Dis moi oui, Handi!

Pour ce nouvel épisode de Dis-moi Oui Handi, Michaël Jérémiasz a décidé de parler d’un sujet qui le touche personnellement depuis… 7 mois et 11 jours : la parentalité. Et ça, pour la deuxième fois !

Un immense bonheur ponctué d’inévitables questions : comment reprend-on une vie de couple après l’arrivée du bébé ? Faut attendre combien de temps ? Comment on s’y prend ?

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Enfin la rentrée - un poil tardive pour cause de Festival So good - pour Dis-moi Oui handi!  Mais pour rester dans le thème, on a décidé de parler d’éducation sexuelle et affective. Pas une mince affaire, cette histoire… Parce qu’après tout, que l’on soit enfant, ado ou même adulte, comment ça s’apprend la sexualité? Où trouve-t-on les bonnes informations? Et le rôle de l’école dans tout ça? Et le plaisir, on en cause ou pas? Et ne parlons même pas de LA question, la fameuse…” Et comment on fait les bébés?”  

Face à autant d’interrogations, toutes sauf anodines, Michaël Jérémiasz n’est pas seul. Comme d’hab’, il a su bien s’entourer avec:

-Charline Vermont - experte aux multiples casquettes -: praticienne en sexothérapie, auteure de plusieurs livres dont un intitulé Corps, amour et sexualité: les 120 questions que vos enfants vont vous poser et figure emblématique du compte Instagram orgasme et moi

-Florence Thune, directrice générale de Sidaction depuis 2017. 

Nous sommes aussi allés dans l’Hérault, interroger une proviseure, Mme Dupe, et une professeure de SVT, Mme Delcasso, qui depuis plus de 10 ans on mis en place un super programme d’éducation sexuelle et affective. 

Allez, allez, un peu de calme s’il-vous-plaît, la classe va commencer et croyez-nous, le sujet du jour va vous captiver!

Programmation musicale: 

-She bop - Cindy Lauper 

-Come Around and Love Me - Jalen Ngonda

-Sea, sex and sun - Serge Gainsbourg

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Pour ce nouvel épisode, Michaël Jérémiasz s’attaque à l'un des des sujets les plus importants de ces dix dernières années. Oui, Dis-moi Oui Handi épisode 3 est dédié au mouvement #MeToo. Mais depuis, est-ce qu’on se drague différemment? Qu’est-ce que cette révolution a changé dans nos rapports amoureux? Et pour les femmes en situation de handicap, la révolution a-t-elle vraiment eu lieu?

Et pour en parler - sûrement mieux - "qu’un homme blanc en fauteuil de 40 ans",  Michaël Jérémiasz a la chance de recevoir: Ovidie, documentariste, mais aussi autrice de nombreux livres dont  “Baiser après #MeToo” paru en 2020 au éditions Marabulles ainsi que  Céline Extenso, co-fondatrice du collectif les dévalideuses. 

Programmation musicale: 

Touch Me Again - Petrol Girls 

I Do - de Cardi B en feat avec SZA

Another Love - Tom Odell

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Les températures grimpent en cette période de l’année et y compris dans le studio de So good Radio. Pour cette nouvelle émission de Dis-moi Oui Handi, il est question de fantasme, de jouissance, d’onanisme, de guilty pleasure… Bref, de sextoy! Simple joujou pour le bain ou symbole, au contraire, d’une masturbation féminine - enfin - libérée, délivrée? 

Ça en fait des interrogations pour d’aussi petites choses… 

Pour en parler au micro de So good Radio, Michaël Jérémiasz reçoit Christel Bony, fondatrice du collectif Sextech for good et François Crochon, sexologue clinicien, thérapeute de couple, psychothérapeute et aussi directeur du CeRHeS, le Centre Ressources Handicaps et Sexualités. On entend également le témoignage de Damien Letulle, fondateur du site Handijoy, portail qui commercialise des sextoys à destination de personnes en situation de handicap.

Programmation musicale:

Like a sextoy - La caravane passe

La vi a Bel - David Walters

The Blaze - Territory

Une émission soutenue par la Fondation MAAF Initiatives et Handicap.

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Comme c'est le printemps, que les températures montent tout doucement, Michaël Jérémiasz a décidé de nous parler de... pornographie. Antre de création de tous nos fantasmes ou encore lieu de plaisir et de jouissance par excellence... Pourquoi, mais oui, pourquoi regarde-t-on du porno? Quels effets cette consommation — car oui, c’est bien le mot — a-t-elle sur nos pratiques sexuelles? Et pour les plus jeunes, ça se passe comment? Le porno est-il un enfer peuplé de masculinistes ou peut-il être enfin féministe et durable? Pour parler de ce sujet ô combien important, Michaël reçoit, Emilie Delaunay aka Liza Del Sierra, une des actrices X les plus connues en France qui a tourné pendant plus de 15 ans, avant de devenir infirmière, mais tout en restant dans le milieu en tant que productrice et réalisatrice de films dits pour adultes. A ses côtés, Yaëlle Amsellem-Mainguy, sociologue, chargée de recherche à l’Institut national de la jeunesse et de l’éducation populaire mais aussi rédactrice en chef de la revue Agora débats/jeunesses, qui a signé un livre en 2020 avec son confrère Arthur Vuattoux: Les jeunes, la sexualité et internet. Dis-moi Oui Handi saison 3, c'est parti!

Programmation musicale:

- Elia - Pornographie

- Elodie Rama en featuring avec AKH - Indigo

Une émission soutenue par la Fondation MAAF Initiatives et Handicap.

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En 2016, aux Jeux Olympiques de Rio, ce sont près de 450 000 préservatifs que les athlètes se sont vus distribuer dans le village olympique. Un chiffre qui a quasiment triplé depuis les JO de Londres en 2012. La légende est-elle vraie : les JO sont-ils les nouveaux “sex, drogue and rock’n’roll” ?

Pour soulever le mystère, Michaël Jeremiasz trempe le maillot et glisse quelques anecdotes sur les Jeux de Pékin en 2008, au cours desquels il est sacré champion en double aux côtés de Stéphane Houdet. Et il n’est pas seul ! Avec lui, Valentin Bertrand, finaliste aux jeux paralympiques de Tokyo, et l’escrimeuse française Pauline Ranvier.

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« Une soirée libertine, c’est une soirée où on ne vous forcera jamais à faire quelque chose que vous ne voulez pas faire ». À mesure que l’hiver se rapproche, les températures dans Dis-moi oui, Handi, elles, se réchauffent. Parlons peu, parlons bien : quid du libertinage ? Sujet brûlant s’il en est, Michaël Jeremiasz reçoit Denis Lechaplain, libertin depuis 5 ans, et Mademoiselle S, qui elle est dans le milieu depuis 8 ans. De leurs premières fois à l’accessibilité en club en passant par un petit jeu… Ils diront tout, dans Dis-moi oui, Handi ! 

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Latex, talons aiguilles, mais aussi, parfois, handicap. L’object du fétichisme peut être aussi divers et varié. Il fallait bien lui consacrer un épisode entier. Quelle est la limite entre l’obsession et le fétichisme ? Que faut-il condamner ? Que faut-il accepter ? Michaël Jeremiasz s’interroge avec Catherine Dedieu-Lugat, artiste-photographe et membre du Conseil Scientifique de la MAAF, et Héléna, qui a elle-même subi les obsessions fétichistes d’un ex-compagnon. 

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La question est provocante, et c’est bien fait exprès. Nos aîné·es ont-iels le droit à la sexualité ? Pourquoi, dans nos imaginaires collectifs, la sexualité s’arrête quand les cheveux blancs apparaissent ? Toutes ces questions, et bien d’autres, trouvent des éléments de réponse dans cet épisode de Dis-moi oui, Handi, animé par Michaël Jeremiasz. Il invite notamment Claude Barghon, qui vit une sexualité épanouie à 73 ans, et la sexothérapeute Noëline Toribio.  

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« Vacances, j’oublie tout / Plus rien à faire du tout« . C’est vrai, ou presque. En réalité, la période estivale est l’occasion de poursuivre nos fantasmes inavoués du reste de l’année. Plan à trois, amours étrangères, bal des pompiers ou cours de surf… En fauteuil, à deux jambes, moche ou moins moche : tout le monde a le droit de vivre pleinement ces deux mois particulièrement propices aux flirts sans lendemain. La réalisatrice Tamina Manganas est au micro de Michaël Jeremiasz, accompagnée de Hélène Haviland, vivant à Antony et atteinte de schizophrénie, ainsi que de Stéphane Marteau qui travaille à l’ESAT Jacques Monod.

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On lui prête bien des noms, et bien des vices. Le polyamour, ou la polyamorie, selon les traductions, fait peur. Mot à la notoriété bien récente, il symbolise néanmoins la possibilité d'amours plurielles, intimes et éthiques. C'était pas si compliqué, finalement. La réalisatrice Isabelle Broué l'explique au micro de Michaël Jeremiasz, accompagné de Adrien Michon, pour qui le polyamour à roulettes, ça n'est pas si différent (voire, spoiler, pas différent du tout).

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C'est l'un des derniers tabous de notre société. De fait, il n'existe pas une définition précise de ce que sont les violences obstétricales. Dans la loi, il n'y a pas un mot sur le sujet. La juriste Marie-Hélène Lahaye les définit ainsi : «tout comportement, acte, omission ou abstention commis par le personnel de santé, qui n’est pas justifié médicalement et/ou qui est effectué sans le consentement libre et éclairé de la femme enceinte ou de la parturiente ». Les violences passent par d'autres canaux : l'attitude du personnel, l'infantilisation, la grossophobie, le manque de respect… Et que se passe-t-il, quand le handicap entre en jeu ?

Pour répondre à ces questions, Michael Jeremiasz reçoit Sonia Bisch, fondatrice du collectif Stop aux violences obstétricales et gynécologiques, et Andrea, mère au foyer.

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"Index à l'envers, majeur en l'air" chantait Emmaï Dee en 2018 dans le morceau “Diamant”. Un morceau dédié à la masturbation féminine, dans le but de briser les tabous autour de la pratique. Heureusement, on peut se rassurer aujourd’hui. De plus en plus, la masturbation est vue simplement comme le signe d’une sexualité en bonne santé. Enfin, ça dépend encore de qui on est. Encore aujourd’hui, ce sont les hommes qui se masturbent le plus. Pourquoi ? Et qu’en est-il quand le handicap entre en jeu ?

Pour répondre à ces questions, Michael Jeremiasz reçoit Carmen(le prénom a été modifié), qui souffre de migraines chroniques, et Aurélie Leveau, sexothérapeute au sein du Nirvana Club. Avec une apparition de Emmaï Dee.

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PMA ou AMP, appelez-la comme vous voudrez. Assistance médicale à la procréation (AMP), elle permet à un couple hétérosexuel, à un couple formé de 2 femmes (enfin!) ou à une femme non mariée d'avoir un enfant.

En France, c’est 1 naissance sur 30 qui se fait grâce à la PMA. 1 naissance, pour des parents aux profils souvent bien différents… Afin d'aborder le sujet au mieux, cet épisode est scindé en deux entretiens distincts. D'abord, Hamou Aïbout raconte le chemin parcouru avec sa femme Julie, de la FIV jusqu'à la rencontre avec leurs 4 enfants.

En seconde partie d'émission, c'est la philosophe Camille Froidevaux-Metteriequi partage son expertise sur le sujet, afin de comprendre la situation actuelle de la France, notamment par rapport à ses voisins.

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Pour de nombreuses femmes et de couples, au mot contraception correspondent les mots liberté, plaisir et autonomie, la possibilité de choisir librement d’avoir des enfants ou non, de disposer de son corps et de maîtriser son futur.

Si on cite le Planning Familial, cela peut aussi être une contrainte, “trop souvent réduite à une approche médicalisée et normative”. Pour une génération, celle qui a grandi avec l'émergence du Sida dans le débat public, le mot contraception a immédiatement signifié la protection contre les MST.

Pour parler de toutes ces conceptions de la contraception, de la façon dont on l'a appréhendé hier, dont on l'appréhende aujourd'hui, Michaël Jeremiasz reçoit, dans ce sixième épisode de Dis-moi Oui, Handi, Jean-Baptise Lusignan, responsable de la prévention santé au CRIPS (Centre Régional d'information du sida et pour la santé des jeunes) d'Ile-de-France, Pauline Duverger, responsable prévention à Solidarité Sida, et Katoucha, bénéficiaire des programmes du CRIPS.

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Pour ce cinquième épisode de Dis-moi oui, Handi, larguez les amarres, Michaël Jeremiasz se lance dans l'océan des ruptures.

Elles sont souvent amoureuses, et surviennent lorsqu’on ne se comprend plus, lorsque la liaison est cassée. Dans la bouche des politiques, elles deviennent synonyme de révolution. Vous savez, ce « JE SUIS LE CANDIDAT DE LA RUPTURE !». Enfin, elles peuvent être accidentelles, et changer la vie, du jour au lendemain.

Autour de ce sujet riche et complexe, le thème des ruptures est polysémique. Michaël Jeremiasz est accompagné de la chanteuse, musicienne et illustratrice Pi Ja Ma, qui vient de sortir un dernier titre intitulé Should I Call U Baby, et de Nicolas Houguet, écrivain, journaliste, qui a fait du thème de la rupture un livre L'Albatros, sorti en 2019.

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Pour ce quatrième épisode, Dis-moi oui, Handi s'attaque au thème du - ou des - coup(s) d'un soir.

Pour les esprits les plus étriqués, cela ferait de vous un casanova ou une femme facile. Pour ces mêmes esprits étriqués, seule la personne valide aurait le droit de vivre sa sexualité sans lendemain sur un soir. Or, Dis-moi oui, Handi vous l'affirme : le grand soir pour tous d’accord, et le juste un soir, sans lendemain, aussi ! Pour tout le monde !

Parce qu’une sexualité n’est pas linéaire, qu’elle peut très bien alterner entre les relations longues, à deux ou à plusieurs, et les relations plus fugaces. Chacun, chacune, vit sa sexualité comme il ou elle l’entend. Ça reste vos corps, vos sentiments et vos désirs nan ?

Pour disserter sur ce sujet chaud du soir, Michaël Jeremiasz reçoit Elodie P. et Kévin Piette, pilote d'exosquelette.

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Après les épisodes sur l'assistance à la vie intime et les fantasmes, Michaël Jeremiasz revient avec un troisième épisode de Dis-moi oui, Handi et un troisième thème de discussion : draguer, séduire, même combat ?

Avant tout passage à l'acte, il y a un passage a priori incontournable : la séduction, la drague. Pour en discuter, Michaël sera entouré de Alexia Barjhoux, conseillère en économie sociale et familiale, et fondatrice de l'application de rencontre MyHandyPlus, application inclusive de rencontres créée en septembre 2018, et d'Elsa Milovanovic, réalisatrice de clips, photographe, sabreuse dans sa prime jeunesse, et particulièrement à l'aise lorsqu'il s'agit de parler du jeu de la séduction, sur appli ou ailleurs.

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Tout le monde doit-il avoir un fantasme, plusieurs, aucun ? Faut-il les assouvir ou pas ? Les avouer ? Le handicap est-il un sujet de fantasme ? Le pompier a-t-il toujours la cote ? Et l’infirmière alors ?

Beaucoup de questions et pleins de réponses dans ce deuxième épisode de Dis-Moi oui, Handi.

L’hôte de cette émission, Michaël Jeremiasz aura face à lui Lélé O, présentatrice du journal du hard sur Canal, co-créatrice des podcasts Voxxx et Coxxx, et parmi les défricheuses de ce qu’on peut appeler le porno éthique et inclusif. Elle sera accompagné de Alain Héril, psychanalyste et sexothérapeute, qui a écrit plusieurs ouvrages sur la sexualité, dont Je fantasme, donc je suis, aux éditions Eyrolles.

« Dis-moi oui, Handi », destination les fantasmes, PNC aux portes, armement des toboggans, vérification de la porte opposée, bon voyage à toutes et à tous !

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On pourrait qualifier le sujet de la première émission de Dis-moi oui, Handi de sensible.

Michaël Jérémiasz s'est attaqué pour cette première au thème des assistantes et assistants de vie intime, un métier légalement autorisé en France. Pourtant, en être client vous fait tomber sous le coup de la loi.

Forme de prostitution pour certaines ou certains, pour d'autres une aide à l’accès à la sexualité pour, notamment, des personnes en situation de handicap… Le sujet est complexe et méritait bien un épisode. Sophie Cluzel, Secrétaire d’Etat chargée des personnes handicapées depuis 2017, et Fabrice Flageul, masseur-relaxologue dans la région lyonnaise et également assistant de vie sexuelle, sont venus en débattre sur So good Radio.

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