903) : “Le courage, c’est d’aller à l’idéal et de comprendre le réel ; c’est d’agir et de se donner aux grandes causes sans savoir quelle récompense réserve à notre effort l’univers profond, ni s’il lui réserve une récompense”.

Une citation comme une devise pour celui qui “aime défendre des causes sans tambours ni trompettes”.

Bonne écoute !

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Léa Nature ça vous dit quelque chose ? Mais si ! Jardin bio ETIC, So’Bio ETIC, BioSens, Dentavie… Léa Nature c’est le champion du bio alimentaire et cosmétique.

Sur son CV, l’entreprise est pionnière des entreprises engagées et écoresponsables. Elle fait son bilan carbone dès 2009, un plan climat en 2013, réduit drastiquement l’usage du plastique depuis 2016 et devient la première ETI à mission en 2019.

Ces engagements font partie de l’ADN de l’entreprise et en imprègne toute la culture.C’est ce que m’a raconté Hugo Faivre, directeur des Relations et des Ressources humaines de Léa Nature.

Ce qui touche particulièrement Hugo c'est que, chez Léa Nature“il n’y a jamais une intention qui ne parte pas d’une profonde sincérité, de fortes convictions environnementales et de considérations humanistes”.

Un témoignage et une entreprise à découvrir au plus vite.

Bonne écoute !

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Alors que la fin d’année approche, l’heure est au bilan.

Avons-nous respectés nos bonnes résolutions ? Qu’elles soient personnelles ou professionnelles
Avons-nous innové, challengé, osé ? Sommes-nous sortis de notre zone de confort ?

Avec Culture d’entreprise, je vous emmène à la rencontre des leaders engagés, des managers éclairés… Qui placent l’humain au coeur de leur stratégie et transforment le monde du travail.

Quelle est leur culture d’entreprise ? Comment l’ont-ils forgée ? Quelles sont leurs réussites, mais aussi leurs échecs et leurs doutes…

Avec Culture d’entreprise, je veux donner de la voix à ceux qui créent l’entreprise de demain ; je veux vous faire réfléchir, vous inspirer, pour que vous soyez vous aussi acteur dans la révolution en cours.

Venez, écoutons l’entreprise changer.

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Votre entreprise et vous, ça s’est fait comment ?

Laurent Delime et Easi, c’était il y a 14 ans. Une simple rencontre, devenue une belle histoire. Laurent était recruteur, il est désormais directeur des relations humaines. “Il n’y a pas de hasard, il n’y a que des rendez-vous” explique t-il.

Un rendez-vous avez Easi, son histoire et ses valeurs. Des valeurs sportives, portées par son fondateur Salvatore Curaba, ancien footballeur professionnel, et les valeurs du travail : “Easi avance vite parce que tout le monde cherche la même chose. L’entreprise se met au service de l’évolution de ses collaborateurs”.

Ainsi Easi n’a pas embauché de managers depuis 10 ans. Pour Laurent, ce serait comme dire aux collaborateurs “qu’ils ne sont pas assez bons”. Il se prépare lui aussi à quitter son post de direction à 52 ans, “ce sera une opportunité de faire autre chose. Je me dis que c’est génial, et j’aurai un autre rendez-vous à ce moment-là”.

Le système Easi repose sur la méritocratie, et s’épanouit dans l’actionnariat salarié. Il grandit et fait grandir dans une culture de confiance, de transparence, et d’engagement.

Je conclurai avec ces mots de Laurent : “Sans Easi, je ne serai pas ce que je suis aujourd’hui”.

Bon écoute !

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“Lavandière”. Le mot sent le soleil et la lavande. Un peu les cigales du sud de la France, et les accents d’autrefois. Au 19ème siècle, elles s’agenouillaient, courbées au bord des rivières. Elles savonnaient, battaient et rinçaient… Elles refaisaient le monde, ou tout au moins le village. Les lavandières et leur rituel au fil de l’eau ont inspiré bien des artistes.

Là les peintres Paul Gauguin, Francisco de Goya et Honoré Daumié.

Ici les plumes d’Émile Zola, des Frères Jacques et de Charles Trénet.

Aujourd’hui les lavandières n’existent plus, les tambours des machines ont remplacé les martèlement des battoirs… Elles n’existent plus, sauf dans l’entreprise de Lionel Strasbach.
Il voulait redonner ses lettres de noblesse au métier d’homme et femme de ménage, alors il y a deux ans, il a créé la Compagnie des Lavandières.

Son objectif : accompagner, former à l’autonomie et donner confiance à ces petites mains qui font briller notre quotidien.

“Si je fais ce métier là, c’est pour ce côté humain : offrir des opportunités à des gens qui n’en ont pas eues.” explique Lionel. Lui aussi a appris avec la Compagnie. Il raconte que “l’erreur est un diplôme”. Les limites se sont construites petit à petit, mais avec cette volonté au dessus de tout : inventer un modèle libérant et responsable, pour remettre un peu de soleil, et bien sûr de lavande, dans nos maisons.

Bonne écoute !

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Et vous, de quelle tribu êtes-vous ?

Dans cet épisode, Nelly Grellier, directrice communication et partner chez Octo Technology raconte comment en quatre mois, l’entreprise a bouleversé son organisation pour se mettre au plus près des attentes de ces 400 collaborateurs.

Les équipes sont trop grandes ? Eh bien chacun se rassemble en tribu, selon ses centres d’intérêts ou ses expertises : il y a  la tribu “RH”, la tribu “coaching agile”, la tribu “nouvelles architectures de données”… Une variété de tribus pour une variété de profils.

Besoin de sens et d’engagement ? En 2019, Octo change sa raison d’être : la technologie oui, mais pas à n’importe quel prix. “Comme on dit : tout est à la fois un miracle et un poison. C’est savoir où la technologie est à sa juste place, où elle sert l’humanité et où elle devient inutile” explique Nelly. Alors chaque tribu d’Octo s’engage à son échelle, et soutient la transformation numérique.

Ce qui me passionne c’est de voir comment une entreprise agile évolue en fonction des besoins et des aspirations de ses collaborateurs. Ils sont considérés comme autant d’individualités formant cet “ensemble”, capable d’aller plus loin.

Nelly partage pendant notre échange trois ouvrages :

A vos to do list et bonne écoute !
Une production natif.

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Le mardi midi, une fée passe dans mes bureaux 🧚‍♀️. Elle se fait toute petite, lave nos tables, vide nos poubelles et passe l’aspirateur. Cette fée s’appelle Isabelle. Elle travaille ici depuis 15 ans et est agent de propreté chez Clinitex.

Je n’avais jamais entendu parler de Clinitex avant de la rencontrer, ou peut-être n’y avais-je pas prêté attention. Depuis j’ai interviewé son président, Edouard Pick, et j’ai découvert une entreprise atypique, humaine et engagée 🎙️🎤

Ecoutez Edouard Pick, le fils de Thierry Pick, laveur de carreaux devenu entrepreneur il y a 40 ans. Edouard ne devait pas hériter. D'ailleurs il a racheté. C'est différent. C'est important. Aujourd’hui il dirige l’entreprise selon desprincipes inspirés de Maria Montessori et de Pierre Rabhi : frugalité, autonomie, responsabilité, audace… 

Son credo : “Un collaborateur heureux pour un client satisfait”. 

Ce que j’aime chez Clinitex, c’est que l’entreprise se développe au rythme des projets des collaborateurs (intrapreneuriat, évolution interne, projet personnel…) et développe des produits zéro déchets, zéro carbone, zéro produits toxiques 🛁🌲

Clinitex dépoussière le management et la propreté, 

Passionnant !

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Il y a beaucoup de choses qui sont très opaques pour moi : le développement de site web, le bitcoin et… Et les micro connecteurs.

Pourtant quand Tatiana Schnyder me parle de son entreprise, j’ai presque envie de travailler avec elle. Chez Nicomatic, il y a deux maître-mots : responsabilité et autonomie. Après un voyage en Inde, les dirigeants ont réalisé que la hiérarchie posait des problèmes de communication au sein de l’entreprise et donc directement auprès des clients.

Ils ont donc pris un grand balai et ils ont tout changé. Chez Nicomatic, chacun a de la place pour se découvrir leader ou fédérateur. Les RH jouent un rôle essentiel parce qu’ils accompagnent les collaborateurs dans leur autonomie : quel travailleur êtes-vous ? Comment communiquez-vous ? Quelle place prenez-vous et comment vous organisez-vous ? Tatiana les accompagne dans cette “aventure” : “on apprend tous ensemble. Quand on a des idées, on les déploie, parfois ça marche, parfois non, mais on ne s’ennuie jamais” explique t-elle.

Alors Nicomatic grandit et Tatiana oeuvre pour que la croissance n’empêche pas l’entreprise de rester à taille humaine.

Pas besoin de parler micro connecteurs pour être connecté !

Allez, bonne écoute !

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Emery Jacquillat, c’est un shot de motivation pour qui veut créer son entreprise et changer le monde. Rien que ça.

Attachez vous bien et prenez des notes, parce qu’il nous dit tout : comment relancer une entreprise qui s’écroule ? Comment créer des fondations fortes et fédérer ses équipes autour des mêmes valeurs et d’une vision commune ?

“La culture d’entreprise c’est le coeur battant de l’entreprise : ça se vit. Il y a le mythe fondateur, les valeurs et la mission, qui est au coeur” explique t-il. Il en est convaincu, les entreprises ont un rôle essentiel à jouer dans le monde de demain. D’ailleurs, elles seront engagées ou ne seront pas.

J’admire chez Emery sa capacité à créer du lien et à fédérer autour d’un même combat : changer nos manières de consommer, préférer le local, choisir la qualité et au juste prix. Il est de ces leaders inspirants qui nous donnent envie de tout plaquer, de s’élancer à corps perdu, se battre pour nos idées.

J’en profite pour vous glisser là une phrase de Goethe, homme de lettres et homme d’Etat allemand : “Tant que nous ne nous engageons pas, le doute règne, la possibilité de se rétracter demeure et l'inefficacité prévaut toujours. Dès le moment où l'on s'engage, la providence se met en marche. Tout ce que tu peux faire ou rêver de faire, tu peux oser l'entreprendre. L'audace renferme en soi génie, pouvoir et magie. Débute maintenant.”

J’ai adoré l’enthousiasme communicatif d’Emery. Il est passionné, et c’en est passionnant. Son but : changer notre regard sur le beau pour que durable rime avec éco-responsable.

Allez, bonne écoute !

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Vous connaissez peut-être avril, la marque de cosmétiques bio made in Hauts-de-France ? Une marque née en 2012 qui se développe dans toute la France et bientôt en Europe.

Quand Avril a ouvert son premier magasin, j’étais au milieu de mes études. Je commençais à faire attention aux cosmétiques que j’utilisais, à leur impact environnemental et à leurs composants. Avril c’était du bio, bon pour la santé et à des prix abordables.

Je ne connaissais que la partie émergée de l’iceberg.

Ce qui m’a touché chez Alexis Dhellemmes, le fondateur d’Avril, c’est à quel point ses valeurs sont inscrites dans l’ADN de sa marque. En plus de son engagement environnemental, Alexis a construit une entreprise qui fait de chacun une valeur ajoutée. Ensemble, ils bousculent le modèle de l’entreprise classique : pas besoin d’objectifs chiffrés quand tout le monde adhère au même combat.

Avec Alexis, nous parlons d’autonomie dans l’entreprise, de la liberté dans le cadre et des erreurs qui nous font avancer.

Bonne écoute !

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Culture d’entreprise part d’un constat : Le rapport au travail évolue. Face à une pénurie de candidats, au phénomène de grande démission et aux exigences des jeunes actifs en terme de sens, d’engagements sociétaux et environnementaux, le monde de l’entreprise change.

Grace Leplat, journaliste chez natif. , part à la rencontre de celles et ceux qui créent l’entreprise de demain : des leaders engagés, des managers éclairés qui placent l’humain au coeur de leur stratégie. 

Tous les 15 jours, elle leur demande de partager leur vision de la culture d’entreprise, leurs expériences, leurs réussites mais aussi leurs échecs et leurs doutes.

“Culture d’entreprise” veut donner des clés aux décideurs et aux recruteurs, pour comprendre la révolution qui est en cours, s’en emparer et les aider à s’engager vers une culture d’entreprise forte, innovante et humaine.

Culture d'entreprise, un podcast proposé par natif.

Bonne écoute.

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