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Parmi nos émissions 5.000 ans d'Histoire : Catherine II de Russie, Les Mayas #1 #2 et #3, Les OVNIs dans l'Histoire, La Torture au Moyen-Âge, Jules Grevy #1 et #2, La Colonisation de l'Australie, Les Dessous de la Résistance, L'Histoire de l'Egypte #1 #2 et #3, L'Histoire des Beatles, l'Histoire du Pétrole, Les Chevaliers de la Table Ronde, Belle Greene, Napoléon - les idées toutes faites...
Depuis plus de 13 ans Richard Fremder, historien, et ses équipes vous racontent 5.000 ans d'Histoire sans filtre mainstream, en traitant tous les sujets, sans tabou ni contrainte, en conservant une approche scientifique et factuelle de l’Histoire couplée avec le goût pour dénicher les petites anecdotes… Avec pour seul plaisir celui de rendre enfin l‘Histoire accessible à tous !
- 448 - L'Egypte des Ptolemées #1 - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante. Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire. Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée. Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon. Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
Wed, 20 Nov 2024 - 09min - 447 - L'Egypte des Ptolemées #1 - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante. Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire. Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée. Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon. Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
Tue, 19 Nov 2024 - 08min - 446 - L'Egypte des Ptolemées #1 - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Alexandre le Grand arrive en Egypte en 332 avant J.-C., sans verser une seule goutte de sang. Il quitte définitivement sa nouvelle province l’année suivante. Avant de partir à l’assaut de Babylone, il s’assure le contrôle des principales oasis du désert occidental. La fondation d’Alexandrie a peut-être pour principal but de parachever la prise en main d’une région dont la prospérité va en s’accroissant depuis la période saïte. Lorsqu’il meurt à Babylone en 323 avant J.-C., le vaste empire qu’il a constitué vole en éclat. Après une lutte interminable entre les anciens généraux d’Alexandre, chacun hérite d’une partie de son empire. Ptolémée remporte l’Egypte. C’est lui qui s’emploie à constituer un Etat gréco-égyptien, qu’il s’attache à défendre contre les convoitises des autres successeurs d’Alexandre, et à l’étendre au-delà des frontières de l’Egypte. A son maximum, le royaume lagide s’étend jusqu’à l’île de Chypre, à la Cyrénaïque, à la Syrie du sud et à certaines places du littoral d’Asie Mineure et de mer Egée. Les souverains ptolémaïques se montrent sous un double visage. Ils s’affirment comme des souverains à la grecque. L’idéologie royale qu’ils élaborent, la pratique du pouvoir, et le fonctionnement de la Cour présentent des points communs avec les autres dynasties hellénistiques, nées lors du démantèlement de l’empire d’Alexandre. Mais, dans le même temps, ils se présentent comme les dignes successeurs des pharaons. Ils se dotent d’une titulature royale complète, élaborée par les prêtres égyptiens, qui se compose des 5 noms du pharaon : Horus, Nebty, Horus d’or, roi de Haute et Basse-Egypte, et fils de Rê. Cette titulature est destinée à renforcer leur légitimité aux yeux de leurs sujets égyptiens. Les rois lagides figurent sur les murs des temples et des stèles d’offrandes, selon les canons de l’art égyptien, remplissant les fonctions dévolues au pharaon. Les souverains ptolémaïques se lancent dans une vaste campagne de réformes politiques et économiques, afin de rendre à l’Egypte sa puissance commerciale d’autrefois. Ils font creuser des réseaux de canaux dans les régions laissées à l’abandon, dans le but de transformer des zones marécageuses en terres fertiles. Dans le même élan, ils ouvrent des mines de cuivre dans le désert occidental, pour s’affranchir de la dépendance du cuivre chypriote. Mais ces travaux ne bénéficient qu’à la région du delta du Nil, là où se trouve la nouvelle capitale du pays, Alexandrie. La Moyenne et la Haute-Egypte, elles, sont complètement négligées par les nouveaux maîtres du pays.
Mon, 18 Nov 2024 - 09min - 445 - L'Egypte des Ptolemées #1 - 3/6
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Sun, 17 Nov 2024 - 09min - 444 - L'Egypte des Ptolemées #1 - 2/6
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Sat, 16 Nov 2024 - 09min - 443 - L'Egypte des Ptolemées #1 - 1/6
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Fri, 15 Nov 2024 - 09min - 442 - Catherine II de Russie - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En compagnie de l’historien Thierry Sarmant, nous découvrons Catherine II de Russie, ou Catherine la Grande. Catherine, c’est l'impératrice qui a transformé la Russie en un empire puissant et influent au XVIIIe siècle. Née en Allemagne, elle arrive en Russie pour épouser le tsarévitch Pierre III. Son destin bascule lorsqu’elle prend le pouvoir en 1762 après un coup d'État contre son propre mari, devenant l'une des femmes les plus puissantes de son époque. Visionnaire, elle modernise le pays, développe les arts et la culture, et s'entoure des plus grands penseurs des Lumières, comme Voltaire et Diderot. Sa vie est marquée par des passions, des alliances stratégiques, et une ambition sans limite. Mais derrière l'image de l’impératrice éclairée se cache une dirigeante implacable, prête à tout pour défendre son empire. Catherine la Grande, c’est l’histoire d’une femme fascinante, à la fois réformatrice et conquérante, qui laisse un héritage impressionnant et inspire encore aujourd'hui.Bibliographie - Pierre le Grand, Thierry Sarmant Acheter le livre- Catherine II de Russie, Thierry Sarmant Acheter le livre - Louis XV, l’inconnu bien-aimé, Yves Combeau et Thierry Sarmant Acheter le livre
Wed, 13 Nov 2024 - 08min - 441 - Catherine II de Russie - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En compagnie de l’historien Thierry Sarmant, nous découvrons Catherine II de Russie, ou Catherine la Grande. Catherine, c’est l'impératrice qui a transformé la Russie en un empire puissant et influent au XVIIIe siècle. Née en Allemagne, elle arrive en Russie pour épouser le tsarévitch Pierre III. Son destin bascule lorsqu’elle prend le pouvoir en 1762 après un coup d'État contre son propre mari, devenant l'une des femmes les plus puissantes de son époque. Visionnaire, elle modernise le pays, développe les arts et la culture, et s'entoure des plus grands penseurs des Lumières, comme Voltaire et Diderot. Sa vie est marquée par des passions, des alliances stratégiques, et une ambition sans limite. Mais derrière l'image de l’impératrice éclairée se cache une dirigeante implacable, prête à tout pour défendre son empire. Catherine la Grande, c’est l’histoire d’une femme fascinante, à la fois réformatrice et conquérante, qui laisse un héritage impressionnant et inspire encore aujourd'hui.Bibliographie - Pierre le Grand, Thierry Sarmant Acheter le livre- Catherine II de Russie, Thierry Sarmant Acheter le livre - Louis XV, l’inconnu bien-aimé, Yves Combeau et Thierry Sarmant Acheter le livre
Tue, 12 Nov 2024 - 08min - 440 - Catherine II de Russie - 4/6
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Mon, 11 Nov 2024 - 07min - 439 - Catherine II de Russie - 3/6
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Sun, 10 Nov 2024 - 08min - 438 - Catherine II de Russie - 2/6
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Sat, 09 Nov 2024 - 09min - 437 - Catherine II de Russie - 1/6
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Fri, 08 Nov 2024 - 09min - 436 - Les Mayas #3 - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art. Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L’art maya est donc bien plus qu’un simple ornement : c’est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices. Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l’art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd’hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l’univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l’art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine. Bonus : Le calendrier Maya Les Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l’un liturgique, et l’autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d’un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s’ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L’année complète compte donc 365 jours, ce qui s’approche le plus possible de l’année solaire réelle, en l’absence de fraction ou d’années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu’une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l’infini. Ces calendriers ont pour principal but d’enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l’année en cours, prévoir l’avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu’il occasionne un petit décalage, entraînant l’usage de l’année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l’aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d’évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l’alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
Wed, 06 Nov 2024 - 10min - 435 - Les Mayas #3 - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art. Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L’art maya est donc bien plus qu’un simple ornement : c’est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices. Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l’art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd’hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l’univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l’art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine. Bonus : Le calendrier Maya Les Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l’un liturgique, et l’autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d’un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s’ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L’année complète compte donc 365 jours, ce qui s’approche le plus possible de l’année solaire réelle, en l’absence de fraction ou d’années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu’une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l’infini. Ces calendriers ont pour principal but d’enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l’année en cours, prévoir l’avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu’il occasionne un petit décalage, entraînant l’usage de l’année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l’aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d’évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l’alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
Tue, 05 Nov 2024 - 09min - 434 - La Peur du peuple
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Sous la Deuxième République, qui a duré de 1848 à 1852, le pays était traversé par une profonde peur et une instabilité politique. Cette période fut marquée par de nombreux bouleversements sociaux et politiques, ainsi que par des soulèvements populaires. L'historienne Marie-Hélène Baylac a étudié cette période et a mis en évidence cette peur. Avec les événements récents en France, nous nous sommes posé la question de savoir s’ils pouvaient être mis en parallèle avec cette période historique, marquée par des manifestations, des tensions sociales et des inquiétudes populaires. Pendant la Deuxième République, les conflits entre différentes factions politiques et les luttes pour le pouvoir ont créé un climat de peur et d'incertitude, et la menace de la répression gouvernementale et des émeutes populaires a contribué à alimenter cette anxiété collective. De nos jours, en France, nous pouvons observer des manifestations, des mouvements sociaux et des débats politiques intenses. Les tensions entre les différentes parties prenantes de la société sont devenues plus prononcées, suscitant des inquiétudes assez légitimes. Sont-elles similaires à celles ressenties sous la Deuxième République ? Dans le cadre de notre émission hebdomadaire sur Twitch, en direct, nous avons profité de l'analyse de l'historienne Marie-Hélène Baylac pour répondre aux questions de nos auditeurs sur ce sujet.
Thu, 25 May 2023 - 50min - 433 - Les Mayas #3 - 4/6
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Mon, 04 Nov 2024 - 09min - 432 - Convivencia et Al-Andalus
En 1994, Ousama Ben Laden écrit au grand Mufti d’Arabie Saoudite, je cite ses mots « Nous demandons à Allah que l’Umma récupère son honneur et son prestige, et lève à nouveau l’étendard d’Allah sur toute la terre islamique qui nous a été volée, de la Palestine à Al Andalus » ! L’oumma, c’est la Communauté musulmane… Plus tard, en 2007, le bras droit de Ben Laden au sein d’Al-Qaïda, l’Égyptien Ayman al-Zawahiri, a déclaré dans un enregistrement diffusé : « Ô nation musulmane du Maghreb, zone de bataille et de djihad. Faire revenir Al-Andalus dans le giron de l’Islam est un devoir qui incombe à l’umma en général, et à vous en particulier. ». En Espagne, lors des débats de 2015 sur le projet de loi accordant la nationalité espagnole aux descendants des juifs séfarades expulsés en 1492, des associations islamophiles ont demandé, « au nom de la justice historique » la concession de la nationalité espagnole à tous les descendants musulmans expulsés après 1609. Par la voix de leurs représentants, ces mouvements aiment à répéter qu’« il serait très beau de convertir Cordoue en la Mecque de l’Occident ». Enfin, le 3 février 2021, la députée espagnole Isabel Franco, membre du parti de gauche Podemos, a tenu des propos qui ont fait beaucoup réagir de l’autre côté des Pyrénées. La députée a expliqué que selon elle, à l’époque d’Al-Andalus (l’Espagne musulmane) trois cultures cohabitaient ensemble : la culture musulmane, la culture juive et la culture chrétienne. Mais la monarchie espagnole aurait perturbé cet équilibre en provoquant une invasion -ce sont les mots utilisés par la députée- un génocide et une dissimulation de la réalité de ce que fut cette cohabitation. Il apparait qu’Isabel Franco défend une vision très positive de la période de Convivencia, vision qui pourtant a été remise en question ces dernières années. Par ailleurs, les milieux académiques hispanophones ont toujours été très critiques vis-à-vis du terme « convivencia » en lui-même. En effet, le mot est sujet à de nombreuses acceptations de sens, qui varient selon l’agenda du chercheur ou du politicien qui l’utilise. L’autre difficulté est le fait que la Convivencia questionne également l’andalucismo, c’est-à-dire l’identité andalouse. L’histoire de l’Hispanie musulmane ou d’Al-Andalus est un enjeu archétypique. On veut nous faire croire qu’au Moyen Âge la péninsule Ibérique a connu une remarquable et inhabituelle cohabitation pacifique entre juifs, chrétiens et musulmans. Une admirable symbiose culturelle qui aurait duré vaille que vaille du VIIIe siècle jusqu’à l’expulsion des juifs en 1492, voire, jusqu’à l’expulsion des Morisques en 1609. Mais la réalité est évidemment bien différente. C’est même le contraire...
Thu, 05 Jan 2023 - 1h 14min - 431 - Les Mayas #3 - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art. Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L’art maya est donc bien plus qu’un simple ornement : c’est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices. Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l’art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd’hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l’univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l’art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine. Bonus : Le calendrier Maya Les Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l’un liturgique, et l’autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d’un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s’ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L’année complète compte donc 365 jours, ce qui s’approche le plus possible de l’année solaire réelle, en l’absence de fraction ou d’années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu’une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l’infini. Ces calendriers ont pour principal but d’enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l’année en cours, prévoir l’avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu’il occasionne un petit décalage, entraînant l’usage de l’année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l’aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d’évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l’alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
Sun, 03 Nov 2024 - 08min - 430 - Les Mayas #3 - 2/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art. Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L’art maya est donc bien plus qu’un simple ornement : c’est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices. Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l’art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd’hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l’univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l’art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine. Bonus : Le calendrier Maya Les Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l’un liturgique, et l’autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d’un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s’ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L’année complète compte donc 365 jours, ce qui s’approche le plus possible de l’année solaire réelle, en l’absence de fraction ou d’années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu’une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l’infini. Ces calendriers ont pour principal but d’enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l’année en cours, prévoir l’avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu’il occasionne un petit décalage, entraînant l’usage de l’année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l’aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d’évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l’alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
Sat, 02 Nov 2024 - 10min - 429 - Les Mayas #3 - 1/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans ce 3e épisode (sur 4 prévus), nous plongeons au cœur de la civilisation des Mayas, avec ses temples imposants, ses fresques colorées, et son architecture monumentale. Derrière ces œuvres d'art, se cache un univers profondément spirituel, où la religion imprégnait chaque aspect de la vie et façonnait l'esthétique et la symbolique de leur art. Pour les Mayas, les dieux étaient omniprésents. Ils résidaient dans les astres, dans les montagnes, dans la pluie bienfaitrice et même dans les profondeurs de la terre. L’art maya est donc bien plus qu’un simple ornement : c’est une langue visuelle sacrée, à travers laquelle ils cherchaient à honorer, communiquer et apaiser ces forces divines. Leurs fresques murales racontaient des récits mythologiques et des rituels complexes ; leurs sculptures, souvent de grande taille, représentaient des divinités et des figures puissantes. Les temples, eux, étaient des ponts entre les mondes – des lieux où les prêtres, au sommet de ces édifices vertigineux, entraient en contact avec le cosmos pour lire dans les étoiles ou offrir des sacrifices. Dans cette émission, nous explorerons ensemble comment la religion inspirait l’art des Mayas et guidait la vie de leur civilisation. Comment ces œuvres que nous découvrons encore aujourd’hui sont en fait des messages intemporels, des fenêtres ouvertes sur leurs croyances, leurs rites et leur vision complexe de l’univers. Que nous révèlent ces fresques et ces sculptures sur les pratiques rituelles ? Comment les couleurs, les formes et les symboles servaient-ils à canaliser des messages sacrés ? Et quels liens les Mayas voyaient-ils entre leurs dieux, leurs dirigeants, et le cosmos ? Préparez-vous pour un 3e voyage fascinant dans le passé, au croisement de l’art et du sacré, là où chaque trait de pinceau, chaque pierre sculptée, racontait une histoire divine. Bonus : Le calendrier Maya Les Mayas possèdent un calendrier de 52 années, héritage des Olmèques, et partagé par toutes les civilisations méso-américaines. Mais ils développent un système de plus longue durée, appelé le compte long. En réalité, ce calendrier se compose de 2 calendriers, l’un liturgique, et l’autre pratique. Le calendrier rituel, le Tzolkin, compte 260 jours. Il est constitué de 20 noms de jours, qui se combinent avec les chiffres de 1 à 13. Un même jour réapparaît au terme d’un cycle complet de 13 fois 20 jours, soit tous les 260 jours. Ce système ressemble à notre propre désignation : le lundi premier de tel mois, le mardi 2, le mercredi 3, etc. Le calendrier rituel préside au destin des individus. A côté du Tzolkin, les Mayas utilisent le Haab, un calendrier qui se divise en 18 mois de 20 jours, soit 360 jours, auxquels s’ajoute une période de 5 jours, souvent considérés comme néfastes, les uayeb. L’année complète compte donc 365 jours, ce qui s’approche le plus possible de l’année solaire réelle, en l’absence de fraction ou d’années bissextiles. Chaque mois porte un nom, et on désigne les jours par la combinaison des chiffres de 1 à 20 et du nom du mois ; combinaison du Tzolkin et Haab fait que le même jour ne peut réapparaître simultanément dans les deux cycles qu’une fois écoulés 18 980 jours, soit à peu près 52 ans. On obtient une durée, appelée un « siècle » ou une « vieillesse ». Et le cycle recommence, à l’infini. Ces calendriers ont pour principal but d’enregistrer les évènements, de conserver la mémoire du temps passé. Il est nécessaire de noter chaque évènement de l’année en cours, prévoir l’avenir et le destin des hommes autant que des cités. Toutefois, les prêtres, qui sont des hommes de sciences autant que des hommes de religion, sont conscients des imperfections de leur système, et qu’il occasionne un petit décalage, entraînant l’usage de l’année vague. La date des origines est notée 0. Les nombres et les chiffres sont transcrits à l’aide de symboles. Les Mayas comptent de 20 en 20, ce qui correspond au nombre total des doigts et des orteils. Le compte long permet d’évaluer le nombre de jours qui se sont écoulés depuis la date originelle. Il se compose de 5 éléments : le jour, le kin ; le uinal, qui correspond à 20 jours ; le tun, constitué de 18 uinal donc de 360 jours ; le katun, qui correspond à 20 tun, donc à 7 200 jours, qui se termine toujours par un jour ahau du calendrier rituel ; enfin, le baktun, qui comprend 20 katun, soit 144 000 jours, ce qui correspond à 400 ans. La fascination des Mayas pour le temps les conduit à concevoir des unités encore supérieures, comme le pictun, qui compte 20 baktun, soit près de 7 885 ans. On peut faire mieux encore : 8 000 pictun, unité appelée l’alautun, correspond à 23 040 000 000 jours !
Fri, 01 Nov 2024 - 10min - 428 - L’Archéologie #1 : Naissance et techniques
Archéologie. Ce simple mot a fait rêver des milliers d’enfants partout dans le monde, et continue de faire briller les yeux de nombreuses personnes. Tout de suite, on imagine des pyramides, des temples, des trésors cachés, des énigmes à résoudre et des pièges à déjouer. Et tout ça à cause d’un fameux héros de cinéma, aventurier plus qu’archéologue, coiffé d’un éternel chapeau fédora, d’une veste en cuir et armé d’un lasso. Merci, Harrison Ford ! En réalité, qu’est-ce que l’archéologie ? Qui est l’archéologue ? A quoi sert-il ? Et pourquoi cette discipline fascine-t-elle autant le grand public ? Cette émission, qui entre dans le cadre de la semaine de l’archéologie (du 5 au 11 juin), a pour principal objectif de répondre, du moins en partie à ces questions que se posent un grand nombre de personnes. En partie seulement, car, en réalité, ce domaine est tellement vaste ! En effet, l’archéologie n’est devenue une véritable discipline scientifique que tardivement, dans la deuxième partie du XXe siècle, et ce n’est que depuis ces dix dernières années que le rôle capital joué par les archéologues apparaît comme évident par une majorité de la population. Il en a fallu du temps, pour que ce qui n’était, au départ, qu’une chasse au trésor, devienne une science à part entière. Dans cette première émission, nous allons effectuer un véritable voyage dans le temps et revenir sur l’histoire de l’archéologie. Après être revenus à la période contemporaine, nous développerons plus précisément la personnalité de l’archéologue, sa formation, ses activités, ses responsabilités, ses défis, ses peines, ses joies, bref, déconstruire le mythe cinématographique de l’archéologue et mettre en lumière la réalité de l’homme de terrain et de laboratoire.
Thu, 01 Jun 2023 - 48min - 427 - Les Ovnis dans l’Histoire - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission explore l'évolution des phénomènes d'Objets Volants Non Identifiés (Ovnis) à travers l'Histoire, en partant des premiers témoignages pariétaux (sur les parois des grottes) jusqu'aux récits contemporains. Nous plongerons dans des archives fascinantes, évoquant des apparitions étranges dans les textes historiques, et religieux, de l'Antiquité au XXè siècle, ainsi que des événements emblématiques reconnus depuis comme fantaisistes. Une plongée dans un immense catalogue d’observations au fil des siècles et des débats qu'elles ont suscités, entre croyance, scepticisme et science. Une émission qui s'adresse à un public curieux, amateur d'Histoire et de mystères inexpliqués. Bibliographie - cnrs-geipan.fr- http ://cufos.org- https://www.archives.gov/records-mgmt/uap-guidance#:~:text=The%202024%20National%20Defense%20Authorization,Anomalous%20Phenomena%20(UAP)%20record%20in- Julien Weverbergh et Ion Hobana, Les OVNI en URSS, Laffont, 1976- Paul Misraki, Des signes dans le ciel, Labergerie, 1969 - Le Mahabharata, traduit du sanscrit par PH. ED. Foucaux 1862 - La Bible de Lemestre de Sacy, 1848- Ramayana, traduit du sanscrit par Hyppolyte Fauche, 1855, livre XIV- Le Bhagavata Purana, traduit du sanscrit par Eugène Burnouf, tome troisième- http ://www.thelatinlibrary.com/annalesregnifrancorum.html, rubrique 776 (DCCLXXXVI) - Attention, en latin ;)
Wed, 30 Oct 2024 - 07min - 426 - Les Ovnis dans l’Histoire - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission explore l'évolution des phénomènes d'Objets Volants Non Identifiés (Ovnis) à travers l'Histoire, en partant des premiers témoignages pariétaux (sur les parois des grottes) jusqu'aux récits contemporains. Nous plongerons dans des archives fascinantes, évoquant des apparitions étranges dans les textes historiques, et religieux, de l'Antiquité au XXè siècle, ainsi que des événements emblématiques reconnus depuis comme fantaisistes. Une plongée dans un immense catalogue d’observations au fil des siècles et des débats qu'elles ont suscités, entre croyance, scepticisme et science. Une émission qui s'adresse à un public curieux, amateur d'Histoire et de mystères inexpliqués. Bibliographie - cnrs-geipan.fr- http ://cufos.org- https://www.archives.gov/records-mgmt/uap-guidance#:~:text=The%202024%20National%20Defense%20Authorization,Anomalous%20Phenomena%20(UAP)%20record%20in- Julien Weverbergh et Ion Hobana, Les OVNI en URSS, Laffont, 1976- Paul Misraki, Des signes dans le ciel, Labergerie, 1969 - Le Mahabharata, traduit du sanscrit par PH. ED. Foucaux 1862 - La Bible de Lemestre de Sacy, 1848- Ramayana, traduit du sanscrit par Hyppolyte Fauche, 1855, livre XIV- Le Bhagavata Purana, traduit du sanscrit par Eugène Burnouf, tome troisième- http ://www.thelatinlibrary.com/annalesregnifrancorum.html, rubrique 776 (DCCLXXXVI) - Attention, en latin ;)
Tue, 29 Oct 2024 - 09min - 425 - Les Ovnis dans l’Histoire - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Cette émission explore l'évolution des phénomènes d'Objets Volants Non Identifiés (Ovnis) à travers l'Histoire, en partant des premiers témoignages pariétaux (sur les parois des grottes) jusqu'aux récits contemporains. Nous plongerons dans des archives fascinantes, évoquant des apparitions étranges dans les textes historiques, et religieux, de l'Antiquité au XXè siècle, ainsi que des événements emblématiques reconnus depuis comme fantaisistes. Une plongée dans un immense catalogue d’observations au fil des siècles et des débats qu'elles ont suscités, entre croyance, scepticisme et science. Une émission qui s'adresse à un public curieux, amateur d'Histoire et de mystères inexpliqués. Bibliographie - cnrs-geipan.fr- http ://cufos.org- https://www.archives.gov/records-mgmt/uap-guidance#:~:text=The%202024%20National%20Defense%20Authorization,Anomalous%20Phenomena%20(UAP)%20record%20in- Julien Weverbergh et Ion Hobana, Les OVNI en URSS, Laffont, 1976- Paul Misraki, Des signes dans le ciel, Labergerie, 1969 - Le Mahabharata, traduit du sanscrit par PH. ED. Foucaux 1862 - La Bible de Lemestre de Sacy, 1848- Ramayana, traduit du sanscrit par Hyppolyte Fauche, 1855, livre XIV- Le Bhagavata Purana, traduit du sanscrit par Eugène Burnouf, tome troisième- http ://www.thelatinlibrary.com/annalesregnifrancorum.html, rubrique 776 (DCCLXXXVI) - Attention, en latin ;)
Mon, 28 Oct 2024 - 09min - 424 - Les Ovnis dans l’Histoire - 3/6
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Sun, 27 Oct 2024 - 09min - 423 - Les Ovnis dans l’Histoire - 2/6
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Sat, 26 Oct 2024 - 09min - 422 - Les Ovnis dans l’Histoire - 1/6
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Fri, 25 Oct 2024 - 08min - 421 - La torture au Moyen-Âge - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales. Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte. Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges. Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser. Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée. Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.
Wed, 23 Oct 2024 - 08min - 420 - Les Femmes compositrices #4
L’auteur Guillaume Kosmicki écrit au sujet des femmes compositrices : « Il est tout à fait possible d’écrire une histoire de la musique uniquement fondée sur des œuvres de compositrices ». Ces émissions, dont c’est ici le 4e épisode, en sont la preuve vivante. Il est donc peut-être temps de changer nos regards et nos interprétations des musiques classiques et contemporaines telles que nous les connaissons. De reconstruire nos goûts, patiemment… Jean-Claude Mory, ancien Régisseur général de l’Opéra de Paris, nous éclaire de ses lumières !
Thu, 29 Jun 2023 - 1h 34min - 419 - La torture au Moyen-Âge - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales. Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte. Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges. Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser. Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée. Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.
Tue, 22 Oct 2024 - 08min - 418 - La torture au Moyen-Âge - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales. Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte. Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges. Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser. Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée. Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.
Mon, 21 Oct 2024 - 08min - 417 - La torture au Moyen-Âge - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales. Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte. Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges. Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser. Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée. Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.
Sun, 20 Oct 2024 - 08min - 416 - La torture au Moyen-Âge - 2/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales. Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte. Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges. Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser. Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée. Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.
Sat, 19 Oct 2024 - 08min - 415 - La torture au Moyen-Âge - 1/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La torture au Moyen Âge est souvent associée aux châteaux et aux donjons, mais elle trouve ses racines bien avant cette époque, notamment dans le droit romain qui a servi de base juridique à de nombreuses pratiques médiévales. Sous l'Empire romain, la torture était utilisée comme méthode d'investigation, principalement dans les affaires graves comme les trahisons. Les esclaves, en particulier, étaient soumis à des interrogatoires par la torture, car on considérait que leur témoignage n'avait de valeur qu'extorqué sous contrainte. Le droit romain la codifiait, avec des règles strictes sur qui pouvait en être victime, et dans quel contexte. Au Moyen Âge, la torture s'inscrit dans un cadre judiciaire plus complexe. Elle est réintroduite progressivement à partir du 12ᵉ siècle avec l'essor des tribunaux inquisitoriaux et royaux. C'est l'époque où l'Église l'utilise pour extorquer des aveux lors des procès en hérésie, et où les pouvoirs laïcs s'en servent dans les affaires de trahison, de meurtre ou de sorcellerie. L'objectif de la torture est généralement d'obtenir des aveux ou des informations, mais elle devait être pratiquée sous la supervision de juges. Les méthodes variaient considérablement selon les régions et les époques. Parmi les instruments les plus connus, on trouve la "strappado", où la victime était suspendue par les poignets derrière le dos, ou encore le "chevalet", une machine qui étirait lentement le corps. Mais la torture pouvait aussi être psychologique, avec la menace d'instruments terrifiants, sans nécessairement les utiliser. Il est important de souligner que la torture était encadrée par des règles. Elle n'était pas appliquée librement et devait être autorisée par des autorités judiciaires. Les juges fixaient la durée et la nature de la torture, et elle ne devait surtout pas conduire à la mort de la personne torturée. Une émission écrite par Lucie Devocelle, pour Timeline.
Fri, 18 Oct 2024 - 09min - 414 - Les Mayas #2 : Villes et Société - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne. Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine. Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux. La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse. Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.
Wed, 16 Oct 2024 - 07min - 413 - Les Mayas #2 : Villes et Société - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne. Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine. Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux. La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse. Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.
Tue, 15 Oct 2024 - 07min - 412 - Les Mayas #2 : Villes et Société - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne. Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine. Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux. La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse. Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.
Mon, 14 Oct 2024 - 07min - 411 - Les Mayas #2 : Villes et Société - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette deuxième partie, nous abordons les cités mayas et la vie quotidienne. Les ville étaient en effet des centres de vie politique, religieuse et économique pour cette civilisation ancienne qui s'étendait du sud du Mexique à l'Amérique centrale. Une ville maya typique était dominée par une grande place centrale, autour de laquelle s'organisaient des structures monumentales comme des temples-pyramides, des palais et des terrains de jeu de balle. Ces édifices symbolisaient la puissance des élites dirigeantes et servaient de lieux pour des rituels religieux complexes, souvent en l'honneur des dieux et du roi, considéré comme une figure divine. Les Mayas vivaient dans des maisons simples, faites de bois et de chaume, souvent organisées en petits groupes familiaux à la périphérie de la ville. La vie quotidienne était rythmée par l'agriculture, principalement la culture du maïs, aliment de base. Les familles cultivaient aussi des haricots, des courges et des piments. L'artisanat occupait une place importante, avec la fabrication de textiles, de poteries et d'objets en jade ou en obsidienne, souvent échangés sur de vastes réseaux commerciaux. La société maya était hiérarchisée. À son sommet, les nobles et les prêtres jouaient un rôle central dans la gestion de la cité et la pratique des rituels religieux, tandis que les paysans et les artisans formaient la base de la société. Les cérémonies religieuses et les jeux de balle avaient une grande importance, marquant les événements majeurs de la vie sociale et religieuse. Nous verrons enfin que le temps des Mayas était également structuré par leur calendrier sophistiqué, basé sur des observations astronomiques précises, et influençait à la fois les cycles agricoles et les pratiques spirituelles.
Sun, 13 Oct 2024 - 08min - 410 - Les Mayas #2 : Villes et Société - 2/6
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Sat, 12 Oct 2024 - 06min - 409 - Les Mayas #2 : Villes et Société - 1/6
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Fri, 11 Oct 2024 - 06min - 408 - Jules Grévy #2 : Ses Présidences - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques. En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président. Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables. Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.
Wed, 09 Oct 2024 - 06min - 407 - Jules Grévy #2 : Ses Présidences - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques. En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président. Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables. Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.
Tue, 08 Oct 2024 - 07min - 406 - Jules Grévy #2 : Ses Présidences - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques. En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président. Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables. Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.
Mon, 07 Oct 2024 - 07min - 405 - Jules Grévy #2 : Ses Présidences - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques. En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président. Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables. Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.
Sun, 06 Oct 2024 - 06min - 404 - Jules Grévy #2 : Ses Présidences - 2/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo En fonction de 1879 à 1887, ses deux mandats (dont le second n’aura duré que 2 ans) ont été marqués par des réformes visant à renforcer les institutions républicaines, notamment en matière de liberté de la presse et de séparation de l'Église et de l'État. Pendant cette période, Jules Grévy a dû faire face à plusieurs défis majeurs, comme la gestion des tensions politiques entre les différentes factions républicaines, notamment entre les modérés et les radicaux. Ces divisions ont rendu difficile la mise en œuvre de réformes et ont parfois conduit à des blocages politiques. En outre, Grévy a dû faire face à des scandales politiques, tels que l'affaire des décorations, qui ont ébranlé sa présidence et terni son image publique. Ces scandales ont suscité des critiques et remis en question son intégrité en tant que président. Enfin, il a dû faire face à des défis économiques et sociaux, comme la question de la réforme agraire et de la protection des travailleurs. Ces problèmes ont nécessité des efforts importants pour trouver des solutions équitables et durables. Malgré ces défis, Jules Grévy, 4è Président de notre République, a tenté de gouverner avec intégrité et de promouvoir les idéaux républicains, contribuant ainsi à consolider la République française.
Sat, 05 Oct 2024 - 07min - 403 - Jules Grévy #2 : Ses Présidences - 1/6
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Fri, 04 Oct 2024 - 07min - 402 - Le projet Jennifer #1 : la Mission Azorian - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique. Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible. Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.
Wed, 02 Oct 2024 - 08min - 401 - Le projet Jennifer #1 : la Mission Azorian - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique. Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible. Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.
Tue, 01 Oct 2024 - 09min - 400 - Le projet Jennifer #1 : la Mission Azorian - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique. Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible. Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.
Mon, 30 Sep 2024 - 08min - 399 - Le projet Jennifer #1 : la Mission Azorian - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique. Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible. Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.
Sun, 29 Sep 2024 - 10min - 398 - Le projet Jennifer #1 : la Mission Azorian - 2/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique. Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible. Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.
Sat, 28 Sep 2024 - 10min - 397 - Le projet Jennifer #1 : la Mission Azorian - 1/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans les années 1970, au cœur de la guerre froide, les États-Unis ont orchestré l'une des opérations les plus ambitieuses et mystérieuses de l'histoire : le projet Azorian (nom de code Jennifer). L'objectif ? Récupérer un sous-marin soviétique coulé à des milliers de mètres sous l'océan Pacifique. Ce plan, digne d'un film d'espionnage, a mobilisé les plus grands esprits de l'époque et a mis en œuvre des technologies futuristes pour mener à bien une mission à haut risque. Entre enjeux stratégiques et prouesses techniques, le projet Azorian est une aventure humaine hors du commun, où l'audace et l'ingéniosité se mêlent pour repousser les frontières de l'impossible. Plongez dans cette épopée incroyable, où chaque détail révèle un peu plus la tension d'une époque marquée par la rivalité des superpuissances et la quête de domination technologique. Le projet Azorian incarne l'ambition démesurée et la créativité des services secrets américains, toujours prêts à risquer l'impensable pour atteindre leurs objectifs.
Fri, 27 Sep 2024 - 10min - 396 - Les Mayas #1 : les Origines - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance. La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes. Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure…
Wed, 25 Sep 2024 - 08min - 395 - Les Mayas #1 : les Origines - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance. La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes. Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure…
Tue, 24 Sep 2024 - 08min - 394 - Les Mayas #1 : les Origines - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo La civilisation maya est née sur les terres du Honduras, vers le IIIe millénaire av. J.-C., et s’est étendue de façon progressive vers l’actuel Mexique. Elle a établi un territoire comprenant les pays que l’on appelle de nos jour le Mexique, le Belize, le Guatemala, le Honduras et le Salvador, c’est-à-dire une partie de l’Amérique centrale. Les Mayas sont, avant tout, un peuple terrien : habiles fermiers, ils défrichent de vastes étendues de forêt tropicale et bâtissent d’immenses réservoirs souterrains d’eau de pluie dans les zones sèches. Ils cultivent principalement du maïs, qui est la base de leur alimentation. Ils tracent aussi des routes pour relier leurs territoires entre eux, et tissent ainsi un vaste réseau d’échanges à travers le monde précolombien. Mais on connaît la civilisation maya surtout grâce aux extraordinaires pyramides qui ont défié les siècles et subsistent encore aujourd’hui. Le souverain y montre ses connaissances et y légitime son pouvoir. Les cités mayas rivalisent de beauté et de grandeur, cette course à la sophistication était une manière de révéler leur puissance. La compréhension de l’univers qui entoure les Mayas est le point de départ de leurs croyances. De là découlent les rites, liés le plus souvent au bon déroulement des saisons. La religion fait partie de la vie quotidienne. Le prêtre maya, ou chaman, interprète la bonne récurrence des cycles et prédit les temps passés et à venir. S’il présage des temps difficiles, il faut faire des sacrifices pour apaiser les dieux. Ces sacrifices ont pour but d’agir sur le monde, de veiller à son équilibre et de mettre les dieux du côté des hommes. Mais que seraient les Mayas sans leur écriture ? Celle-ci est extrêmement perfectionnée : elle utilise des glyphes, disposés en colonnes, qui se lisent de gauche à droite et de haut en bas. L’écriture maya est difficile à interpréter, mais on sait aujourd’hui décrypter plus de 80% des glyphes. L’écriture sert à entrer en communication directe avec les dieux et très vite les Mayas l’utilisent à des fins de propagande politique, pour montrer le roi et sa dynastie sous son jour le plus favorable. Mais nous conservons également de nombreux écrits de leurs calculs du temps, de la position des étoiles et des planètes. Une question continue de passionner les archéologues : pourquoi les Mayas ont-ils abandonné leurs magnifiques cités à l’aube du Xe siècle, marquant ainsi la fin de leur brillante civilisation ? Ont-ils été victimes d’une catastrophe naturelle ? D’une invasion étrangère ? Le mystère demeure…
Mon, 23 Sep 2024 - 08min - 393 - Les Mayas #1 : les Origines - 3/6
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Sun, 22 Sep 2024 - 07min - 392 - Les Mayas #1 : les Origines - 2/6
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Sat, 21 Sep 2024 - 08min - 391 - Les Mayas #1 : les Origines - 1/6
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Fri, 20 Sep 2024 - 08min - 390 - La Colonisation de l'Australie - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le 26 janvier 1788, 859 colons débarquent à Botany Bay, sur la côté Est de l’Australie, à bord de la première flotte britannique en direction du Pacifique. Prêts à commencer une nouvelle vie, les colons s’installent progressivement sur le nouveau territoire et font de l’île une colonie de l’Empire britannique. Mais qui sont-ils ? Sur les huit navires constituant la flotte britannique, les entreponts sont surchargés de plusieurs centaines d’hommes, de femmes et d’enfants, fermement enchainés et surveillés de près par plus de 200 soldats. Il s’agit ici de la première transportation de prisonniers britanniques sur les terres australiennes… Exilés loin de tous leurs repères, les détenus se voient forcés de travailler au développement de la Nouvelle-Galles du Sud, territoire revendiqué au nom de la Couronne quelques années auparavant. Comment ces terres sont-elles devenues une colonie pénitentiaire au service de l’ordre et de la justice britannique ? C’est ce que nous allons voir aujourd’hui… Ecriture : Lucie Devocelle
Wed, 18 Sep 2024 - 08min - 389 - La Colonisation de l'Australie - 5/6
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Tue, 17 Sep 2024 - 09min - 388 - La Colonisation de l'Australie - 4/6
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Mon, 16 Sep 2024 - 09min - 387 - La Colonisation de l'Australie - 3/6
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Sun, 15 Sep 2024 - 08min - 386 - La Colonisation de l'Australie - 2/6
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Sat, 14 Sep 2024 - 10min - 385 - La Colonisation de l'Australie - 1/6
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Fri, 13 Sep 2024 - 08min - 384 - Jules Grévy #1 : Vers la Présidence - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.
Wed, 11 Sep 2024 - 08min - 383 - Jules Grévy #1 : Vers la Présidence - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.
Tue, 10 Sep 2024 - 08min - 381 - Louis XIV, situation du Royaume à sa naissance #1
Une très longue introduction pour bien comprendre quelle est la situation du Royaume de France à la mort de Louis XIII, et au début de la Régence d’Anne d’Autriche. Une introduction nécessaire pour comprendre d’où vient la Fronde, avant d’entrer véritablement dans le vif du sujet. La Fronde, une crise générale du régime et de la société, aux conséquences démographiques, économiques, sociales et culturelles durables, une crise qui représente un moment crucial de l’évolution de la France... BIBLIOGRAPHIE Roland MOUSNIER, Les Institutions de la France sous la monarchie absolue, 1598-1789, t. I, Paris, éd. de 1990 Denis RICHET, De la Réforme à la Révolution. Études sur la France moderne, Paris, 1991
Mon, 02 Mar 2020 - 47min - 380 - Jésus historique, Introduction #1
Aucune critique religieuse ici, uniquement une remise dans le contexte historique et politique d'un personnage, qui a marqué l'Histoire. Ce premier épisode, paradoxalement, parle peu de Jésus lui-même. Il est une introduction nécessaire au contexte historique, politique, et cultuel. Sans ces bases, il est plus compliqué, plus hasardeux de chercher à comprendre le Jésus de l'Histoire. Son arrivée, pourquoi il a été suivi, son enseignement ... Dans cet épisode, nous revenons donc sur les sources, sur le pays et sa récente romanisation, l'hellénisme de certains, Jean Baptiste, et bien-sûr, Jean l'Evangéliste, qui est une source historique importante. Car cette émission ne saurait exister sans les découvertes archéologiques des 50 dernières années, venues corroborer cette source privilégiée. Comment ? Pourquoi ? C'est ce que vous allez entendre dans un instant ;)
Sat, 11 May 2019 - 1h 01min - 379 - Louis XVI et la Révolution, un peuple et son roi #1
Pour accompagner (revenir dessus surtout !) la sortie du film « Un peuple et son roi », il fallait aborder la Révolution en commençant par le contexte, les forces en présence, notamment au niveau populaire. Contextualiser la révolution, sans l’idéaliser ou la juger, revenir sur Louis XVI, et reconstruire une statue plus proche du personnage réel, c’est le travail que nous avons souhaité faire, en dépassionnant le débat. Ce premier épisode aborde la Révolution en essayant de ressentir l’époque, l’ambiance, et montrer que le 14 Juillet n’éclate pas dans un ciel serein. Dans le prochain épisode, nous aborderons l’aspect politique et la confrontation des idées et des hommes en place. Le tout accompagné par la superbe musique de Georges Delerue…
Thu, 13 Sep 2018 - 51min - 378 - La Commune de 1871
C’est le temps des cerises ! La Commune de 1871, en compagnie d’Eric Legale, Directeur de la Communication et des Nouvelles Technologies de la ville d’Issy-les-Moulineaux, ville dont le Fort a subi un siège de 41 jours. Avec la plus grande rigueur possible, Timeline revient sur cette histoire extraordinaire. La résistance du Fort d’Issy, à voir ici http://www.issy.com/histoire-fort-issy/l-histoire-du-fort-au-temps-des-cerises
Thu, 22 Oct 2015 - 1h 02min - 377 - L'Affaire Dreyfus #1
Elle est L'Affaire par excellence, le maître étalon des injustices dans l'Histoire. Pourquoi et comment une banale histoire d’espionnage devint elle l’événement que nous savons ? Car elle était en effet d’une terrible banalité cette petite affaire de trahison. Banale déjà parce qu’elle n’était pas la première. Cette émission revient sur les circonstances, et surtout l'incroyable écheveau de faits qui ont pris 12 ans de la vie d'un innocent.
Sat, 08 Mar 2014 - 58min - 376 - Les Tudors - Henri VIII
Grâce à la série Les Tudors, on connaît mieux Henri VIII… Mais la série dit-elle toujours la vérité ? Qui était il réellement ? Plongeons dès à présent dans l'Angleterre de la Renaissance…
Thu, 02 May 2013 - 39min - 375 - La Campagne de Russie
(PERIODE HERODOTE.NET) En 1812, l'Europe est le témoin du plus grand désastre militaire de l'Histoire. Napoléon 1er, Empereur des Français et sa Grande Armée forte de plus d'un demi-million d'hommes connaissent leur plus incroyable défaite. Est-ce vraiment l'hiver le fautif ? Est-ce la retraite qui fut la plus homérique ? Quelles en furent les causes ? Retour sur une des plus extraordinaires épopées napoléoniennes...
Sat, 14 Jul 2012 - 41min - 374 - Une histoire du Cinéma français #1
Depuis un certain 28 décembre 1895, le cinéma français a fait du chemin. De Méliès à Carné, de Gance à Melville, de Clouzot à Autant-Lara, 5.000 ans d'Histoire anciennement Temporium vous emmène à travers le temps pour cette première aventure, en deux parties. Celle-ci nous emmène de 1895 à la fin de la seconde guerre mondiale...
Tue, 01 May 2012 - 46min - 373 - Jules Grévy #1 : Vers la Présidence - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.
Mon, 09 Sep 2024 - 08min - 372 - Jules Grévy #1 : Vers la Présidence - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.
Sun, 08 Sep 2024 - 09min - 371 - Jules Grévy #1 : Vers la Présidence - 2/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.
Sat, 07 Sep 2024 - 08min - 370 - Jules Grévy #1 : Vers la Présidence - 1/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Jules Grévy, 4è Président de la République française, est l’un des piliers de la IIIe République. Avant d'accéder à la présidence, il mène une carrière de juriste et d'avocat, et s'engage très tôt en politique, se faisant remarquer pour ses idées républicaines. Opposé à la présidence de Louis-Napoléon Bonaparte, il est élu député sous la Seconde République en 1848. Après le coup d'État de 1851, il se retire temporairement de la vie politique, avant de revenir sur le devant de la scène en 1868, devenant un fervent défenseur de la République parlementaire. Nous verrons qu’il y jouera un rôle clé dans l'élaboration des institutions de la IIIe République, après la chute du Second Empire en 1870. Cette première partie reprend son parcours jusqu’à sa Présidence.
Fri, 06 Sep 2024 - 08min - 369 - Le Secret des hiéroglyphes - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/P-sQPxEglZ Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir. Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne. En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux. En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible.
Wed, 04 Sep 2024 - 11min - 368 - Le Secret des hiéroglyphes - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/P-sQPxEglZ Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir. Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne. En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux. En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible.
Tue, 03 Sep 2024 - 12min - 367 - Le Secret des hiéroglyphes - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir. Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne. En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux. En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible.
Mon, 02 Sep 2024 - 12min - 366 - Le Secret des hiéroglyphes - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/P-sQPxEglZ Le nom de Jean-François Champollion résonne à nos oreilles dès que l’on évoque la civilisation égyptienne et son écriture si belle et si mystérieuse, et plus encore en cette année, où nous célébrons le bicentenaire du déchiffrement des hiéroglyphes. C’était l’occasion de lui rendre hommage et de retracer son long combat, ses réussites, ses échecs, ses doutes et ses désespoirs, jusqu’à la résolution finale. Nous avons également mis en avant sa démarche novatrice dans son souci de pédagogie dans la transmission de son savoir. Cette histoire est maintenant connue de tous depuis le XIXe siècle. Toutefois, notre émission met en lumière tous ceux qui, bien avant Jean-François Champollion, s’étaient attelés à relever ce défi, et qui, par leurs recherches, ont fourni les premières clefs au héros de Figeac pour ouvrir toutes les portes de l’histoire égyptienne. En cette année égyptienne, un fait nouveau est mis en avant en ce qui concerne la résolution du mystère des hiéroglyphes égyptiens : le rôle insoupçonné et pourtant capital joué par Jacques-Joseph Champollion-Figeac. En effet, c’est lui qui, par son soutien indéfectible, sa passion de l’Histoire et des civilisations anciennes et son énergie remarquable, a permis à son frère cadet de progresser sur la route semée d’embûches du déchiffrement de ces signes mystérieux. En réalité, le long cheminement vers le déchiffrement des hiéroglyphes s’est fait à deux. Ce sont bien deux Champollion qui ont donné naissance à ce que l’on appelle de nos jours l’égyptologie, un lien fusionnel qui unissait les deux frères, sans lequel rien n’aurait été possible.
Sun, 01 Sep 2024 - 11min - 365 - Le Secret des hiéroglyphes - 2/6
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Sat, 31 Aug 2024 - 11min - 364 - Le Secret des hiéroglyphes - 1/6
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Fri, 30 Aug 2024 - 11min - 363 - Jack l’Eventreur #2 : les derniers meurtres - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Il existe de nombreuses théories sur l’identité de Jack l’Éventreur. Dans ce second épisode, nous terminons avec les derniers meurtres, et, en conclusion, un regard sur 2 théories dont l’une absurde, l’autre... A voir ;) Playlist musicale : - La bande son du téléfilm « Jack l’Eventreur » avec Michael Caine - Fin d’émission : Soundtrack « From Hell ».
Wed, 28 Aug 2024 - 08min - 362 - Jack l’Eventreur #2 : les derniers meurtres - 5/6
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Tue, 27 Aug 2024 - 08min - 361 - Jack l’Eventreur #2 : les derniers meurtres - 4/6
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Mon, 26 Aug 2024 - 09min - 360 - Jack l’Eventreur #2 : les derniers meurtres - 3/6
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Sun, 25 Aug 2024 - 10min - 359 - Jack l’Eventreur #2 : les derniers meurtres - 2/6
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Sat, 24 Aug 2024 - 09min - 358 - Jack l’Eventreur #2 : les derniers meurtres - 1/6
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Fri, 23 Aug 2024 - 10min - 357 - Jack l’Eventreur #1 : Whitechapel - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Dans cette émission, je ne vais pas vous proposer de découvrir qui est Jack l’éventreur, mais je vais revenir sur tous les mythes, reprendre l’histoire avec les faits tels qu’ils se sont réellement passés, car aujourd’hui nous avons quand même pas mal avancé... Et d’emblée, pour commencer : - Il n'y a jamais eu de brouillard lors des meurtres, et la deuxième victime a même été assassinée en plein jour - Les lettres signées « Jack l'Eventreur » n'ont certainement pas été écrites par le meurtrier, mais par un journaliste - Ni le duc de Clarence, ni aucun membre de la famille royale, n'était Jack l'Eventreur - Mary Kelly n'était pas enceinte - Les dossiers de Scotland Yard n'ont pas été classés pour des raisons mystérieuses, et on peut les consulter depuis de nombreuses années.
Wed, 21 Aug 2024 - 11min - 356 - Jack l’Eventreur #1 : Whitechapel - 5/6
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Tue, 20 Aug 2024 - 09min - 355 - Jack l’Eventreur #1 : Whitechapel - 4/6
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Mon, 19 Aug 2024 - 11min - 354 - Jack l’Eventreur #1 : Whitechapel - 3/6
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Sun, 18 Aug 2024 - 09min - 353 - Jack l’Eventreur #1 : Whitechapel - 2/6
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Sat, 17 Aug 2024 - 10min - 352 - Jack l’Eventreur #1 : Whitechapel - 1/6
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Fri, 16 Aug 2024 - 10min - 351 - Les Couvents de l’horreur - 6/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société. Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses. Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie : - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)
Wed, 14 Aug 2024 - 06min - 350 - Les Couvents de l’horreur - 5/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société. Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses. Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie : - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)
Tue, 13 Aug 2024 - 07min - 349 - Les Couvents de l’horreur - 4/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société. Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses. Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie : - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)
Mon, 12 Aug 2024 - 07min - 348 - Les Couvents de l’horreur - 3/6
Pour écouter l’émission en entier, sans pub, abonnez-vous ! https://m.audiomeans.fr/s/S-tavkjvmo Pendant plus de deux siècles, plusieurs milliers de jeunes femmes irlandaises sont envoyées dans des institutions censées leur donner une éducation et un savoir-faire conformes aux valeurs conservatrices et religieuses prônées par la société. Mais la réalité est toute autre. Loin des promesses de vivre à l’écart des maux du monde extérieur, ces filles sont en réalité contraintes au travail forcé et aux maltraitance des religieuses. Et dès les années 1990, de nombreuses victimes des couvents de la Madeleine témoignent des violences subies pendant plusieurs années, ce qui nous permet d’avoir connaissance de cette invraisemblable histoire pourtant réelle. Bibliographie : - Maeve O’Rourke, Ireland's Magdalene Laundries and the state's duty to protect. Hibernian Law Journal, 2011. - Maria Luddy, Cliona Murphy, Women surviving, studies in Irish Women’s History in the 19th and 20th centuries. Poolbeg, 1989. - Susan Mumm, ’Not worse than other girls’: the convent-based rehabilitation of fallen women in Victorian Britain. Journal of Social History, 1996. pp. 527–547 Documentaire : Sex in a cold climate (1998), réalisé par Steve Humphries Rapport de la Commission interministérielle chargée d’établir les faits de l’implication de l’État dans les Laveries de la Madeleine, Ministère de la justice - Sénateur Martin McAleese, octobre 2020. Film : The Magdalen sisters, de Peter Mullan (2002)
Sun, 11 Aug 2024 - 07min
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